Erdoğan vient de remporter une victoire intérieure majeure en reconquérant un symbole.
En espérant que la République n’oubliera pas nos « citoyens exemplaires ».
Par un léger frémissement des sondages, le souhait populaire du retour à la peine capitale serait à nouveau majoritaire dans le pays.
Laissons le mot de la fin au neurologue Véran, son collègue aux « Solidarités », qui tweetait, en 2015 : « Qui fait le (Dar)malin tombe dans le ravin ! »
Cet asservissement des dirigeants européens à la vague de fond, par idéologie ou suivisme, peut nous alarmer à bon droit.
Non, la colonisation française d’avant l’idée du crime n’est pas un « crime contre l’humanité ».
L’ignominie de Mers el-Kébir doit être comprise comme l’un des derniers épisodes de la grande rivalité anglo-française, et comme l’expression de la volonté de Churchill.
Allons, les faits sont brutaux. Brisons là ! À chacun son Histoire, avec ses lumières et ses obscurités. Qu’on nous laisse la nôtre : nous n’avons pas plus que les autres à en rougir !
La « gratitude éternelle » de notre Président pour Albion n’est-elle point surjouée ?
Erdoğan vient de remporter une victoire intérieure majeure en reconquérant un symbole.
En espérant que la République n’oubliera pas nos « citoyens exemplaires ».
Par un léger frémissement des sondages, le souhait populaire du retour à la peine capitale serait à nouveau majoritaire dans le pays.
Laissons le mot de la fin au neurologue Véran, son collègue aux « Solidarités », qui tweetait, en 2015 : « Qui fait le (Dar)malin tombe dans le ravin ! »
Cet asservissement des dirigeants européens à la vague de fond, par idéologie ou suivisme, peut nous alarmer à bon droit.
Non, la colonisation française d’avant l’idée du crime n’est pas un « crime contre l’humanité ».
L’ignominie de Mers el-Kébir doit être comprise comme l’un des derniers épisodes de la grande rivalité anglo-française, et comme l’expression de la volonté de Churchill.
Allons, les faits sont brutaux. Brisons là ! À chacun son Histoire, avec ses lumières et ses obscurités. Qu’on nous laisse la nôtre : nous n’avons pas plus que les autres à en rougir !
La « gratitude éternelle » de notre Président pour Albion n’est-elle point surjouée ?