A quelques jours du sommet Europe-Afrique, force est de constater que le partenariat entre ces deux entités n’a pas démontré son efficacité.
Il urge, aussi, de se départir de ces tentations de mimétisme qui amènent à réaliser des projets grandioses soi-disant modernes mais qui s’avèrent, en fin de compte, de véritables « éléphants blancs ».
Il faut sans doute à la France un plan de redressement économique et financier à court terme dont les effets immédiats permettent de maintenir l’emploi et les revenus et de booster le moral des acteurs./
Le président ivoirien, Alassane Ouattara, vient d’annoncer sa décision de ne pas briguer un troisième mandat.
L’empire du Milieu, dépourvu de passé colonial en Afrique et observateur dans le mouvement des non-alignés, bénéficie d’une image positive sur le continent noir.
Le Rwanda à la tête de la Francophonie ? Cela paraît surréaliste, compte tenu du fait que ce pays a choisi de ne plus faire du français sa langue officielle.
La nouvelle stratégie occidentale présente plusieurs risques.
Le propre des projets d’infrastructures est qu’ils sont très capitalistiques, en général peu rentables sur le court terme.
L’Afrique doit exiger de ses partenaires le respect.
Il faut montrer aux jeunes que l’Europe n’est plus cet eldorado rêvé.
L’élection de George Weah à la tête du Liberia interpelle sur trois questions majeures.
Nous lançons un appel à tous les intellectuels africains et sympathisants de l’Afrique pour structurer ce mécanisme de veille.
C’est un « lion blessé », en pleine crise de personnalité, qui veut montrer au monde qu’il existe.
Le chef de l’État français dans son discours d’Ouagadougou adressé à l’Afrique s’est efforcé de décliner une nouvelle stratégie.
L’humanité tout entière continue d’être « embarquée » dans un combat vain, perdu d’avance, et fortement mobilisateur d’énergie.
Il est fortement espéré que le prochain sommet enclenchera une rupture salvatrice dans l’état d’esprit et les méthodes du partenariat.
Le rôle de la famille devient indispensable dans l’éducation de base du citoyen.
Les réflexions sur le développement économique devraient tenir compte des spécificités culturelles et religieuses des pays concernés.
Les détracteurs de cette monnaie reprochent au FCFA son arrimage à un euro fort qui handicape les exportations de ses pays membres.
La persistance de la pauvreté sur le Continent résulte, à notre avis, moins d’un taux de fécondité élevé que de dysfonctionnements économiques.
A quelques jours du sommet Europe-Afrique, force est de constater que le partenariat entre ces deux entités n’a pas démontré son efficacité.
Il urge, aussi, de se départir de ces tentations de mimétisme qui amènent à réaliser des projets grandioses soi-disant modernes mais qui s’avèrent, en fin de compte, de véritables « éléphants blancs ».
Il faut sans doute à la France un plan de redressement économique et financier à court terme dont les effets immédiats permettent de maintenir l’emploi et les revenus et de booster le moral des acteurs./
Le président ivoirien, Alassane Ouattara, vient d’annoncer sa décision de ne pas briguer un troisième mandat.
L’empire du Milieu, dépourvu de passé colonial en Afrique et observateur dans le mouvement des non-alignés, bénéficie d’une image positive sur le continent noir.
Le Rwanda à la tête de la Francophonie ? Cela paraît surréaliste, compte tenu du fait que ce pays a choisi de ne plus faire du français sa langue officielle.
La nouvelle stratégie occidentale présente plusieurs risques.
Le propre des projets d’infrastructures est qu’ils sont très capitalistiques, en général peu rentables sur le court terme.
L’Afrique doit exiger de ses partenaires le respect.
Il faut montrer aux jeunes que l’Europe n’est plus cet eldorado rêvé.
L’élection de George Weah à la tête du Liberia interpelle sur trois questions majeures.
Nous lançons un appel à tous les intellectuels africains et sympathisants de l’Afrique pour structurer ce mécanisme de veille.
C’est un « lion blessé », en pleine crise de personnalité, qui veut montrer au monde qu’il existe.
Le chef de l’État français dans son discours d’Ouagadougou adressé à l’Afrique s’est efforcé de décliner une nouvelle stratégie.
L’humanité tout entière continue d’être « embarquée » dans un combat vain, perdu d’avance, et fortement mobilisateur d’énergie.
Il est fortement espéré que le prochain sommet enclenchera une rupture salvatrice dans l’état d’esprit et les méthodes du partenariat.
Le rôle de la famille devient indispensable dans l’éducation de base du citoyen.
Les réflexions sur le développement économique devraient tenir compte des spécificités culturelles et religieuses des pays concernés.
Les détracteurs de cette monnaie reprochent au FCFA son arrimage à un euro fort qui handicape les exportations de ses pays membres.
La persistance de la pauvreté sur le Continent résulte, à notre avis, moins d’un taux de fécondité élevé que de dysfonctionnements économiques.