Social
Reste à savoir si ses treize millions d’affiliés accepteront d’être les dindons de la farce.
Quant au gouvernement, l’essentiel est sans doute, à ses yeux, de pouvoir montrer à l’Union européenne et à ses créanciers qu’il est capable d’imposer une réforme, pour pouvoir continuer à emprunter à des taux (relativement) bas. Et après lui, le déluge…
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
Le délégué syndical central CGT pour RTE, Francis Casanova, a fait part de sa sidération, dénonçant le fait que ces techniciens « se retrouvent en garde à vue pendant 96 heures comme les pires des terroristes pour rien ».
On continue la politique du « Je ramasse un maximum d’une main et de l’autre je redistribue des miettes »…
Le nœud du débat, l’éléphant dans le magasin de porcelaine, le grand tabou est bien le coût de cette immigration qui, de surcroît, ne veut plus s’intégrer à la France.
Pour Benjamin Cauchy, la crise énergétique est porteuse d’une grave crise sociale. L’ancien gilet jaune et entrepreneur patriote pointe du doigt les lourdes fautes du
Après tout, cette volonté de contrôler l’utilisation de l’argent des contribuables semble plutôt naturelle.
Ils sont onze policiers à avoir mis fin à leur jour rien que pour le mois de janvier 2022. Des chiffres en hausse constante démontrant au minimum un sérieux malaise.
L’État est un très mauvais patron empêtré dans le carriérisme et la lâcheté administrative.
Et, bien sûr, le contribuable français qui a brutalement découvert l’état déplorable de son système de soin lors de la crise du Covid-19 sera tenu de financer encore un peu plus les nouvelles « avancées sociétales » en vue.
Ce mardi 15 mars, à Lorient, des dizaines de tracteurs, de camions et d’engins de chantier bloquent les accès au dépôt pétrolier de la ville.
L’État paternaliste, en dévirilisant les pères, en leur volant arbitrairement leur place, ne fait que poursuivre la longue marche de déresponsabilisation enclenchée depuis une cinquantaine d’années.
Ah, les méchants capitalistes, ouh, les vilains riches qui essorent nos anciens ! À son tour, Bruno Le Maire est tombé, ce 8 février, sur France Inter, dans le panneau tendu par la gauche depuis le lancement de cette affaire.
C’est en participant à cet exercice périlleux que la nouvelle candidate estampillée par la Primaire populaire, Mme Taubira, s’est lamentablement vautrée.
Pour lui, le ministre de l’Education n’est pas responsable de cette colère montante, ce sont les autorités de santé qui préconisent des protocoles incohérents et impossibles à mettre en place.
Reste à savoir si cette nouvelle manière de travailler sera aussi efficace quand elle est imposée par un État omniprésent et envahissant que si elle était spontanément et librement consentie…
Joseph Thouvenel, secrétaire confédéral de la CFTC, président de l’Union départementale de Paris, réagit à l’annonce du passe vaccinal. Il soulève les nombreuses contradictions de
Aujourd’hui, la Commission européenne prend conscience, comme à chaque fois, que ce qu’elle a encouragé lui échappe et que, loin d’aider les travailleurs à trouver un équilibre dans leur vie, elle les plonge dans la précarité.
Un effort visant à lutter contre la pauvreté des familles les plus vulnérables, mais au risque de s’éloigner encore un peu de la vocation universelle de la politique familiale…
Outre la suppression des droits de succession sur les entreprises, il faut démultiplier la participation des travailleurs à leur capital afin qu’ils puissent peser efficacement sur sa gestion.
Parce qu’il va falloir en trouver, des sous, pour mettre en œuvre la « Grande Sécu »…
Mais on imagine qu’il ne faut surtout pas appeler cela de la discrimination.
Dans un pays où la manne de l’État tombe sur le dernier arrivé, on ne peut tout de même pas les laisser sans ressources. Alors, comment faire ?
36 % des personnes âgées (6,5 millions de personnes) disent se sentir fréquemment seules et manquer de relations qualitatives, de personnes à qui se confier.
On continue d’empiler les cautères sur une jambe de bois…
Seuls les plus forts, les plus débrouillards, les moins isolés s’en sortent, ceux dont la famille a constitué depuis dix-huit mois l’ancrage essentiel, le soutien moral, affectif et souvent financier. Que deviendront les autres ?
Ces familles ne seront jamais expulsées. Mieux : l’État est obligé de les loger. Ainsi va le monde, en attendant, peut-être, 2022.
Reste à savoir si ses treize millions d’affiliés accepteront d’être les dindons de la farce.
Quant au gouvernement, l’essentiel est sans doute, à ses yeux, de pouvoir montrer à l’Union européenne et à ses créanciers qu’il est capable d’imposer une réforme, pour pouvoir continuer à emprunter à des taux (relativement) bas. Et après lui, le déluge…
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
Le délégué syndical central CGT pour RTE, Francis Casanova, a fait part de sa sidération, dénonçant le fait que ces techniciens « se retrouvent en garde à vue pendant 96 heures comme les pires des terroristes pour rien ».
On continue la politique du « Je ramasse un maximum d’une main et de l’autre je redistribue des miettes »…
Le nœud du débat, l’éléphant dans le magasin de porcelaine, le grand tabou est bien le coût de cette immigration qui, de surcroît, ne veut plus s’intégrer à la France.
Pour Benjamin Cauchy, la crise énergétique est porteuse d’une grave crise sociale. L’ancien gilet jaune et entrepreneur patriote pointe du doigt les lourdes fautes du
Après tout, cette volonté de contrôler l’utilisation de l’argent des contribuables semble plutôt naturelle.
Ils sont onze policiers à avoir mis fin à leur jour rien que pour le mois de janvier 2022. Des chiffres en hausse constante démontrant au minimum un sérieux malaise.
L’État est un très mauvais patron empêtré dans le carriérisme et la lâcheté administrative.
Et, bien sûr, le contribuable français qui a brutalement découvert l’état déplorable de son système de soin lors de la crise du Covid-19 sera tenu de financer encore un peu plus les nouvelles « avancées sociétales » en vue.
Ce mardi 15 mars, à Lorient, des dizaines de tracteurs, de camions et d’engins de chantier bloquent les accès au dépôt pétrolier de la ville.
L’État paternaliste, en dévirilisant les pères, en leur volant arbitrairement leur place, ne fait que poursuivre la longue marche de déresponsabilisation enclenchée depuis une cinquantaine d’années.
Ah, les méchants capitalistes, ouh, les vilains riches qui essorent nos anciens ! À son tour, Bruno Le Maire est tombé, ce 8 février, sur France Inter, dans le panneau tendu par la gauche depuis le lancement de cette affaire.
C’est en participant à cet exercice périlleux que la nouvelle candidate estampillée par la Primaire populaire, Mme Taubira, s’est lamentablement vautrée.
Pour lui, le ministre de l’Education n’est pas responsable de cette colère montante, ce sont les autorités de santé qui préconisent des protocoles incohérents et impossibles à mettre en place.
Reste à savoir si cette nouvelle manière de travailler sera aussi efficace quand elle est imposée par un État omniprésent et envahissant que si elle était spontanément et librement consentie…
Joseph Thouvenel, secrétaire confédéral de la CFTC, président de l’Union départementale de Paris, réagit à l’annonce du passe vaccinal. Il soulève les nombreuses contradictions de
Aujourd’hui, la Commission européenne prend conscience, comme à chaque fois, que ce qu’elle a encouragé lui échappe et que, loin d’aider les travailleurs à trouver un équilibre dans leur vie, elle les plonge dans la précarité.
Un effort visant à lutter contre la pauvreté des familles les plus vulnérables, mais au risque de s’éloigner encore un peu de la vocation universelle de la politique familiale…
Outre la suppression des droits de succession sur les entreprises, il faut démultiplier la participation des travailleurs à leur capital afin qu’ils puissent peser efficacement sur sa gestion.
Parce qu’il va falloir en trouver, des sous, pour mettre en œuvre la « Grande Sécu »…
Mais on imagine qu’il ne faut surtout pas appeler cela de la discrimination.
Dans un pays où la manne de l’État tombe sur le dernier arrivé, on ne peut tout de même pas les laisser sans ressources. Alors, comment faire ?
36 % des personnes âgées (6,5 millions de personnes) disent se sentir fréquemment seules et manquer de relations qualitatives, de personnes à qui se confier.
On continue d’empiler les cautères sur une jambe de bois…
Seuls les plus forts, les plus débrouillards, les moins isolés s’en sortent, ceux dont la famille a constitué depuis dix-huit mois l’ancrage essentiel, le soutien moral, affectif et souvent financier. Que deviendront les autres ?
Ces familles ne seront jamais expulsées. Mieux : l’État est obligé de les loger. Ainsi va le monde, en attendant, peut-être, 2022.
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