Qui peut prendre de telles mesures ? En tous cas, pas ceux qui dirigent le pays depuis tant d’années.
Une remise en cause sans précédent des libertés individuelles.
Devant cette question, la division du camp des souverainistes défenseurs de notre civilisation n’est pas une option. Leur rassemblement autour d’une candidature unique une nécessité urgente.
L’abandon progressif du nucléaire constitue la première faute stratégique de nos gouvernants.
L’intervention musclée du ministre de l’Intérieur ne constitue qu’une énième gesticulation sans conséquence.
Les gouvernants prennent goût à l’endettement. Mais gare à l’atterrissage ! Il n’y a pas d’argent magique.
Le cinéma français, suivant de la sorte le cinéma hollywoodien, d’une usine à rêves est devenu une fabrique d’idéologie.
Il est vraiment temps de renverser l’ordre des choses…
Cela nous rappelle le célèbre livre de Michel Houellebecq intitulé Soumission où l’université est le théâtre d’une domination des thèses islamistes et de la soumission progressive des élites du pays.
Mme Souad Zitouni, députée LREM de la première circonscription de Vaucluse, est intervenue, ces derniers jours, à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la loi
Hormis quelques secteurs de pointe, comme le luxe ou l’aéronautique, l’économie française repose désormais essentiellement sur la finance, les assurances, les services et le tourisme.
Ne pas nommer l’islamisme politique et son projet contraire à nos valeurs civilisationnelle, c’est ne pas pouvoir lutter contre la haine, les violences urbaines et le terrorisme dont il est la source.
Le Premier ministre mentionne le triptyque tester/alerter/protéger. Un mot nous manque terriblement. Il s’agit du verbe soigner.
Il devient impératif de redonner sa légitimité à la démocratie représentative.
Nous avons assisté à la visite d’un ministre un peu hors-sol, accompagné d’un maire dont l’avenir politique dépend de l’allégeance à un système qui, sous prétexte du Covid-19, détruit progressivement notre art de vivre à la française.
Déconnecté des préoccupations de la population, le président de la République a choisi de privilégier un autre sujet : le changement climatique.
Ainsi, nous ne devrions plus nous poser de questions sur les incohérences de la gestion de la crise sanitaire et leurs conséquences catastrophiques et mortifères sur la situation économique et sociale de la France.
Qui peut prendre de telles mesures ? En tous cas, pas ceux qui dirigent le pays depuis tant d’années.
Une remise en cause sans précédent des libertés individuelles.
Devant cette question, la division du camp des souverainistes défenseurs de notre civilisation n’est pas une option. Leur rassemblement autour d’une candidature unique une nécessité urgente.
L’abandon progressif du nucléaire constitue la première faute stratégique de nos gouvernants.
L’intervention musclée du ministre de l’Intérieur ne constitue qu’une énième gesticulation sans conséquence.
Les gouvernants prennent goût à l’endettement. Mais gare à l’atterrissage ! Il n’y a pas d’argent magique.
Le cinéma français, suivant de la sorte le cinéma hollywoodien, d’une usine à rêves est devenu une fabrique d’idéologie.
Il est vraiment temps de renverser l’ordre des choses…
Cela nous rappelle le célèbre livre de Michel Houellebecq intitulé Soumission où l’université est le théâtre d’une domination des thèses islamistes et de la soumission progressive des élites du pays.
Mme Souad Zitouni, députée LREM de la première circonscription de Vaucluse, est intervenue, ces derniers jours, à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la loi
Hormis quelques secteurs de pointe, comme le luxe ou l’aéronautique, l’économie française repose désormais essentiellement sur la finance, les assurances, les services et le tourisme.
Ne pas nommer l’islamisme politique et son projet contraire à nos valeurs civilisationnelle, c’est ne pas pouvoir lutter contre la haine, les violences urbaines et le terrorisme dont il est la source.
Le Premier ministre mentionne le triptyque tester/alerter/protéger. Un mot nous manque terriblement. Il s’agit du verbe soigner.
Il devient impératif de redonner sa légitimité à la démocratie représentative.
Nous avons assisté à la visite d’un ministre un peu hors-sol, accompagné d’un maire dont l’avenir politique dépend de l’allégeance à un système qui, sous prétexte du Covid-19, détruit progressivement notre art de vivre à la française.
Déconnecté des préoccupations de la population, le président de la République a choisi de privilégier un autre sujet : le changement climatique.
Ainsi, nous ne devrions plus nous poser de questions sur les incohérences de la gestion de la crise sanitaire et leurs conséquences catastrophiques et mortifères sur la situation économique et sociale de la France.