Black Lives Matter
Malgré les éléments de langage diffusés par le mouvement, la situation est pour le moins inconfortable pour Black Lives Matter. Une vie noire de policier vaut-elle moins qu’une vie noire de délinquant ?
Où sont les thuriféraires de saint George Floyd ? On ne les entend pas.
On n’est pas encore habitué, en Afrique, à ces escarmouches publiques provoquées par l’imposition brutale d’idéologies californiennes qui bousculent les traditions locales pour les effacer, les remplacer.
De simples civils abattus par des djihadistes ou une chrétienne lapidée dans un pays où la charia fait loi ne méritent pas la moindre petite marche de contestation.
L’une des trois fondatrices du mouvement, Patrisse Cullors, a acheté une villa dans le quartier chic de Malibu, à Los Angeles, pour la modique somme de 6 millions de dollars.
L’illustratrice montre comment, en tous lieux et en toutes circonstances, le fameux « racisé » est victime de la méchanceté, de l’agressivité et de l’impolitesse du Blanc.
Au micro de Boulevard Voltaire, la chroniqueuse rappelle que ce n’est pas en France ou aux États-Unis mais « en Afrique ou dans des pays
Dans le camp d’en face – les islamistes du CCIF, de BarakaCity, et les idiots utiles qui servent leur cause -, on manie l’insulte et la menace plus souvent qu’à son tour envers la militante de la laïcité.
Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…
La mort de George Floyd a surtout permis la convergence des luttes racialistes, sexistes, gays, écolos, mondialistes se trouvant une nouvelle tribune avec l’aide du système médiatique bien-pensant.
Très peu de Noirs se reconnaissent dans le combat en victimisation, très peu valident la maxime du #privilegeblanc, très peu confirment le racisme systémique et les violences policières généralisées car ceux qui mènent ces combats sont des Blancs, surtout de gauche.
Justice ne doit pas être faite dans les colonnes des journaux, sur les plateaux télé ou lors de manifestations.
Les internautes s’en donnent à cœur joie pour moquer la célérité avec laquelle Julien Bayou a exécuté cette exercice de contorsionniste.
Hollywood a produit près de deux cents films, tous genres confondus, souvent réalisés par des Noirs et dans lesquels Noires et Noirs tiennent le haut de l’affiche. Cela a même un nom : la « blaxploitation ». En revanche, cette dernière était naguère pétrie de fierté assumée, à rebours de l’actuelle pleurnicherie généralisée.
Point commun entre ces organisations : leur détestation des petits gosses de riches blancs qui jouent à l’antiracisme sur les campus d’élite comme d’autres se rendraient à leur club de golf.
les démocrates n’ont jamais accepté que le peuple américain, par la voix de leurs délégués, n’ait pas choisi leur candidate Hillary Clinton, en dépit du matraquage médiatique.
Voilà que soudain, de l’autre côté de l’Atlantique, des artistes s’interrogent…
C’est donc à la fois l’esclavagiste et le philanthrope qui se trouvent aujourd’hui mis en cause ; comme quoi l’Histoire est complexe par nature.
Dans la foulée des manifestations qui ont suivi la mort de George Floyd, les militants du mouvement Black Lives Matter investissaient, le 8 juin, le quartier de Capitol Hill et prenaient possession du commissariat déserté.
Plus que merveilleuse, son histoire est surtout audacieuse, périlleuse et même très enquiquineuse pour la légende dorée très binaire de Black Lives Matter…
Alors, des lucides et des humanistes comme Muhammad Ali Jr., on en redemande !
Black Lives Matter pas trop, en islam, en fin de compte, mais il est de notoriété publique qu’il est bien plus inoffensif de casser sur du catho que sur de l’adepte de la religion de tolérance, d’amour et de paix.
En vérité, la majorité des Noirs ne pensent pas qu’il existe un racisme d’État en France !
Sur le maillot des joueurs, le slogan « Black Lives Matter » y est inscrit. En réponse, des supporters de Burnley ont survolé le stade de Manchester City où leur équipe évoluait lundi 22 juin.
La vieille société doit mourir… Une autre naîtra, on ignore de quoi elle aura l’air, mais surtout, qu’elle ne ressemble pas à celle qu’on détruit !
Pourquoi le Blanc occidental en arrive-t-il à se renier, emportant dans cette haine de soi son histoire et sa civilisation ?
Pourquoi le consommateur français devrait-il être pénalisé par une situation qui doit tout au délire identitaire issu du passé esclavagiste des États-Unis ?
Malgré les éléments de langage diffusés par le mouvement, la situation est pour le moins inconfortable pour Black Lives Matter. Une vie noire de policier vaut-elle moins qu’une vie noire de délinquant ?
Où sont les thuriféraires de saint George Floyd ? On ne les entend pas.
On n’est pas encore habitué, en Afrique, à ces escarmouches publiques provoquées par l’imposition brutale d’idéologies californiennes qui bousculent les traditions locales pour les effacer, les remplacer.
De simples civils abattus par des djihadistes ou une chrétienne lapidée dans un pays où la charia fait loi ne méritent pas la moindre petite marche de contestation.
L’une des trois fondatrices du mouvement, Patrisse Cullors, a acheté une villa dans le quartier chic de Malibu, à Los Angeles, pour la modique somme de 6 millions de dollars.
L’illustratrice montre comment, en tous lieux et en toutes circonstances, le fameux « racisé » est victime de la méchanceté, de l’agressivité et de l’impolitesse du Blanc.
Au micro de Boulevard Voltaire, la chroniqueuse rappelle que ce n’est pas en France ou aux États-Unis mais « en Afrique ou dans des pays
Dans le camp d’en face – les islamistes du CCIF, de BarakaCity, et les idiots utiles qui servent leur cause -, on manie l’insulte et la menace plus souvent qu’à son tour envers la militante de la laïcité.
Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…
La mort de George Floyd a surtout permis la convergence des luttes racialistes, sexistes, gays, écolos, mondialistes se trouvant une nouvelle tribune avec l’aide du système médiatique bien-pensant.
Très peu de Noirs se reconnaissent dans le combat en victimisation, très peu valident la maxime du #privilegeblanc, très peu confirment le racisme systémique et les violences policières généralisées car ceux qui mènent ces combats sont des Blancs, surtout de gauche.
Justice ne doit pas être faite dans les colonnes des journaux, sur les plateaux télé ou lors de manifestations.
Les internautes s’en donnent à cœur joie pour moquer la célérité avec laquelle Julien Bayou a exécuté cette exercice de contorsionniste.
Hollywood a produit près de deux cents films, tous genres confondus, souvent réalisés par des Noirs et dans lesquels Noires et Noirs tiennent le haut de l’affiche. Cela a même un nom : la « blaxploitation ». En revanche, cette dernière était naguère pétrie de fierté assumée, à rebours de l’actuelle pleurnicherie généralisée.
Point commun entre ces organisations : leur détestation des petits gosses de riches blancs qui jouent à l’antiracisme sur les campus d’élite comme d’autres se rendraient à leur club de golf.
les démocrates n’ont jamais accepté que le peuple américain, par la voix de leurs délégués, n’ait pas choisi leur candidate Hillary Clinton, en dépit du matraquage médiatique.
Voilà que soudain, de l’autre côté de l’Atlantique, des artistes s’interrogent…
C’est donc à la fois l’esclavagiste et le philanthrope qui se trouvent aujourd’hui mis en cause ; comme quoi l’Histoire est complexe par nature.
Dans la foulée des manifestations qui ont suivi la mort de George Floyd, les militants du mouvement Black Lives Matter investissaient, le 8 juin, le quartier de Capitol Hill et prenaient possession du commissariat déserté.
Plus que merveilleuse, son histoire est surtout audacieuse, périlleuse et même très enquiquineuse pour la légende dorée très binaire de Black Lives Matter…
Alors, des lucides et des humanistes comme Muhammad Ali Jr., on en redemande !
Black Lives Matter pas trop, en islam, en fin de compte, mais il est de notoriété publique qu’il est bien plus inoffensif de casser sur du catho que sur de l’adepte de la religion de tolérance, d’amour et de paix.
En vérité, la majorité des Noirs ne pensent pas qu’il existe un racisme d’État en France !
Sur le maillot des joueurs, le slogan « Black Lives Matter » y est inscrit. En réponse, des supporters de Burnley ont survolé le stade de Manchester City où leur équipe évoluait lundi 22 juin.
La vieille société doit mourir… Une autre naîtra, on ignore de quoi elle aura l’air, mais surtout, qu’elle ne ressemble pas à celle qu’on détruit !
Pourquoi le Blanc occidental en arrive-t-il à se renier, emportant dans cette haine de soi son histoire et sa civilisation ?
Pourquoi le consommateur français devrait-il être pénalisé par une situation qui doit tout au délire identitaire issu du passé esclavagiste des États-Unis ?