Insécurité
Il n’y a pas que Nantes, Lyon ou Marseille où l’insécurité gagne les centres-villes, comme en témoigne une pétition largement signée par de nombreux commerçants de l’hyper-centre de Strasbourg.
L’actualité récente de la ville ne peut qu’encourager les manifestants dans leur initiative : fusillade se soldant par la blessure d’un jeune de 17 ans, viol collectif d’une femme de 40 ans…
Face à cette insécurité, très souvent liée au narcobanditisme qui irrigue l’ensemble des réseaux criminels, les moyens mis en œuvre ne suffisent plus.
Une ville ou règne sans partage la gauche, puisque l’immense majorité des élus macronistes sont eux aussi issus du PS ou des anciens EELV ralliés à Macron.
Tandis que tous les indicateurs de la délinquance restent au rouge et qu’aucune amélioration notable ne semble poindre à l’horizon, Emmanuel Macron et son gouvernement font une nouvelle fois le choix de la communication au détriment de l’action.
Cette étude choc, qui ne fait que mettre des chiffres sur un léger sentiment d’insécurité et une relative intuition de l’enrichissement culturel, est vraiment utile, nécessaire même.
À la fin d’un été où le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a donné l’impression d’être sur tous les fronts, un chiffre est révélé, ce
Les « fuyards » sont pourtant des gens bien installés dans l’existence, mais « ils ne reconnaissent plus la France. Celle de leur jeunesse ou celle que leur racontent leurs parents »
Cette situation devient insupportable pour de nombreux habitants du quartier. L’un d’eux dénonce le climat général d’insécurité qui y règne.
Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures.
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Oui mais voilà, une question de taille demeure, freinant l’enthousiasme des plus fervents soutiens de M. Bagnon : qu’est-ce qu’une piste cyclable non genrée ?
François Ruffin, sur sa page Facebook, vient de relayer les propos poignants, par ses soins recueillis, de madame Latour, habitant une de ces cités créolisées de la Somme, où la diversité est reine.
On peut supposer que les policiers, échaudés par les récentes mises en cause judicaires de leurs collègues dans des circonstances similaires et tout en même temps confrontés quotidiennement à l’ensauvagement de la société française, aient hésité à dégainer leurs armes.
S’il y a un écho médiatique suffisant, par la suite, l’État et les gouvernements qui sont responsables devant le peuple devront assumer ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas.
Après les agressions de policiers, de pompiers et tant d’autres professions que les Français ont l’habitude de voir, c’est au tour des forestiers…
« Comment peut-on, alors que l’on exerce une mission au service de l’État et des Français, être finalement considéré et traité comme le premier criminel venu ? »
Les vrais chiffres, les vrais mensonges et la dénonciation des fausses vérités.
De tous côtés, des voix s’élèvent, dénonçant un climat instable et des conditions impossibles pour étudier.
Entre une droite volontiers sécuritaire et une gauche qui écarte le sujet du revers de la main, Emmanuel Macron a trouvé sa petite musique – et c’est une musique… silencieuse.
Comment peut-on promettre la paix à des kilomètres de nos frontières sans mettre en place tous les moyens nécessaires afin de la préserver dans nos villes ?
« C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase », expliquent les professeurs.
En exerçant leur droit de retrait, les agents de la ville de Paris qui travaillent au stade Max-Rousié, dans le XVIIe arrondissement de Paris, ont
Tout au long de son quinquennat, Emmanuel Macron n’a eu de cesse de souffler le chaud et le froid, flattant et dénigrant tour à tour les forces de l’ordre.
Attaquée de dos et plaquée au sol, madame demandera poliment à son agresseur de lui laisser quatre secondes pour appuyer sur le bouton. « Mais je vous en prie », lui répondra le personnage. « J’ai tout mon temps, je suis en vacances. »
Notre pacifisme invétéré a fait grandir chez eux le sentiment de toute puissance, l’hybris. D’une force culturelle et politique vivace, conquérante et minoritaire, nous avons fait un adversaire, puis un ennemi.
L’implantation de ces boîtes d’urgence est probablement liée aux 616 assassinats que Chicago a dû déplorer depuis le début de 2021.
Il n’y a pas que Nantes, Lyon ou Marseille où l’insécurité gagne les centres-villes, comme en témoigne une pétition largement signée par de nombreux commerçants de l’hyper-centre de Strasbourg.
L’actualité récente de la ville ne peut qu’encourager les manifestants dans leur initiative : fusillade se soldant par la blessure d’un jeune de 17 ans, viol collectif d’une femme de 40 ans…
Face à cette insécurité, très souvent liée au narcobanditisme qui irrigue l’ensemble des réseaux criminels, les moyens mis en œuvre ne suffisent plus.
Une ville ou règne sans partage la gauche, puisque l’immense majorité des élus macronistes sont eux aussi issus du PS ou des anciens EELV ralliés à Macron.
Tandis que tous les indicateurs de la délinquance restent au rouge et qu’aucune amélioration notable ne semble poindre à l’horizon, Emmanuel Macron et son gouvernement font une nouvelle fois le choix de la communication au détriment de l’action.
Cette étude choc, qui ne fait que mettre des chiffres sur un léger sentiment d’insécurité et une relative intuition de l’enrichissement culturel, est vraiment utile, nécessaire même.
À la fin d’un été où le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a donné l’impression d’être sur tous les fronts, un chiffre est révélé, ce
Les « fuyards » sont pourtant des gens bien installés dans l’existence, mais « ils ne reconnaissent plus la France. Celle de leur jeunesse ou celle que leur racontent leurs parents »
Cette situation devient insupportable pour de nombreux habitants du quartier. L’un d’eux dénonce le climat général d’insécurité qui y règne.
Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures.
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Oui mais voilà, une question de taille demeure, freinant l’enthousiasme des plus fervents soutiens de M. Bagnon : qu’est-ce qu’une piste cyclable non genrée ?
François Ruffin, sur sa page Facebook, vient de relayer les propos poignants, par ses soins recueillis, de madame Latour, habitant une de ces cités créolisées de la Somme, où la diversité est reine.
On peut supposer que les policiers, échaudés par les récentes mises en cause judicaires de leurs collègues dans des circonstances similaires et tout en même temps confrontés quotidiennement à l’ensauvagement de la société française, aient hésité à dégainer leurs armes.
S’il y a un écho médiatique suffisant, par la suite, l’État et les gouvernements qui sont responsables devant le peuple devront assumer ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas.
Après les agressions de policiers, de pompiers et tant d’autres professions que les Français ont l’habitude de voir, c’est au tour des forestiers…
« Comment peut-on, alors que l’on exerce une mission au service de l’État et des Français, être finalement considéré et traité comme le premier criminel venu ? »
Les vrais chiffres, les vrais mensonges et la dénonciation des fausses vérités.
De tous côtés, des voix s’élèvent, dénonçant un climat instable et des conditions impossibles pour étudier.
Entre une droite volontiers sécuritaire et une gauche qui écarte le sujet du revers de la main, Emmanuel Macron a trouvé sa petite musique – et c’est une musique… silencieuse.
Comment peut-on promettre la paix à des kilomètres de nos frontières sans mettre en place tous les moyens nécessaires afin de la préserver dans nos villes ?
« C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase », expliquent les professeurs.
En exerçant leur droit de retrait, les agents de la ville de Paris qui travaillent au stade Max-Rousié, dans le XVIIe arrondissement de Paris, ont
Tout au long de son quinquennat, Emmanuel Macron n’a eu de cesse de souffler le chaud et le froid, flattant et dénigrant tour à tour les forces de l’ordre.
Attaquée de dos et plaquée au sol, madame demandera poliment à son agresseur de lui laisser quatre secondes pour appuyer sur le bouton. « Mais je vous en prie », lui répondra le personnage. « J’ai tout mon temps, je suis en vacances. »
Notre pacifisme invétéré a fait grandir chez eux le sentiment de toute puissance, l’hybris. D’une force culturelle et politique vivace, conquérante et minoritaire, nous avons fait un adversaire, puis un ennemi.
L’implantation de ces boîtes d’urgence est probablement liée aux 616 assassinats que Chicago a dû déplorer depuis le début de 2021.