Insécurité
Avouez, l’esprit est bon enfant. C’est sans prétention et surtout sans message politico-socio-éducativo-humanitaire.
Mardi 26 juin, dans le Val-d’Oise, un homme d’une trentaine d’années est accosté par deux hommes qui lui demandent une cigarette. Suite à son refus, il est roué de coups et reçoit un coup de couteau dans la cuisse.
Et comme pour désigner symboliquement les responsables de ce laxisme sécuritaire qui sévit dans la cité phocéenne depuis des décennies, les faits se sont déroulés à deux pas de la mairie tenue, depuis 1995, par Jean-Claude Gaudin.
La France officielle, légale n’a pas vocation à passer sous la table démocratique au profit des multiples dissidences qui la fracturent et se comportent comme si elles étaient chez elles et persuadées de ne jamais en être délogées.
Deux villes qui, si rien n’est fait, ressembleront sous peu à Marseille, et où les règlements de comptes se feront par les armes.
Après les policiers, les gendarmes, les pompiers, les gardiens de prisons et les enseignants, ce sont les médecins qui sont bannis.
Il est en effet plus facile de trouver des arguties juridiques contre des « Identitaires », non violents, que d’expliquer de telles brutalités commises contre des policiers devant un commissariat.
Kamal Belbakkal, qui avait agressé, on se souvient, un agriculteur qui travaillait dans son champ, le 18 juin 2017, à Laroque-Timbaut (Lot-et-Garonne), avait été laissé
Dimanche, l’ambassadeur de Bahreïn en France, s’est fait délester de son portefeuille. Au même moment, un couple de diplomates américains était victime d’un vol à la portière.
On tape sur la police, on caillasse les pompiers… pourquoi les médecins seraient-ils épargnés ?
Elle paye certainement le prix d’une vision angélique de la sécurité et de l’intégration. Gardons-nous de suivre le même chemin.
Nous souffrons de deux maux différents qui se nourrissent l’un l’autre. L’immigration et le laxisme.
Les nombreux règlements de comptes qui sont intervenus récemment au sein de la cité phocéenne sont devenus, au fil du temps, emblématiques de la dérive sécuritaire qui touche nos banlieues.
À Rillieux-la-Pape – commune du nord de la métropole de Lyon –, la violence c’est le pain quotidien des habitants.
Perdre, au fil des jours, tant le mal est inventif, le peu de confiance qu’on avait en l’humain, est douloureux.
Avouez, l’esprit est bon enfant. C’est sans prétention et surtout sans message politico-socio-éducativo-humanitaire.
Mardi 26 juin, dans le Val-d’Oise, un homme d’une trentaine d’années est accosté par deux hommes qui lui demandent une cigarette. Suite à son refus, il est roué de coups et reçoit un coup de couteau dans la cuisse.
Et comme pour désigner symboliquement les responsables de ce laxisme sécuritaire qui sévit dans la cité phocéenne depuis des décennies, les faits se sont déroulés à deux pas de la mairie tenue, depuis 1995, par Jean-Claude Gaudin.
La France officielle, légale n’a pas vocation à passer sous la table démocratique au profit des multiples dissidences qui la fracturent et se comportent comme si elles étaient chez elles et persuadées de ne jamais en être délogées.
Deux villes qui, si rien n’est fait, ressembleront sous peu à Marseille, et où les règlements de comptes se feront par les armes.
Après les policiers, les gendarmes, les pompiers, les gardiens de prisons et les enseignants, ce sont les médecins qui sont bannis.
Il est en effet plus facile de trouver des arguties juridiques contre des « Identitaires », non violents, que d’expliquer de telles brutalités commises contre des policiers devant un commissariat.
Kamal Belbakkal, qui avait agressé, on se souvient, un agriculteur qui travaillait dans son champ, le 18 juin 2017, à Laroque-Timbaut (Lot-et-Garonne), avait été laissé
Dimanche, l’ambassadeur de Bahreïn en France, s’est fait délester de son portefeuille. Au même moment, un couple de diplomates américains était victime d’un vol à la portière.
On tape sur la police, on caillasse les pompiers… pourquoi les médecins seraient-ils épargnés ?
Elle paye certainement le prix d’une vision angélique de la sécurité et de l’intégration. Gardons-nous de suivre le même chemin.
Nous souffrons de deux maux différents qui se nourrissent l’un l’autre. L’immigration et le laxisme.
Les nombreux règlements de comptes qui sont intervenus récemment au sein de la cité phocéenne sont devenus, au fil du temps, emblématiques de la dérive sécuritaire qui touche nos banlieues.
À Rillieux-la-Pape – commune du nord de la métropole de Lyon –, la violence c’est le pain quotidien des habitants.
Perdre, au fil des jours, tant le mal est inventif, le peu de confiance qu’on avait en l’humain, est douloureux.