Presse
Avec lui, toutes les accusations de fascisme, nazisme, pétainisme et tutti quanti tombent à l’eau. La diabolisation devient complexe…
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
La clé du succès d’Emmanuel Macron est qu’il a su créer une dynamique positive autour de sa candidature.
Les Français, qui se croient un peuple politique, n’auront été qu’un troupeau manipulé.
Le Conseil constitutionnel a rappelé que la campagne électorale devait prendre fin le vendredi 5 mai à minuit…
La politique, et l’Histoire, sont d’abord affaire de passion.
L’intérêt du livre de Jean-Paul Gourévitch est de n’occulter aucune facette de ce phénomène total des migrations européennes et internationales.
Cette fin de campagne est suffocante, avec un niveau d’embrigadement des esprits totalement inédit en démocratie.
Toute la fausse droite a filé à gauche. Place nette pour les vrais Français, les hommes et les femmes de droite.
Dans un entretien avec la presse, le pape François a eu, l’autre jour, une sorte d’inspiration divine…
On pourra regarder le compte de campagne de monsieur Macron dans quelques mois, mais ça sera peut être un peu trop tard !
La CGT semble cautionner une certaine violence…
Le journal Le Monde s’est indigné que les évêques de France n’appellent pas clairement à vote Emmanuel Macron, parlant de « faute morale ».
Il est désormais évident qu’une opposition puissante de gauche au banquier Macron s’organise.
Ses arguments assument une insoumission résolue à l’ordre libéral-libertaire et post-national.
Il y a des écrivains qui, à la longue, publient tous les ans le même bouquin. Plantu, lui, finit par pondre tous les jours le même dessin.
Plutôt de nature à rendre ridicule l’unique cause qu’ils défendent : faire savoir qu’ils détestent le FN…
Marine Le Pen aurait plagié un discours de François Fillon tenu au Puy-en-Velay le 15 avril dernier…
Quelles conséquences auront les choix des ténors des partis éliminés au premier tour sur les législatives ?
Le jeu n’a-t-il plus aucune règle, aucune limite, aucune décence ?
Que s’est-il passé concrètement pour que ce soutien de Macron ait été jadis dans le collimateur de la justice ?
Combien de couillons comme Zidane, cette fois, le 7 mai, prêts à voter Emmanuel Macron ?
Macron permettra aux spéculateurs internationaux de piller l’économie de la France, comme il l’a déjà fait lors de son passage comme ministre.
Ceux qui tentent de déconsidérer ce courant politique en le qualifiant d’extrême droite risquent fort de trouver de moins en moins d’écho.
L’annonce de l’accord de gouvernement est tombée au moment idéal, cinq jours après le début d’une campagne de second tour menée tambour battant !
Avec lui, toutes les accusations de fascisme, nazisme, pétainisme et tutti quanti tombent à l’eau. La diabolisation devient complexe…
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
La clé du succès d’Emmanuel Macron est qu’il a su créer une dynamique positive autour de sa candidature.
Les Français, qui se croient un peuple politique, n’auront été qu’un troupeau manipulé.
Le Conseil constitutionnel a rappelé que la campagne électorale devait prendre fin le vendredi 5 mai à minuit…
La politique, et l’Histoire, sont d’abord affaire de passion.
L’intérêt du livre de Jean-Paul Gourévitch est de n’occulter aucune facette de ce phénomène total des migrations européennes et internationales.
Cette fin de campagne est suffocante, avec un niveau d’embrigadement des esprits totalement inédit en démocratie.
Toute la fausse droite a filé à gauche. Place nette pour les vrais Français, les hommes et les femmes de droite.
Dans un entretien avec la presse, le pape François a eu, l’autre jour, une sorte d’inspiration divine…
On pourra regarder le compte de campagne de monsieur Macron dans quelques mois, mais ça sera peut être un peu trop tard !
La CGT semble cautionner une certaine violence…
Le journal Le Monde s’est indigné que les évêques de France n’appellent pas clairement à vote Emmanuel Macron, parlant de « faute morale ».
Il est désormais évident qu’une opposition puissante de gauche au banquier Macron s’organise.
Ses arguments assument une insoumission résolue à l’ordre libéral-libertaire et post-national.
Il y a des écrivains qui, à la longue, publient tous les ans le même bouquin. Plantu, lui, finit par pondre tous les jours le même dessin.
Plutôt de nature à rendre ridicule l’unique cause qu’ils défendent : faire savoir qu’ils détestent le FN…
Marine Le Pen aurait plagié un discours de François Fillon tenu au Puy-en-Velay le 15 avril dernier…
Quelles conséquences auront les choix des ténors des partis éliminés au premier tour sur les législatives ?
Le jeu n’a-t-il plus aucune règle, aucune limite, aucune décence ?
Que s’est-il passé concrètement pour que ce soutien de Macron ait été jadis dans le collimateur de la justice ?
Combien de couillons comme Zidane, cette fois, le 7 mai, prêts à voter Emmanuel Macron ?
Macron permettra aux spéculateurs internationaux de piller l’économie de la France, comme il l’a déjà fait lors de son passage comme ministre.
Ceux qui tentent de déconsidérer ce courant politique en le qualifiant d’extrême droite risquent fort de trouver de moins en moins d’écho.
L’annonce de l’accord de gouvernement est tombée au moment idéal, cinq jours après le début d’une campagne de second tour menée tambour battant !