
La restauration vient donc s’ajouter à la longue liste des professions à risque.

Cordonnier est toujours le plus mal chaussé.

Une usine à gaz, bien de chez nous, bien inutile, qui coûte un pognon de dingue.

Douce et merveilleuse France de liberté, d’égalité et de fraternité !
Le riche qui dispose d’un véhicule électrique dernier cri peut aller à son bureau. Il peut ainsi constater qui, de ses employés les moins bien payés, ne peut accéder à son lieu de travail dans sa vieille Clio. La vie est bien faite.

Ainsi sont indécents les appels d’élus LR pour un rapprochement idéologique avec La République en marche. Les appels à l’union des droites sont tout aussi impurs.
Rien de changé. Les gilets jaunes se sont fait éborgner pour rien.

Il nous avait avertis : Emmanuel Macron fera tout pour imposer sa vision « progressiste » de l’Europe (« l’arc progressiste »).

La liaison ferroviaire entre Perpignan et le marché d’intérêt national de Rungis est menacée.

Que ce lieu soit éternellement préservé et pieusement conservé.
Notre Président se posera-t-il enfin la question du rôle des Black Blocs ?
Puis, il reprend son incantation mystique…

Macron patriote ! Macron au chevet de l’agriculteur désespéré…

Un « Gitan », c’est d’abord un Français. Il est aussi français qu’un djihadiste qui revient de quelques années de séjour en Syrie…

Qu’est-ce qui pousse monsieur Macron à critiquer ouvertement son pays et ses habitants lorsqu’il se trouve hors de France ?

Il introduit son « débat national » devant quelques dizaines de maires ruraux normands, public sage, attentif, trié, poli.

Tenir les peuples en muselière devient de plus en plus difficile.
Ces fous amoureux de toutes les formes de vie détestent une seule forme de vie, la vie humaine, et surtout l’occidentale, honnie entre toutes.

Aujourd’hui, une autre coupure entre Paris et la province se dessine…
Ce sont bien les oubliés qui se rappellent à lui subitement et en nombre malgré les avertissements désintéressés, bien sûr, de la presse bien-pensante…

Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…

En attendant ce nouveau numéro de com’ tendancieuse, il me semble que se profilent, depuis déjà quelque temps, des menaces de guerre civile bien française que le Président-qui-voit-tout-en-Europe ne voit pas.

Disponibilité, dévouement, humilité. Bel éloge du service public, donc.

Les voyages de Macron semblent le plonger dans une étrange exaltation…

Rien ne change en France, sauf la continuelle aggravation de la situation.
Les radars rapportent de plus en plus à l’Etat et le cap du milliard d’euros de recettes est prévu par le projet de loi de finance 2019.
Les Français ne sont pas hostiles aux réformes, mais ils seront de plus en plus hostiles au réformisme dogmatique.

J’ai toujours été fier de mon grand-père qui était boucher-charcutier.

La restauration vient donc s’ajouter à la longue liste des professions à risque.

Cordonnier est toujours le plus mal chaussé.

Une usine à gaz, bien de chez nous, bien inutile, qui coûte un pognon de dingue.

Douce et merveilleuse France de liberté, d’égalité et de fraternité !
Le riche qui dispose d’un véhicule électrique dernier cri peut aller à son bureau. Il peut ainsi constater qui, de ses employés les moins bien payés, ne peut accéder à son lieu de travail dans sa vieille Clio. La vie est bien faite.

Ainsi sont indécents les appels d’élus LR pour un rapprochement idéologique avec La République en marche. Les appels à l’union des droites sont tout aussi impurs.
Rien de changé. Les gilets jaunes se sont fait éborgner pour rien.

Il nous avait avertis : Emmanuel Macron fera tout pour imposer sa vision « progressiste » de l’Europe (« l’arc progressiste »).

La liaison ferroviaire entre Perpignan et le marché d’intérêt national de Rungis est menacée.

Que ce lieu soit éternellement préservé et pieusement conservé.
Notre Président se posera-t-il enfin la question du rôle des Black Blocs ?
Puis, il reprend son incantation mystique…

Macron patriote ! Macron au chevet de l’agriculteur désespéré…

Un « Gitan », c’est d’abord un Français. Il est aussi français qu’un djihadiste qui revient de quelques années de séjour en Syrie…

Qu’est-ce qui pousse monsieur Macron à critiquer ouvertement son pays et ses habitants lorsqu’il se trouve hors de France ?

Il introduit son « débat national » devant quelques dizaines de maires ruraux normands, public sage, attentif, trié, poli.

Tenir les peuples en muselière devient de plus en plus difficile.
Ces fous amoureux de toutes les formes de vie détestent une seule forme de vie, la vie humaine, et surtout l’occidentale, honnie entre toutes.

Aujourd’hui, une autre coupure entre Paris et la province se dessine…
Ce sont bien les oubliés qui se rappellent à lui subitement et en nombre malgré les avertissements désintéressés, bien sûr, de la presse bien-pensante…

Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…

En attendant ce nouveau numéro de com’ tendancieuse, il me semble que se profilent, depuis déjà quelque temps, des menaces de guerre civile bien française que le Président-qui-voit-tout-en-Europe ne voit pas.

Disponibilité, dévouement, humilité. Bel éloge du service public, donc.

Les voyages de Macron semblent le plonger dans une étrange exaltation…

Rien ne change en France, sauf la continuelle aggravation de la situation.
Les radars rapportent de plus en plus à l’Etat et le cap du milliard d’euros de recettes est prévu par le projet de loi de finance 2019.
Les Français ne sont pas hostiles aux réformes, mais ils seront de plus en plus hostiles au réformisme dogmatique.

J’ai toujours été fier de mon grand-père qui était boucher-charcutier.
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