Raphaël Enthoven
Comme tout bon censeur dont cet entre-deux-tours n’a jamais manqué, le professeur distribue les bons et les mauvais points, et brandit le spectre de la menace.
Ukrainiennes, Ukrainiens, votre calvaire sera de courte durée. Poutine est foutu, Sandrine est dans la rue.
Et puis il peut encore changer d’avis. Et puis sa tante pourrait… Stop !
Avait-il besoin de tant faire sa « coquette »…
Raphaël Enthoven offre des descriptions d’un comique achevé avec un art du trait et de l’imitation, sans mépris, qu’on n’imaginait pas chez ce philosophe.
Je ne suis pas naïf, mais il y a des causes, des dénonciations, des analyses qui gagneraient à être moins sûres d’elles. Pour être davantage partagées.
Il est plus facile de disserter seul, face à une caméra, que de débattre face à un poids lourd comme Zemmour.
Jouer ainsi sur la peur est la méthode « globaliste » à l’œuvre, que ce soit à propos du climat ou du Brexit, mais curieusement jamais à propos de la submersion migratoire.
En vérité, ceux qui ne voulaient pas que cette Convention se tienne ont tout simplement peur, peur que les intellectuels, la société civile, se structurent en force politique.
Pour le bac, on met en garde les candidats contre les poncifs et les lieux communs qui ne reposent sur rien. Dommage que les profs de philo qui s’épanchent sur Twitter ne leur montrent guère l’exemple.
Si on devait poursuivre le raisonnement avec cette période, cela signifierait donc que nous sommes sur le point d’entrer sous occupation…
BHL et Onfray se détestent maintenant, mais peuvent très bien faire la paix demain.
La robe n’est-elle pas un allié objectif du violeur en lui permettant de trousser facilement sa proie ?
Le risque, quand on s’aventure avec une légèreté arrogante et désinvolte sur des terrains dont on ignore tout, c’est de sombrer dans le ridicule.
Quand on veut tuer son chien, plus besoin de dire qu’il a la rage : il suffit de le traiter de facho.
Comme tout bon censeur dont cet entre-deux-tours n’a jamais manqué, le professeur distribue les bons et les mauvais points, et brandit le spectre de la menace.
Ukrainiennes, Ukrainiens, votre calvaire sera de courte durée. Poutine est foutu, Sandrine est dans la rue.
Et puis il peut encore changer d’avis. Et puis sa tante pourrait… Stop !
Avait-il besoin de tant faire sa « coquette »…
Raphaël Enthoven offre des descriptions d’un comique achevé avec un art du trait et de l’imitation, sans mépris, qu’on n’imaginait pas chez ce philosophe.
Je ne suis pas naïf, mais il y a des causes, des dénonciations, des analyses qui gagneraient à être moins sûres d’elles. Pour être davantage partagées.
Il est plus facile de disserter seul, face à une caméra, que de débattre face à un poids lourd comme Zemmour.
Jouer ainsi sur la peur est la méthode « globaliste » à l’œuvre, que ce soit à propos du climat ou du Brexit, mais curieusement jamais à propos de la submersion migratoire.
En vérité, ceux qui ne voulaient pas que cette Convention se tienne ont tout simplement peur, peur que les intellectuels, la société civile, se structurent en force politique.
Pour le bac, on met en garde les candidats contre les poncifs et les lieux communs qui ne reposent sur rien. Dommage que les profs de philo qui s’épanchent sur Twitter ne leur montrent guère l’exemple.
Si on devait poursuivre le raisonnement avec cette période, cela signifierait donc que nous sommes sur le point d’entrer sous occupation…
BHL et Onfray se détestent maintenant, mais peuvent très bien faire la paix demain.
La robe n’est-elle pas un allié objectif du violeur en lui permettant de trousser facilement sa proie ?
Le risque, quand on s’aventure avec une légèreté arrogante et désinvolte sur des terrains dont on ignore tout, c’est de sombrer dans le ridicule.
Quand on veut tuer son chien, plus besoin de dire qu’il a la rage : il suffit de le traiter de facho.