Une fois de plus le Kosovo revient sur le devant de la scène internationale avec des images choc de violences…
Viktor Orban ne manie pas la langue de bois. Il est l’un des rares dirigeants européens à exprimer clairement que l’UE est au bord du naufrage.
Les députés européens vont même jusqu’à affirmer que « l’indépendance du Kosovo est irréversible », ce qui est une position opposée à celle de l’ONU et de nombreux pays…
Nous assistons malheureusement à l’éclatement de l’équilibre fragile issu de la fin de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide est devenue chaude.
La Russie et la Chine ne sont pas nos ennemis.
À son retour en Serbie, au milieu de son peuple qui lui a attribué le statut de démiurge, Djokovic s’est précipité au monastère orthodoxe d’Ostrog, au Monténégro.
Washington se sert de l’Ukraine pour ses propres intérêts géopolitiques contre la Russie mais n’a plus les moyens de jadis.
On n’obtiendra jamais la paix si, le même jour et pour le même événement, un peuple est en deuil et l’autre est en liesse. Il en va du bon sens et de la paix dans les Balkans.
Si Macron veut aider les Balkans, qu’il cesse d’être la marionnette de Washington.
Ce dont Minsk est accusé ne correspond pas au comportement d’un État de droit et devrait être condamné. Mais comment les pays atlantistes peuvent-ils condamner alors qu’ils emploient les mêmes méthodes ?
Pour les victimes mondiales de l’ingérence américaine, la plus grande terreur n’est pas le suprémacisme blanc mais le suprémacisme de la Maison-Blanche.
Trump voulait laisser de l’autonomie aux Européens, pas Biden.
Castrées par l’OTAN et bridées par Bruxelles, la France et l’Europe occidentale assistent à l’avancée turque et à la recomposition de l’Europe sans réagir.
Les faucons de guerre de l’OTAN, pourtant bien présents dans l’entourage de Trump, n’ont jamais aimé le président actuel, qui ne leur a pas donné une seule guerre pendant tout son mandat.
Si Bruxelles veut aider ces pays qu’elle commence par respecter leur souveraineté.
Chaque fois que la Russie s’apprête à célébrer une victoire politique internationale, il faut qu’un événement maléfique vienne systématiquement gâcher la fête.
Malgré un quart de siècle d’expérience, il pourrait finir par connaître le même sort que Napoléon sur l’une des rivières les plus connues de son pays : la Bérézina.
Il faut du courage politique pour clamer haut et fort que la France n’a besoin de l’autorisation d’aucun pays au monde pour faire du commerce avec qui elle veut, quand elle veut.
Étrange de voir la Géorgie à la troisième place des pays d’origine et l’Albanie à la quatrième…
Cela ne serait pas la première fois que Paris travaillerait avec Moscou à la barbe de Washington.
L’hystérie raciale en cours est en train de dépasser des sommets…
Les démocrates américains se retrouvent, maintenant, dans la position de l’arroseur arrosé.
Il est temps de lever ces sanctions et de se rapprocher de la Russie, qui est notre alliée naturelle et indispensable et avec qui nous pourrons construire à long terme dans un monde de plus en plus incertain.
Il va être difficile, pour la France, d’être crédible si elle promet la paix à un côté tout en vendant des armes à l’autre.
L’Église orthodoxe serbe implantée depuis le XIIIe siècle, dispose de plus de 600 monastères, églises, chapelles sur un territoire équivalent à deux grands départements français.
C’est assez rare pour le souligner, Emmanuel Macron peut se targuer d’avoir réussi une belle opération diplomatique internationale et d’avoir remis la France au cœur des enjeux politiques européens.
20 ans après les interventions de l’OTAN en Serbie, le problème du Kosovo n’est toujours pas réglé.
Qu’est-ce que Bruxelles et Washington ont apporté aux Balkans ? Des voitures allemandes, des soldats américains, un mille-feuille administratif et des Gay Pride.
Une fois de plus le Kosovo revient sur le devant de la scène internationale avec des images choc de violences…
Viktor Orban ne manie pas la langue de bois. Il est l’un des rares dirigeants européens à exprimer clairement que l’UE est au bord du naufrage.
Les députés européens vont même jusqu’à affirmer que « l’indépendance du Kosovo est irréversible », ce qui est une position opposée à celle de l’ONU et de nombreux pays…
Nous assistons malheureusement à l’éclatement de l’équilibre fragile issu de la fin de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide est devenue chaude.
La Russie et la Chine ne sont pas nos ennemis.
À son retour en Serbie, au milieu de son peuple qui lui a attribué le statut de démiurge, Djokovic s’est précipité au monastère orthodoxe d’Ostrog, au Monténégro.
Washington se sert de l’Ukraine pour ses propres intérêts géopolitiques contre la Russie mais n’a plus les moyens de jadis.
On n’obtiendra jamais la paix si, le même jour et pour le même événement, un peuple est en deuil et l’autre est en liesse. Il en va du bon sens et de la paix dans les Balkans.
Si Macron veut aider les Balkans, qu’il cesse d’être la marionnette de Washington.
Ce dont Minsk est accusé ne correspond pas au comportement d’un État de droit et devrait être condamné. Mais comment les pays atlantistes peuvent-ils condamner alors qu’ils emploient les mêmes méthodes ?
Pour les victimes mondiales de l’ingérence américaine, la plus grande terreur n’est pas le suprémacisme blanc mais le suprémacisme de la Maison-Blanche.
Trump voulait laisser de l’autonomie aux Européens, pas Biden.
Castrées par l’OTAN et bridées par Bruxelles, la France et l’Europe occidentale assistent à l’avancée turque et à la recomposition de l’Europe sans réagir.
Les faucons de guerre de l’OTAN, pourtant bien présents dans l’entourage de Trump, n’ont jamais aimé le président actuel, qui ne leur a pas donné une seule guerre pendant tout son mandat.
Si Bruxelles veut aider ces pays qu’elle commence par respecter leur souveraineté.
Chaque fois que la Russie s’apprête à célébrer une victoire politique internationale, il faut qu’un événement maléfique vienne systématiquement gâcher la fête.
Malgré un quart de siècle d’expérience, il pourrait finir par connaître le même sort que Napoléon sur l’une des rivières les plus connues de son pays : la Bérézina.
Il faut du courage politique pour clamer haut et fort que la France n’a besoin de l’autorisation d’aucun pays au monde pour faire du commerce avec qui elle veut, quand elle veut.
Étrange de voir la Géorgie à la troisième place des pays d’origine et l’Albanie à la quatrième…
Cela ne serait pas la première fois que Paris travaillerait avec Moscou à la barbe de Washington.
L’hystérie raciale en cours est en train de dépasser des sommets…
Les démocrates américains se retrouvent, maintenant, dans la position de l’arroseur arrosé.
Il est temps de lever ces sanctions et de se rapprocher de la Russie, qui est notre alliée naturelle et indispensable et avec qui nous pourrons construire à long terme dans un monde de plus en plus incertain.
Il va être difficile, pour la France, d’être crédible si elle promet la paix à un côté tout en vendant des armes à l’autre.
L’Église orthodoxe serbe implantée depuis le XIIIe siècle, dispose de plus de 600 monastères, églises, chapelles sur un territoire équivalent à deux grands départements français.
C’est assez rare pour le souligner, Emmanuel Macron peut se targuer d’avoir réussi une belle opération diplomatique internationale et d’avoir remis la France au cœur des enjeux politiques européens.
20 ans après les interventions de l’OTAN en Serbie, le problème du Kosovo n’est toujours pas réglé.
Qu’est-ce que Bruxelles et Washington ont apporté aux Balkans ? Des voitures allemandes, des soldats américains, un mille-feuille administratif et des Gay Pride.
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