Migrants et criminalité : ces chiffres qui tuent
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Une "bonne" et une mauvaise nouvelle. La "bonne" : l'ancien ministre de la Justice de Basse-Saxe, un des « Länder » de l'Allemagne, affirme, au terme d'une enquête menée au nom du ministère fédéral de la Famille et de la Jeunesse, et avec le concours de deux autres criminologues, que "les demandeurs d'asile sont très souvent responsables d'infractions pénales". La mauvaise, ce sont les solutions envisagées pour enrayer cette spirale de violence et les chiffres effrayants d'une autre enquête, celle du PKS, sur laquelle s'est penchée Inès Laufer.
Selon les auteurs, entre 2014 et 2016, le nombre de crimes violents – confirmé par les enquêtes policières – a augmenté de plus de 10 %, "92,1 % de cette augmentation [étant] imputable aux réfugiés". Plus de "padamalgam" qui tienne. Et ceux qui voient dans les réfugiés des familles toutes gentilles dans la détresse peuvent ravaler leur salive, les réfugiés étant souvent "des jeunes hommes dans la tranche d'âge où les gens seraient plus criminels", indique le rapport. Ils ont entre 14 et 30 ans, lit-on plus avant.
Mieux (ou pire) : les jeunes Nord-Africains - Marocains, Algériens, Tunisiens - sont "proportionnellement plus fréquents parmi les suspects". Ces migrants ne viennent donc pas de pays en guerre. Mais ce n'est pas tellement de leur faute, sous-entend cette enquête, car, si ces jeunes hommes deviennent si agressifs, c'est parce qu'ils "font face à un certain rejet, alors que les réfugiés sont beaucoup mieux accueillis" et qu'ils découvrent "le manque de perspective socio-économique". En outre, ces jeunes hommes pétant de santé libéreraient leur trop-plein d'hormones dans la violence en raison du manque de femmes !
Que préconisent donc ces éminents spécialistes pour recouvrer la paix dans leur pays ? De faire passer les Allemands à la caisse, à savoir "investir des sommes énormes pour un programme de retour" ainsi que, rapport à l'abstinence et l'absence de nounous, encourager le regroupement familial. En sus, des cours de langue, du sport ou des formations qui devraient les aider à se tenir tranquilles. On voit déjà ce que cela a donné...
Passons, maintenant, à l'enquête de la statistique policière sur la criminalité (PKS) décryptée par Inès Laufer. En 2016, les demandeurs d'asile autrement appelés « réfugiés », en termes de criminalité donc, étaient 600 % plus criminels que les Allemands, y compris les Allemands issus de l'immigration et les binationaux. Et les chiffres parlent d'eux-mêmes :
Dans une population de 100.000 Allemands, il y a 1.913 suspects.
Dans une population de 100.000 étrangers, il y a 6.847 suspects.
Dans une population de 100.000 "réfugiés", il y a 13.930 suspects (sans prendre en compte les délits concernant la loi sur l'immigration) : "Refugees welcome! - Flüchtlinge Willkommen!"
Ces enquêtes accablantes qui révèlent au grand jour une relation évidente entre violences en tous genres et des réfugiés devraient donner un coup d'arrêt immédiat à cette mortelle politique immigrationniste, et entraîner l'expulsion pure et simple des ressortissants incriminés. Mais non ! Les zélites continuent de parler de pognon à dépenser et de prévention. Pire : un obscur et apparemment impuissant petit commissaire politique européen, le Grec Dimítris Avramópoulos, nous prévient : "Nous ne pouvons pas, nous ne serons jamais capables d’arrêter les migrations."
Rendez-vous dans un an pour d'autres chiffres aussi édifiants. Dans dix ans, eu égard aux desseins de l'Union européenne de transformer radicalement le continent, ce sera... une autre Histoire.
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