Les démocrates américains sont devenus les plus antidémocrates
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Aujourd’hui, certaines villes américaines sont toujours en proie aux violences urbaines initiées par des groupes terroristes et racistes comme Black Lives Matter et Antifa : émeutes, pillages, incendies volontaires et meurtres. Malheureusement, ces exactions sont le plus souvent commises dans l’impunité en raison d’une absence policière et/ou militaire pour les stopper.
Voici celles qui comptent le plus de victimes (il y en a évidemment d’autres, hélas) : New York, Seattle, Chicago, Portland, Minneapolis, Kenosha.
Comme vous allez le voir, elles ont toutes un point commun :
- New York (New York) : maire Bill de Blasio (démocrate), gouverneur Andrew Cuomo (démocrate) ;
- Seattle (Washington) : maire Jenny Durkan (démocrate), gouverneur Jay Inslee (démocrate) ;
- Chicago (Illinois) : maire Lori Lightfoot (démocrate), gouverneur J. B. Pritzker (démocrate) ;
- Portland (Oregon) : maire Tel Wheeler (démocrate), gouverneur Kate Brown (démocrate) ;
- Minneapolis (Minnesota) : maire Jacob Frey (démocrate), gouverneur Tim Walz (démocrate) ;
- Kenosha (Wisconsin) : maire John Antaramian (démocrate), gouverneur Tony Evers (démocrate).
Ces villes, sans exception, sont dirigées par des maires démocrates et situées dans des États eux-mêmes dirigés par des gouverneurs démocrates. Pourquoi ? Tout simplement parce que le chaos est censé leur apporter un intérêt politique considérant que l’actuel locataire de la Maison-Blanche en subira les conséquences lors des prochaines élections.
Nourris depuis quelques années au marxisme résurgent et au mondialisme apatride, les représentants démocrates se sont totalement désengagés des affaires du pays pour s’adonner exclusivement à l’obstruction et aux coups d’État déguisés.
Disons-le sans ambages : les démocrates n’ont jamais accepté que le peuple américain, par la voix de leurs délégués, n’ait pas choisi leur candidate Hillary Clinton, en dépit du matraquage médiatique.
Leur message sous-jacent apparaît alors de plus en plus nettement : aussi longtemps que Trump occupera la Maison-Blanche, nous sèmerons la peur et la panique. Quels que soient les moyens dont nous disposons, judiciaires (Russiagate, impeachment), sanitaires (Covid-19) et même raciaux (Black Lives Matter), nous briserons le pays, son économie et son « vivre ensemble ».
Si vous voulez y mettre un terme, sortez-le en élisant un des nôtres. À défaut, nous poursuivrons notre ouvrage de destruction en mettant les grandes villes à feu et à sang.
L'allocution de Joe Biden, lundi 31 août, à Pittsburgh (Pennsylvanie), est un modèle de perfidité : « Trump ne peut pas arrêter la violence qu'il fomente depuis des années. »
Ce chantage électoral est un véritable terrorisme politique, forme avancée du fascisme : si le peuple vote mal, harcelons-le par la rue, intoxiquons-le par les médias et lessivons-lui les neurones par les universités. Il finira bien par rentrer dans le rang.
Sauf que ça ne fonctionnera pas. Le 3 novembre prochain nous en offrira une magistrale démonstration. J’en prends le pari !
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