Bioéthique
Ainsi, ce n’est plus un problème de réfléchir aux conditions par lesquelles on utilisera la reconnaissance faciale, c’est-à-dire la surveillance des citoyens, pour instaurer ce qui se passe déjà en Chine.
« On bafoue l’interdiction de modifier le patrimoine génétique de l’humanité ». Juriste à la fondation Jérôme-Lejeune, Lucie Pacherie détaille les aspects moins connus de
Les 30 et 31 janvier étaient organisées, dans une soixantaine de villes de France, des manifestations contre le projet de loi bioéthique
Il y aura encore des cœurs avec des mains, des ballons colorés et de l’émotion parfaitement orchestrée lors de cette grand-messe cathodique au profit de la recherche génétique.
Contre toute attente, la fin douloureuse à laquelle Alain Cocq s’était préparé n’aura finalement pas lieu avec ce magnifique revirement…
Macron a-t-il été convaincant ? Nouveaux chemins, nouveau Macron ? Le même cap avec une méthode nouvelle ? Le discours de la méthode. Quelle méthode ?
La Cour européenne des droits de l’homme vient de rendre un avis consultatif au sujet des enfants nés d’une GPA à l’étranger. Pour Aude Mirkovic,
On imaginait le disciple de Ricœur plus exigeant sur le fond et la forme…
Un colloque universitaire où tout le monde est d’accord : c’est chouette, mais ça sent un peu la propagande.
Le marché de la procréation fait partie intégrante du programme des élites mondialisées auxquelles appartient le Président Macron.
Sommes-nous prêts à mettre tout en œuvre pour le bien des enfants, prioritairement au bien des adultes ?
Profil parfait chez les LREM car issue de la société civile, elle tranche par son look « instit’ de province » et son bon sens sur les autres élus de la bobosphère parisienne.
C’est si difficile que ça, d’être amoureux d’une fille ou d’un gars et de s’unir ?
https://www.youtube.com/watch?v=mkI6PX7CFjk&feature=youtu.be La mission d’information parlementaire a rendu son rapport sur la révision des lois de bioéthique. Le président de la fondation Jérôme-Lejeune confie sa réaction
Le Conseil consultatif national d’éthique (CCNE) vient de rendre un rapport synthétisant les consultations organisées dans le cadre des États généraux de la bioéthique. Aude
Passons sur les diverses reductio ad reactionarium…
L’exigence de souveraineté pour la nation a été défendu : il n’est pas indispensable d’aligner nos lois sur celles du moins disant éthique d’outre-frontières !
« Le sens du progrès, cela peut être celui que l’homme choisit et décide de lui donner au lieu de, parfois, le subir »
Les méthodes de synthèse de ces États généraux n’ont pas été dévoilées à l’avance.
Jupiter ne saurait descendre dans l’arène. Il organise des dîners et il y convie des personnes qualifiées et représentatives d’opinions diverses.
Quel monde voulons-nous transmettre aux générations futures ? C’est bien là tout l’enjeu de ces États généraux de la bioéthique.
Dans l’ensemble, les avis s’opposent mais restent plutôt policés et la visite de la corbeille où sont présentés les messages écartés montrent que ce n’est pas un grand défouloir. Tant mieux !
Confucius disait : « Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions ».
Saluons les infatigables énergies qui s’acharnent à répéter les mêmes arguments, avec talent, tous les sept ans, à ceux qui ne visent rien d’autre que leur sur-moi, leur moi et leur sous-moi.
Ainsi, ce n’est plus un problème de réfléchir aux conditions par lesquelles on utilisera la reconnaissance faciale, c’est-à-dire la surveillance des citoyens, pour instaurer ce qui se passe déjà en Chine.
« On bafoue l’interdiction de modifier le patrimoine génétique de l’humanité ». Juriste à la fondation Jérôme-Lejeune, Lucie Pacherie détaille les aspects moins connus de
Les 30 et 31 janvier étaient organisées, dans une soixantaine de villes de France, des manifestations contre le projet de loi bioéthique
Il y aura encore des cœurs avec des mains, des ballons colorés et de l’émotion parfaitement orchestrée lors de cette grand-messe cathodique au profit de la recherche génétique.
Contre toute attente, la fin douloureuse à laquelle Alain Cocq s’était préparé n’aura finalement pas lieu avec ce magnifique revirement…
Macron a-t-il été convaincant ? Nouveaux chemins, nouveau Macron ? Le même cap avec une méthode nouvelle ? Le discours de la méthode. Quelle méthode ?
La Cour européenne des droits de l’homme vient de rendre un avis consultatif au sujet des enfants nés d’une GPA à l’étranger. Pour Aude Mirkovic,
On imaginait le disciple de Ricœur plus exigeant sur le fond et la forme…
Un colloque universitaire où tout le monde est d’accord : c’est chouette, mais ça sent un peu la propagande.
Le marché de la procréation fait partie intégrante du programme des élites mondialisées auxquelles appartient le Président Macron.
Sommes-nous prêts à mettre tout en œuvre pour le bien des enfants, prioritairement au bien des adultes ?
Profil parfait chez les LREM car issue de la société civile, elle tranche par son look « instit’ de province » et son bon sens sur les autres élus de la bobosphère parisienne.
C’est si difficile que ça, d’être amoureux d’une fille ou d’un gars et de s’unir ?
https://www.youtube.com/watch?v=mkI6PX7CFjk&feature=youtu.be La mission d’information parlementaire a rendu son rapport sur la révision des lois de bioéthique. Le président de la fondation Jérôme-Lejeune confie sa réaction
Le Conseil consultatif national d’éthique (CCNE) vient de rendre un rapport synthétisant les consultations organisées dans le cadre des États généraux de la bioéthique. Aude
Passons sur les diverses reductio ad reactionarium…
L’exigence de souveraineté pour la nation a été défendu : il n’est pas indispensable d’aligner nos lois sur celles du moins disant éthique d’outre-frontières !
« Le sens du progrès, cela peut être celui que l’homme choisit et décide de lui donner au lieu de, parfois, le subir »
Les méthodes de synthèse de ces États généraux n’ont pas été dévoilées à l’avance.
Jupiter ne saurait descendre dans l’arène. Il organise des dîners et il y convie des personnes qualifiées et représentatives d’opinions diverses.
Quel monde voulons-nous transmettre aux générations futures ? C’est bien là tout l’enjeu de ces États généraux de la bioéthique.
Dans l’ensemble, les avis s’opposent mais restent plutôt policés et la visite de la corbeille où sont présentés les messages écartés montrent que ce n’est pas un grand défouloir. Tant mieux !
Confucius disait : « Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions ».
Saluons les infatigables énergies qui s’acharnent à répéter les mêmes arguments, avec talent, tous les sept ans, à ceux qui ne visent rien d’autre que leur sur-moi, leur moi et leur sous-moi.