Péninsule arabique
Les rebelles yéménites houthis revendiquent le bombardement, par drones interposés, d’installations pétrolières saoudiennes, réduisant ainsi de moitié la production d’un royaume représentant à lui seul 5 % de la production mondiale.
Étrange paradoxe, où des pays de tradition islamique s’occidentalisent, tandis que des pays européens montrent, à l’égard de pratiques islamiques, une coupable indulgence !
C’est une histoire comme on ne les raconte pas. Peur de se fâcher avec nos grands amis saoudiens.
Arrêtons de nous tourmenter. La question est simple : on vend ou on ne vend pas.
À quand une protestation officielle de la France ?
Le nouveau tsar pratique une politique qu’on pourrait qualifier de « harem », dans lequel parviennent à cohabiter ces quatre épouses que sont respectivement Iran, Israël, Turquie et Syrie…
Il était une fois un royaume écrasé par le soleil et assis sur un paysage martien.
Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, commente, pour Boulevard Voltaire, l’affaire Khashoggi, ce journaliste saoudien tué dans les locaux du consulat de son pays
Mais que l’on se rassure : quoi qu’il arrive, au Proche-Orient, les gentils sont Israël et l’Arabie saoudite et les méchants les Iraniens et les Syriens. Ainsi en a décidé la grande Amérique.
Quant à Emmanuel Macron, qui attend une discussion avec MBS « dans les prochains jours », il ne paraît pas pressé « que la vérité et la clarté soient établies ».
Il serait temps, en effet, de mettre un coup d’arrêt à cet islam de combat dont les ravages grandissants portent immanquablement la même signature : celle de Riyad.
Nos bien-pensants préfèrent s’attaquer à des proies plus faciles, comme Vladimir Poutine, et prendre des sanctions économiques contre la Russie.
Mon Dieu, comment est-ce possible ? Mais il y a mieux encore : il paraît que le prince héritier va maintenant s’attaquer au harcèlement sexuel.
Les médias économiques complaisants et d’un optimisme béat ne nous ont encore jamais dit pourquoi le prix du pétrole était subitement remonté à 68 dollars en janvier 2018.
Avec 100 millions d’euros, l’Arabie saoudite est de loin le principal contributeur financier.
Ce pays est le centre névralgique de la secte wahhabite, responsable des attentats qui ensanglantent le monde depuis le début du siècle
Les révolutions surviennent généralement quand le peuple ne « veut plus » et que l’État ne « peut » plus.
Demain, le robot prétendra bénéficier des droits de l’homme et trouvera moult docteurs Faust, Folamour ou Diafoirus pour le soutenir.
En Arabie saoudite, le « Comité pour la promotion de la vertu et la prévention du vice » vient d’arrêter un jeune mannequin…
Si les Saoudiens mettent au pas le Qatar, ils auront définitivement le champ libre pour diffuser leur idéologie wahhabite dans tout le monde musulman.
Les rebelles yéménites houthis revendiquent le bombardement, par drones interposés, d’installations pétrolières saoudiennes, réduisant ainsi de moitié la production d’un royaume représentant à lui seul 5 % de la production mondiale.
Étrange paradoxe, où des pays de tradition islamique s’occidentalisent, tandis que des pays européens montrent, à l’égard de pratiques islamiques, une coupable indulgence !
C’est une histoire comme on ne les raconte pas. Peur de se fâcher avec nos grands amis saoudiens.
Arrêtons de nous tourmenter. La question est simple : on vend ou on ne vend pas.
À quand une protestation officielle de la France ?
Le nouveau tsar pratique une politique qu’on pourrait qualifier de « harem », dans lequel parviennent à cohabiter ces quatre épouses que sont respectivement Iran, Israël, Turquie et Syrie…
Il était une fois un royaume écrasé par le soleil et assis sur un paysage martien.
Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, commente, pour Boulevard Voltaire, l’affaire Khashoggi, ce journaliste saoudien tué dans les locaux du consulat de son pays
Mais que l’on se rassure : quoi qu’il arrive, au Proche-Orient, les gentils sont Israël et l’Arabie saoudite et les méchants les Iraniens et les Syriens. Ainsi en a décidé la grande Amérique.
Quant à Emmanuel Macron, qui attend une discussion avec MBS « dans les prochains jours », il ne paraît pas pressé « que la vérité et la clarté soient établies ».
Il serait temps, en effet, de mettre un coup d’arrêt à cet islam de combat dont les ravages grandissants portent immanquablement la même signature : celle de Riyad.
Nos bien-pensants préfèrent s’attaquer à des proies plus faciles, comme Vladimir Poutine, et prendre des sanctions économiques contre la Russie.
Mon Dieu, comment est-ce possible ? Mais il y a mieux encore : il paraît que le prince héritier va maintenant s’attaquer au harcèlement sexuel.
Les médias économiques complaisants et d’un optimisme béat ne nous ont encore jamais dit pourquoi le prix du pétrole était subitement remonté à 68 dollars en janvier 2018.
Avec 100 millions d’euros, l’Arabie saoudite est de loin le principal contributeur financier.
Ce pays est le centre névralgique de la secte wahhabite, responsable des attentats qui ensanglantent le monde depuis le début du siècle
Les révolutions surviennent généralement quand le peuple ne « veut plus » et que l’État ne « peut » plus.
Demain, le robot prétendra bénéficier des droits de l’homme et trouvera moult docteurs Faust, Folamour ou Diafoirus pour le soutenir.
En Arabie saoudite, le « Comité pour la promotion de la vertu et la prévention du vice » vient d’arrêter un jeune mannequin…
Si les Saoudiens mettent au pas le Qatar, ils auront définitivement le champ libre pour diffuser leur idéologie wahhabite dans tout le monde musulman.