Difficile d'être militant politique par les temps qui courent, et encore plus difficile quand on est militant LR.
Les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme.
Il est toujours intéressant de scruter les soubresauts des partis politiques en décomposition et le cas du PS est un exemple d'anthologie.
Jean-Christophe Cambadélis, qui succéda à François Hollande et Harlem Désir à la tête du PS, publie, avant son départ, un livre au titre attendu.
Comme toujours quand les choses deviennent sérieuses, on s'est tourné vers l'Armée et elle a accepté. Accepté de prendre pour nous.
En même pas deux semaines, il a brassé quasiment tous les sujets importants de son ministère ! Et recueilli, pour l'essentiel, l'assentiment général.
La bulle Macron est là, gonflée à bloc, à l’Élysée, à l'Assemblée. Toujours pas éclatée certes. Mais énorme et visible de loin.
S'il y a crise au Front national, c'est objectivement une crise de croissance.
Cette double candidature pose la question de la double nationalité et des droits d'éligibilité qu'elle ouvre.
Pas sûr que les électeurs venus à Macron par rejet de Cahuzac ou de Fillon apprécient les montages immobiliers et financiers des époux Ferrand.
Ce n'est certainement pas la fin des soucis ni des lapsus pour notre Président.
Devoir de réserve sélectif...
Le Conseil constitutionnel a rappelé que la campagne électorale devait prendre fin le vendredi 5 mai à minuit...
Ce 23 avril, le peuple de droite a présenté l'addition à celui qui représentait ces errances et ces démissions.
Aucun des deux qualifiés ne dépassait les 25 %. Et le favori des sondages était éliminé.