Union des droites
Que les partis attachés à la souveraineté s’unissent autour de la sauvegarde de nos racines et de l’amour de la France.
L’union des droites en passe de se réaliser (pour le première fois) en Aveyron ?
Dans l’inflexibilité de la réponse sécuritaire, la droite parle d’une seule voix. Jordan Bardella l’a bien compris.
En septembre dernier, notre chroniqueur Nicolas Gauthier nous livrait son point de vue sur l’union des droites dans un article titré « Cette union des droites
Notre infatigable Triboulet prône désormais cette nécessaire « union des droites » afin que le gouvernement puisse faire passer sa réforme des retraites au Parlement sans avoir recours au 49.3.
Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.
Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.
Une candidate qui ne cache pas sa satisfaction : « Je suis très contente, très fière d’avoir réussi à acter l’union des droites dans ma circonscription. Cela faisait des années que la droite en parlait pour qu’à la fin, seule la gauche parvienne à la faire. »
Entre le RN qui pense se passer de soutien et Reconquête qui confond main et doigt tendus, l’union du camp national est loin d’être faite.
Éric Zemmour, c’est Napoléon Ier, tandis que Marine Le Pen, c’est la tentative du bonapartisme de Napoléon III, avec l’attachement aux questions sociales. Pour ce qui est du premier tour en 2022, l’insécurité économique et sociale est apparue plus prégnante que l’insécurité identitaire et culturelle.
Les trois soussignés, en toute loyauté à l’égard des candidats qu’ils soutiennent, lancent à ceux-ci un appel solennel pour qu’ils se parlent, et que, au deuxième tour, puis à l’élection législative qui suivra, l’union s’établisse.
Se souvenir que six mois de campagne de premier tour à taper sur son plus proche voisin rend quasiment impossible avant le deuxième tour de rattraper l’impact délétère du bashing précédent !
Si, après tant d’années, les différents acteurs de la droite nationale ne sont pas parvenus à se mettre d’accord autour d’un programme commun de gouvernement, c’est qu’ils ne le veulent pas vraiment.
Le député européen Thierry Mariani se réjouit, au micro de Boulevard Voltaire, du soutien apporté par le Rassemblement national au maire divers droite de Vedène,
Ce que la gauche semble avoir réussi, la droite s’entête à le refuser ! Pourtant, entre l’urgence environnementale, inventée à gauche, et l’urgence identitaire, dénoncée à droite, il n’y a rien.
Ceux-ci ont à cœur de réfléchir et proposer des mesures concrètes pour relancer l’économie et revenir à l’essentiel.
Mais comment Christian Jacob, qui n’est pas capable d’entendre les avertissements qui montent de son propre parti, pourrait-il écouter Éric Zemmour ?
Jean-Paul Garraud et Thierry Mariani, députés européens élus sur une liste du Rassemblement national, appellent à des initiatives locales pour constituer des listes d’union des
Visiblement, l’union des droites progresse à Béziers puisque Robert Ménard est soutenu par plusieurs élus locaux LR et le Rassemblement national. Une union des droites
Celle qu’il faut éliminer, c’est toujours la même. Cela fait partie de la règle du jeu de base, avant même d’aligner les petits chevaux.
Jouer ainsi sur la peur est la méthode « globaliste » à l’œuvre, que ce soit à propos du climat ou du Brexit, mais curieusement jamais à propos de la submersion migratoire.
Il est maintenant temps que de grandes figures des Républicains suivent le chemin de Mariani afin de briser ce cordon sanitaire établi par la gauche, qui aura fait tant de mal à la droite et surtout à la France.
N’y a-t-il pas des points communs entre le Rassemblement national, Debout la France, le Parti chrétien-démocrate, une fraction de LR et bien d’autres mouvements de droite moins connus ?
Christophe Billan, ancien président de Sens commun et auteur de L’Honneur perdu de la droite, répond sans détour aux questions sans concessions de Boulevard Voltaire.
Qui a dit qu’Éric Zemmour était désespérant ? Il redonne, au contraire, espoir en l’humanité.
Ouverture d’une enquête judiciaire contre Éric Zemmour, polémique qui n’en finit pas, annonce de Marion Maréchal déclarant qu’elle ne sera pas candidate en 2022… Y
La future majorité anti-Macron n’est pas à rechercher « à droite » mais dans l’ensemble du peuple français aujourd’hui confronté au double problème de l’immigration et de la politique d’austérité…
Jouer aux « anars de droite » peut être utile pour draguer en soirée mais pas pour gouverner.
Que les partis attachés à la souveraineté s’unissent autour de la sauvegarde de nos racines et de l’amour de la France.
L’union des droites en passe de se réaliser (pour le première fois) en Aveyron ?
Dans l’inflexibilité de la réponse sécuritaire, la droite parle d’une seule voix. Jordan Bardella l’a bien compris.
En septembre dernier, notre chroniqueur Nicolas Gauthier nous livrait son point de vue sur l’union des droites dans un article titré « Cette union des droites
Notre infatigable Triboulet prône désormais cette nécessaire « union des droites » afin que le gouvernement puisse faire passer sa réforme des retraites au Parlement sans avoir recours au 49.3.
Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.
Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.
Une candidate qui ne cache pas sa satisfaction : « Je suis très contente, très fière d’avoir réussi à acter l’union des droites dans ma circonscription. Cela faisait des années que la droite en parlait pour qu’à la fin, seule la gauche parvienne à la faire. »
Entre le RN qui pense se passer de soutien et Reconquête qui confond main et doigt tendus, l’union du camp national est loin d’être faite.
Éric Zemmour, c’est Napoléon Ier, tandis que Marine Le Pen, c’est la tentative du bonapartisme de Napoléon III, avec l’attachement aux questions sociales. Pour ce qui est du premier tour en 2022, l’insécurité économique et sociale est apparue plus prégnante que l’insécurité identitaire et culturelle.
Les trois soussignés, en toute loyauté à l’égard des candidats qu’ils soutiennent, lancent à ceux-ci un appel solennel pour qu’ils se parlent, et que, au deuxième tour, puis à l’élection législative qui suivra, l’union s’établisse.
Se souvenir que six mois de campagne de premier tour à taper sur son plus proche voisin rend quasiment impossible avant le deuxième tour de rattraper l’impact délétère du bashing précédent !
Si, après tant d’années, les différents acteurs de la droite nationale ne sont pas parvenus à se mettre d’accord autour d’un programme commun de gouvernement, c’est qu’ils ne le veulent pas vraiment.
Le député européen Thierry Mariani se réjouit, au micro de Boulevard Voltaire, du soutien apporté par le Rassemblement national au maire divers droite de Vedène,
Ce que la gauche semble avoir réussi, la droite s’entête à le refuser ! Pourtant, entre l’urgence environnementale, inventée à gauche, et l’urgence identitaire, dénoncée à droite, il n’y a rien.
Ceux-ci ont à cœur de réfléchir et proposer des mesures concrètes pour relancer l’économie et revenir à l’essentiel.
Mais comment Christian Jacob, qui n’est pas capable d’entendre les avertissements qui montent de son propre parti, pourrait-il écouter Éric Zemmour ?
Jean-Paul Garraud et Thierry Mariani, députés européens élus sur une liste du Rassemblement national, appellent à des initiatives locales pour constituer des listes d’union des
Visiblement, l’union des droites progresse à Béziers puisque Robert Ménard est soutenu par plusieurs élus locaux LR et le Rassemblement national. Une union des droites
Celle qu’il faut éliminer, c’est toujours la même. Cela fait partie de la règle du jeu de base, avant même d’aligner les petits chevaux.
Jouer ainsi sur la peur est la méthode « globaliste » à l’œuvre, que ce soit à propos du climat ou du Brexit, mais curieusement jamais à propos de la submersion migratoire.
Il est maintenant temps que de grandes figures des Républicains suivent le chemin de Mariani afin de briser ce cordon sanitaire établi par la gauche, qui aura fait tant de mal à la droite et surtout à la France.
N’y a-t-il pas des points communs entre le Rassemblement national, Debout la France, le Parti chrétien-démocrate, une fraction de LR et bien d’autres mouvements de droite moins connus ?
Christophe Billan, ancien président de Sens commun et auteur de L’Honneur perdu de la droite, répond sans détour aux questions sans concessions de Boulevard Voltaire.
Qui a dit qu’Éric Zemmour était désespérant ? Il redonne, au contraire, espoir en l’humanité.
Ouverture d’une enquête judiciaire contre Éric Zemmour, polémique qui n’en finit pas, annonce de Marion Maréchal déclarant qu’elle ne sera pas candidate en 2022… Y
La future majorité anti-Macron n’est pas à rechercher « à droite » mais dans l’ensemble du peuple français aujourd’hui confronté au double problème de l’immigration et de la politique d’austérité…
Jouer aux « anars de droite » peut être utile pour draguer en soirée mais pas pour gouverner.