Fabien Roussel
Les références « agricoles » du communisme sont en effet exemplaires.
Le problème, avec les échanges de propos outranciers, c’est qu’on est obligé de poursuivre la spirale…
Lors de la Fête de l’Humanité, millésime 2023, l’union de la gauche n’aura pas tout à fait été à la fête.
À trop vouloir se chercher, Fabien Roussel ne serait-il pas en train de se perdre ?
La logique voudrait que les dirigeants de gauche composent avec celui qui paraît plébiscité par le peuple de gauche.
Ces violences sont l’occasion de mettre en lumière le fossé qui existe entre l’extrême gauche et le PCF.
Le secrétaire national du Parti communiste français réélu ce dimanche doit aller au bout de sa logique.
Cette stratégie du chaos voulue par LFI a renforcé le RN et condamné LFI à une surenchère permanente.
Comme quoi le passé a encore de l’avenir, même à gauche.
Et puis Didier Lallement lâche cette phrase : « Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour. »
Mélenchon parle à ceux pour qui la France n’est plus qu’une vache à lait : mondialistes, wokistes ou de culture étrangère. Roussel tente de récupérer les autres, ceux qui ont le culot de vouloir vivre en Français en France…
Fabien Roussel, lui, ne va pas sur ce terrain sociétal, si cher aux écolos, mais reste sur celui du social, dans la tradition du PCF…
Fabien Roussel, communiste et glouton de service, réagit aux propos de l’herbivore à lunettes. Il n’est pas d’humeur à se laisser déconstruire.
Il y a la gauche à l’ancienne de Fabien Roussel qui, ce mardi 28 juin, serre chaleureusement la louche de tous ses collègues, y compris ceux du Rassemblement national. Moins courtoise est cette extrême gauche incarnée par Mathilde Panot et Danièle Obono.
Ce sont les mêmes qui, au nom de « la lutte contre le fascisme », ont tout au long de la campagne agressé les militants du RN et de Reconquête
Fabien, si jamais tu nous lis, sache que la patrie te sera à jamais reconnaissante de ce geste salutaire, fût-il involontaire.
Menu détail : au siècle dernier, c’était la gauche qui entonnait « La Marseillaise » avant de faire de même de « L’Internationale », tandis que la droite légitimiste d’alors avait plutôt tendance à chanter « La Royale ».
Pourtant, celle qui se vante d’avoir « déconstruit » son mari admet toutefois « prendre du plaisir à boire un verre de bon vin »… Que d’audace dans la transgression.
De telles nuances Fabien Roussel n’a manifestement que faire quand, affirmant au passage : « J’appellerai à faire barrage à l’extrême droite. »
Alors, après le Penelopegate, le Rousselgate ?
Cet homme est dangereux. Car même s’il n’accède pas au pouvoir, il banalise des références qui légitiment une violence dont la France n’a pas besoin : les antifas tolérés par ce pouvoir nous suffisent.
« Pour retrouver le bonheur », nous serions submergés de milliards d’euros d’argent magique
Fabien Roussel sent le pâté de cochon. Tout comme le Front national et le Rassemblement national après lui, il est tombé dans le piège du « racisme supposé de l’entrecôte »…
La déclaration d’amour de M. Roussel à la culture culinaire du pays ne dois pas servir d’écran de fumée.
En politique, l’intelligence ne fait pas tout.
Sans surprise, les brigades de l’eau minérale et les milices végétariennes sont vite sorties du bois.
Fabien Roussel, rejeton d’un régime totalitaire dont le bilan avoisine les cent millions de morts, entend donc donner des leçons de démocratie…
Il est des atavismes idéologiques incurables.
Les références « agricoles » du communisme sont en effet exemplaires.
Le problème, avec les échanges de propos outranciers, c’est qu’on est obligé de poursuivre la spirale…
Lors de la Fête de l’Humanité, millésime 2023, l’union de la gauche n’aura pas tout à fait été à la fête.
À trop vouloir se chercher, Fabien Roussel ne serait-il pas en train de se perdre ?
La logique voudrait que les dirigeants de gauche composent avec celui qui paraît plébiscité par le peuple de gauche.
Ces violences sont l’occasion de mettre en lumière le fossé qui existe entre l’extrême gauche et le PCF.
Le secrétaire national du Parti communiste français réélu ce dimanche doit aller au bout de sa logique.
Cette stratégie du chaos voulue par LFI a renforcé le RN et condamné LFI à une surenchère permanente.
Comme quoi le passé a encore de l’avenir, même à gauche.
Et puis Didier Lallement lâche cette phrase : « Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour. »
Mélenchon parle à ceux pour qui la France n’est plus qu’une vache à lait : mondialistes, wokistes ou de culture étrangère. Roussel tente de récupérer les autres, ceux qui ont le culot de vouloir vivre en Français en France…
Fabien Roussel, lui, ne va pas sur ce terrain sociétal, si cher aux écolos, mais reste sur celui du social, dans la tradition du PCF…
Fabien Roussel, communiste et glouton de service, réagit aux propos de l’herbivore à lunettes. Il n’est pas d’humeur à se laisser déconstruire.
Il y a la gauche à l’ancienne de Fabien Roussel qui, ce mardi 28 juin, serre chaleureusement la louche de tous ses collègues, y compris ceux du Rassemblement national. Moins courtoise est cette extrême gauche incarnée par Mathilde Panot et Danièle Obono.
Ce sont les mêmes qui, au nom de « la lutte contre le fascisme », ont tout au long de la campagne agressé les militants du RN et de Reconquête
Fabien, si jamais tu nous lis, sache que la patrie te sera à jamais reconnaissante de ce geste salutaire, fût-il involontaire.
Menu détail : au siècle dernier, c’était la gauche qui entonnait « La Marseillaise » avant de faire de même de « L’Internationale », tandis que la droite légitimiste d’alors avait plutôt tendance à chanter « La Royale ».
Pourtant, celle qui se vante d’avoir « déconstruit » son mari admet toutefois « prendre du plaisir à boire un verre de bon vin »… Que d’audace dans la transgression.
De telles nuances Fabien Roussel n’a manifestement que faire quand, affirmant au passage : « J’appellerai à faire barrage à l’extrême droite. »
Alors, après le Penelopegate, le Rousselgate ?
Cet homme est dangereux. Car même s’il n’accède pas au pouvoir, il banalise des références qui légitiment une violence dont la France n’a pas besoin : les antifas tolérés par ce pouvoir nous suffisent.
« Pour retrouver le bonheur », nous serions submergés de milliards d’euros d’argent magique
Fabien Roussel sent le pâté de cochon. Tout comme le Front national et le Rassemblement national après lui, il est tombé dans le piège du « racisme supposé de l’entrecôte »…
La déclaration d’amour de M. Roussel à la culture culinaire du pays ne dois pas servir d’écran de fumée.
En politique, l’intelligence ne fait pas tout.
Sans surprise, les brigades de l’eau minérale et les milices végétariennes sont vite sorties du bois.
Fabien Roussel, rejeton d’un régime totalitaire dont le bilan avoisine les cent millions de morts, entend donc donner des leçons de démocratie…
Il est des atavismes idéologiques incurables.
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