Agriculture
« Si c’est cela, la réponse que l’on donne aux agriculteurs français, c’est grave », nous confie-t-elle
En espérant que nos paysans ne seront pas les dindons de cette farce européenne…
Quel symbole que ces gens de la terre protestant à la porte même de l’Union européenne !
Cette Europe commune que l’Union européenne a échoué à construire se bâtit non pas grâce à elle mais contre elle.
Ils dénoncent une concurrence déloyale, une paperasserie kafkaïenne, des normes ubuesques, un écologisme dictatorial.
« On m’a traité comme un délinquant. » Pour avoir curé ses fossés, un éleveur a été convoqué, auditionné et sanctionné.
Les femmes sont très présentes dans le mouvement de colère.
La colère des agriculteurs gronde aux portes de Paris depuis lundi. Le Premier ministre du gouvernement Gabriel Attal, s’est adressé aux paysans dans une tentative
Il y a belle lurette que l’Union européenne n’est plus qu’un « canton » du mondialisme.
Culotté, celui qui n’est pas tout à fait étranger à l’importante crise qui déchire aujourd’hui le monde agricole…
Comment Gabriel Attal se sortira-t-il des ronces de ces « injonctions contradictoires » ?
Vendredi 26 janvier, le Premier ministre, Gabriel Attal, s’est rendu en Haute-Garonne, accompagné de Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture, et de Christophe Béchu, ministre de
Pendant ce temps, la France d’en bas, juchée sur ses tracteurs, manifeste.
Quand le malaise est tellement profond, même les mesures de bon sens de Gabriel Attal ne suffisent plus.
L’un des points positifs pourrait être la fin de l’instrumentalisation des forces de l’ordre lors des conflits sociaux.
Dans l’effondrement général du pays, toutes les impérities se télescopent et entrent en collision.
Hausse des coûts, des charges, des normes : nos agriculteurs nous nourrissent mais se meurent.
« Révolte agricole : après l’Allemagne, la France ? », se demandait Sabine de Villeroché, le 11 janvier dernier. Des milliers de tracteurs ont en effet
Macron se retrouve en première ligne, avec un Gabriel Attal dont l’expérience du monde agricole est inexistante.
Nos agriculteurs sont bel et bien au cœur d’un enjeu politique majeur.
Loin des paillettes, s’il y a bien une diversité qu’elle aimerait représenter, c’est celle de nos terroirs.
On aura les Jeux, mais pas le pain qui va avec…
On imagine les jours d’angoisse et les nuits sans sommeil de ce pauvre paysan.
La misère paysanne n’est même pas « un sentiment » dans le cerveau de Madame Borne…
Un texte nécessaire pour ces paysans que leurs nouveaux voisins s’emploient à tourmenter, voire à ruiner.
Pour protester contre une politique agricole aberrante, des agriculteurs retournent les panneaux d’entrée des communes.
« Il n’y a aucun système de protection contre la concurrence déloyale des viticulteurs espagnols. »
Marc Fesneau est-il le ministre de l’Agriculture en Ukraine ? Non. De l’Union européenne ? Non plus.
« Si c’est cela, la réponse que l’on donne aux agriculteurs français, c’est grave », nous confie-t-elle
En espérant que nos paysans ne seront pas les dindons de cette farce européenne…
Quel symbole que ces gens de la terre protestant à la porte même de l’Union européenne !
Cette Europe commune que l’Union européenne a échoué à construire se bâtit non pas grâce à elle mais contre elle.
Ils dénoncent une concurrence déloyale, une paperasserie kafkaïenne, des normes ubuesques, un écologisme dictatorial.
« On m’a traité comme un délinquant. » Pour avoir curé ses fossés, un éleveur a été convoqué, auditionné et sanctionné.
Les femmes sont très présentes dans le mouvement de colère.
La colère des agriculteurs gronde aux portes de Paris depuis lundi. Le Premier ministre du gouvernement Gabriel Attal, s’est adressé aux paysans dans une tentative
Il y a belle lurette que l’Union européenne n’est plus qu’un « canton » du mondialisme.
Culotté, celui qui n’est pas tout à fait étranger à l’importante crise qui déchire aujourd’hui le monde agricole…
Comment Gabriel Attal se sortira-t-il des ronces de ces « injonctions contradictoires » ?
Vendredi 26 janvier, le Premier ministre, Gabriel Attal, s’est rendu en Haute-Garonne, accompagné de Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture, et de Christophe Béchu, ministre de
Pendant ce temps, la France d’en bas, juchée sur ses tracteurs, manifeste.
Quand le malaise est tellement profond, même les mesures de bon sens de Gabriel Attal ne suffisent plus.
L’un des points positifs pourrait être la fin de l’instrumentalisation des forces de l’ordre lors des conflits sociaux.
Dans l’effondrement général du pays, toutes les impérities se télescopent et entrent en collision.
Hausse des coûts, des charges, des normes : nos agriculteurs nous nourrissent mais se meurent.
« Révolte agricole : après l’Allemagne, la France ? », se demandait Sabine de Villeroché, le 11 janvier dernier. Des milliers de tracteurs ont en effet
Macron se retrouve en première ligne, avec un Gabriel Attal dont l’expérience du monde agricole est inexistante.
Nos agriculteurs sont bel et bien au cœur d’un enjeu politique majeur.
Loin des paillettes, s’il y a bien une diversité qu’elle aimerait représenter, c’est celle de nos terroirs.
On aura les Jeux, mais pas le pain qui va avec…
On imagine les jours d’angoisse et les nuits sans sommeil de ce pauvre paysan.
La misère paysanne n’est même pas « un sentiment » dans le cerveau de Madame Borne…
Un texte nécessaire pour ces paysans que leurs nouveaux voisins s’emploient à tourmenter, voire à ruiner.
Pour protester contre une politique agricole aberrante, des agriculteurs retournent les panneaux d’entrée des communes.
« Il n’y a aucun système de protection contre la concurrence déloyale des viticulteurs espagnols. »
Marc Fesneau est-il le ministre de l’Agriculture en Ukraine ? Non. De l’Union européenne ? Non plus.