Coronavirus
C’est le nouvel eldorado, la parenthèse d’oxygène, l’impression de vivre, le temps d’un week-end, presque comme avant…
Une chose est souhaitable à ce stade : que la politique politicienne évite de se mêler de ce débat qui, comme dans « l’affaire Raoult », a pourri complètement le sujet…
L’idée d’« un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire » est lancée.
Pas certain, en tout cas, que cela soit de nature à redonner confiance aux clients… pardon, aux patients.
Mais c’est quoi, une vie normale, quand, même vacciné, on ne peut pas fréquenter les lieux de culture, se poser en terrasse et encore moins s’attabler au restaurant ? Quand les magasins sont fermés, quand il faut bosser chez soi et se masquer devant ses enfants ?
Cet entêtement à voler au secours des voisins supposés déshérités quand l’Europe en général, et la France en particulier, souffre d’une pénurie flagrante de vaccins finit par relever du cliché condescendant empreint de néo-colonialisme bienveillant.
Merci, mon chien, tu as su prendre soin de moi en restant en permanence à mes côtés ; toi, tu m’as aidé et tu es bien le seul.
« Dedans avec les miens, dehors en citoyen » : tel est le nouveau slogan du Premier ministre. Et pour être plus clair, à l’approche
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Hors les zones ultra fréquentées, le port du masque est une hérésie…
Les hospitalisations des jeunes de moins de 15 ans pour motif psychiatrique sont « en hausse de 80 % » depuis le début de l’épidémie de coronavirus.
À l’approche des fêtes de Pâques, Jean-Frédéric Poisson, président du parti VIA la voie du peuple, a déposé un mémoire en référé-liberté devant le Conseil
Il explique, par ailleurs, que le manque de vaccins et la reprise des déplacements fera à nouveau flamber la pandémie.
Pour une fois, Emmanuel Macron devrait pourtant imiter son mentor teuton préféré qui, avec humilité, consciente d’avoir poussé le bouchon un peu loin, a présenté ses excuses.
Un an après le premier confinement, les Parisiens subissent, depuis ce vendredi 19 mars à minuit, un troisième confinement, d’un nouveau genre. Boulevard Voltaire a
Alors qu’on vient d’apprendre que le passe sanitaire risque d’être voté sans débat ni amendement, demain, au Parlerment européen, Gilbert Collard alerte sur les dangers
On n’a pas dit qu’on vaccinerait mais qu’on commencerait à le faire si l’on recevait les doses promises.
Je sens qu’il va falloir ajouter des cases sur la prochaine attestation au niveau des promenades avec Toutou…
Même en matière de stratégie vaccinale, l’Union européenne, arc-boutée à son idéologie, ivre de son impuissance, pousse un peu plus la Russie hors d’Europe.
Un an plus tard, tandis que se pose à nouveau la question du manque de lits à l’hôpital, la situation n’est plus imprévisible, loin de là.
Le slogan simplificateur a toujours été le mode d’expression privilégié des dictatures, d’autant plus insidieux qu’elles veulent passer pour des démocraties.
Interrogé par BFM TV, Michel Sardou, dont on sait qu’il déteste son époque, s’est amusé des ridicules du jour. L’écriture inclusive, d’abord : « Essayez
Face à une telle dérision sur son chef-d’œuvre bureaucratique, acculé, le gouvernement est contraint de revoir sa copie mais le mal est fait…
Un rassemblement suscité quelque inquiétude car le taux d’incidence dans le département de la Haute-Savoie a augmenté de plus de 60 % ces deux dernières semaines
On se souvient dans ces pays de quelque chose qui s’appelle la liberté, le bon sens, l’esprit critique.
Jeudi soir, Jean Castex annonçait un nouveau confinement pour 16 départements (ceux de l’Île-de-France, des Hauts-de-France, l’Eure, la Seine-Maritime et les Alpes-Maritimes). Un confinement qui
L’attestation du confinement 3 aura eu un règne aussi éphémère que Louis XIX : samedi après-midi, le précieux document avait déjà abdiqué, sous les quolibets et les moqueries.
C’est le nouvel eldorado, la parenthèse d’oxygène, l’impression de vivre, le temps d’un week-end, presque comme avant…
Une chose est souhaitable à ce stade : que la politique politicienne évite de se mêler de ce débat qui, comme dans « l’affaire Raoult », a pourri complètement le sujet…
L’idée d’« un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire » est lancée.
Pas certain, en tout cas, que cela soit de nature à redonner confiance aux clients… pardon, aux patients.
Mais c’est quoi, une vie normale, quand, même vacciné, on ne peut pas fréquenter les lieux de culture, se poser en terrasse et encore moins s’attabler au restaurant ? Quand les magasins sont fermés, quand il faut bosser chez soi et se masquer devant ses enfants ?
Cet entêtement à voler au secours des voisins supposés déshérités quand l’Europe en général, et la France en particulier, souffre d’une pénurie flagrante de vaccins finit par relever du cliché condescendant empreint de néo-colonialisme bienveillant.
Merci, mon chien, tu as su prendre soin de moi en restant en permanence à mes côtés ; toi, tu m’as aidé et tu es bien le seul.
« Dedans avec les miens, dehors en citoyen » : tel est le nouveau slogan du Premier ministre. Et pour être plus clair, à l’approche
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Hors les zones ultra fréquentées, le port du masque est une hérésie…
Les hospitalisations des jeunes de moins de 15 ans pour motif psychiatrique sont « en hausse de 80 % » depuis le début de l’épidémie de coronavirus.
À l’approche des fêtes de Pâques, Jean-Frédéric Poisson, président du parti VIA la voie du peuple, a déposé un mémoire en référé-liberté devant le Conseil
Il explique, par ailleurs, que le manque de vaccins et la reprise des déplacements fera à nouveau flamber la pandémie.
Pour une fois, Emmanuel Macron devrait pourtant imiter son mentor teuton préféré qui, avec humilité, consciente d’avoir poussé le bouchon un peu loin, a présenté ses excuses.
Un an après le premier confinement, les Parisiens subissent, depuis ce vendredi 19 mars à minuit, un troisième confinement, d’un nouveau genre. Boulevard Voltaire a
Alors qu’on vient d’apprendre que le passe sanitaire risque d’être voté sans débat ni amendement, demain, au Parlerment européen, Gilbert Collard alerte sur les dangers
On n’a pas dit qu’on vaccinerait mais qu’on commencerait à le faire si l’on recevait les doses promises.
Je sens qu’il va falloir ajouter des cases sur la prochaine attestation au niveau des promenades avec Toutou…
Même en matière de stratégie vaccinale, l’Union européenne, arc-boutée à son idéologie, ivre de son impuissance, pousse un peu plus la Russie hors d’Europe.
Un an plus tard, tandis que se pose à nouveau la question du manque de lits à l’hôpital, la situation n’est plus imprévisible, loin de là.
Le slogan simplificateur a toujours été le mode d’expression privilégié des dictatures, d’autant plus insidieux qu’elles veulent passer pour des démocraties.
Interrogé par BFM TV, Michel Sardou, dont on sait qu’il déteste son époque, s’est amusé des ridicules du jour. L’écriture inclusive, d’abord : « Essayez
Face à une telle dérision sur son chef-d’œuvre bureaucratique, acculé, le gouvernement est contraint de revoir sa copie mais le mal est fait…
Un rassemblement suscité quelque inquiétude car le taux d’incidence dans le département de la Haute-Savoie a augmenté de plus de 60 % ces deux dernières semaines
On se souvient dans ces pays de quelque chose qui s’appelle la liberté, le bon sens, l’esprit critique.
Jeudi soir, Jean Castex annonçait un nouveau confinement pour 16 départements (ceux de l’Île-de-France, des Hauts-de-France, l’Eure, la Seine-Maritime et les Alpes-Maritimes). Un confinement qui
L’attestation du confinement 3 aura eu un règne aussi éphémère que Louis XIX : samedi après-midi, le précieux document avait déjà abdiqué, sous les quolibets et les moqueries.