Emmanuel Macron
L’action de longue durée, assurée par tout un peuple dirigé par une suite d’hommes avisés et opiniâtres, est plus efficace que le volontarisme d’un seul.
La supercherie éclate aux yeux de tous, aujourd’hui. Le nouveau monde n’était qu’un leurre, qu’un simple slogan de campagne électorale. Cette élection fut une fausse route.
La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
Que ce lieu soit éternellement préservé et pieusement conservé.
La réalité est assez simple, elle tient en quatre mots : « totale perte de crédibilité » d’Emmanuel Macron…
Il se voulait Jupiter ? Il n’était que Triboulet.
Pratique, ce président italien, car il permet de passer par-dessus ces ploucs de souverainistes italiens…
En un mot, l’art de parler pour ne rien dire, d’enfoncer des portes ouvertes et d’enfiler des perles d’inculture…
L ’idée d’envoyer la population baguenauder dans la pampa environnante durant une visite présidentielle est à creuser sérieusement.
L’irrépressible désir des politiques de laisser leur nom dans la pierre comme un chien lève la patte au coin de la rue pour marquer son territoire.
Le Président Macron a construit sa campagne fulgurante et dégagiste en nous promettant qu’un nouveau monde allait succéder à l’ancien. On a vu.
Qui a conseillé aux gilets jaunes de réclamer un RIC ? Qui a lancé ces mots d’ordre conduisant nécessairement à l’échec ?
La formule mérite médaille au concours Lépine de l’oxymore.
Assurément, le sujet du vote blanc, balayé d’un revers d’arrogance par Macron, reviendra sur le tapis républicain !
Le bilan objectif, c’est que Jean-Michel Blanquer, loin d’avoir pris le contre-pied de ses prédécesseurs, poursuit, parfois plus habilement, mais plus brutalement aussi, le grand sabordage de l’Éducation nationale.
Macron essaie, avec des gadgets, de reconquérir une opinion publique qui lui tourne le dos…
Que retenir de la conférence de presse présidentielle de jeudi soir ? Comment l’analyser et quel pronostic peut-on faire pour les européennes ? Guillaume Bernard
Baisser les pensions est l’obsession du gouvernement et tous les moyens sont bons.
Et ce cabotage s’est échoué, jeudi, en cabotinage par la grande scène du II.
Robert Ménard publie, le 2 mai, Un maire ne devrait pas faire ça, livre dans lequel il dresse un constat sur son mandat de maire
À mots non dissimulés, Macron a ainsi fixé les objectifs des prochaines élections européennes.
Ses partisans ont la larme à l’œil ou sont béats d’admiration. Les autres, plus nombreux, se disent qu’une fois de plus, il s’est moqué des Français.
Avec lui et dans la relation démocratique, la psychologie est centrale et la clé de tout.
Malheureusement, le Président n’a choisi de la jeunesse que les pires défaut pour agir.
Ils se veulent avocats et ne font qu’enfoncer leur client.
Ā un mois et demi des élections européennes, il est vrai, c’eût été pain bénit.
L’action de longue durée, assurée par tout un peuple dirigé par une suite d’hommes avisés et opiniâtres, est plus efficace que le volontarisme d’un seul.
La supercherie éclate aux yeux de tous, aujourd’hui. Le nouveau monde n’était qu’un leurre, qu’un simple slogan de campagne électorale. Cette élection fut une fausse route.
La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
Que ce lieu soit éternellement préservé et pieusement conservé.
La réalité est assez simple, elle tient en quatre mots : « totale perte de crédibilité » d’Emmanuel Macron…
Il se voulait Jupiter ? Il n’était que Triboulet.
Pratique, ce président italien, car il permet de passer par-dessus ces ploucs de souverainistes italiens…
En un mot, l’art de parler pour ne rien dire, d’enfoncer des portes ouvertes et d’enfiler des perles d’inculture…
L ’idée d’envoyer la population baguenauder dans la pampa environnante durant une visite présidentielle est à creuser sérieusement.
L’irrépressible désir des politiques de laisser leur nom dans la pierre comme un chien lève la patte au coin de la rue pour marquer son territoire.
Le Président Macron a construit sa campagne fulgurante et dégagiste en nous promettant qu’un nouveau monde allait succéder à l’ancien. On a vu.
Qui a conseillé aux gilets jaunes de réclamer un RIC ? Qui a lancé ces mots d’ordre conduisant nécessairement à l’échec ?
La formule mérite médaille au concours Lépine de l’oxymore.
Assurément, le sujet du vote blanc, balayé d’un revers d’arrogance par Macron, reviendra sur le tapis républicain !
Le bilan objectif, c’est que Jean-Michel Blanquer, loin d’avoir pris le contre-pied de ses prédécesseurs, poursuit, parfois plus habilement, mais plus brutalement aussi, le grand sabordage de l’Éducation nationale.
Macron essaie, avec des gadgets, de reconquérir une opinion publique qui lui tourne le dos…
Que retenir de la conférence de presse présidentielle de jeudi soir ? Comment l’analyser et quel pronostic peut-on faire pour les européennes ? Guillaume Bernard
Baisser les pensions est l’obsession du gouvernement et tous les moyens sont bons.
Et ce cabotage s’est échoué, jeudi, en cabotinage par la grande scène du II.
Robert Ménard publie, le 2 mai, Un maire ne devrait pas faire ça, livre dans lequel il dresse un constat sur son mandat de maire
À mots non dissimulés, Macron a ainsi fixé les objectifs des prochaines élections européennes.
Ses partisans ont la larme à l’œil ou sont béats d’admiration. Les autres, plus nombreux, se disent qu’une fois de plus, il s’est moqué des Français.
Avec lui et dans la relation démocratique, la psychologie est centrale et la clé de tout.
Malheureusement, le Président n’a choisi de la jeunesse que les pires défaut pour agir.
Ils se veulent avocats et ne font qu’enfoncer leur client.
Ā un mois et demi des élections européennes, il est vrai, c’eût été pain bénit.