Euthanasie
Emmanuel Macron prévoit à nouveau de tuer le débat avec l’examen, à l’Assemblée nationale, du projet de loi « fin de vie »
La République a tendance à l’oublier, mais notre pays est pétri de valeurs chrétiennes qu’elle a simplement laïcisées.
L’opposition des organisations soignantes contre la loi fin de vie est bruyante car extrêmement majoritaire.
À peine terminée la grand-messe solennelle de la Sainte-Ivégée, voici une nouvelle fête votive : l’euthanasie !
Il faut dire que, sous cet angle précis, le décès de Robert Badinter tombe assez mal pour la Macronie.
Trop de rire tue. Les organisateurs l’ont bien compris.
La Marche pour la Vie donne rendez-vous ce 21 janvier à 14 heures place Saint-Sulpice à Paris.
Il témoigne des effets de la tentation d’euthanasie sur son épouse. Sa lettre à E. Macron est restée sans réponse.
« Laissons les Français décider mais ne leur cachons pas les dérives possibles. »
Macron préférera évoquer avec lui la migration, un thème sur lequel il ne risque pas trop le désaccord.
Il faut mesurer combien cette loi transgresse la loi actuelle et les fondements millénaires de la médecine
L’Académie de médecine a par ailleurs précisé les « conditions impératives » nécessaires à l’assistance au suicide.
L’organe de consultation de la République a donc ouvert ses portes au Grand Orient !
Puisque la mort à la carte est devenue exigible, il est bien naturel qu’un marché macabre se constitue.
Ce projet devait être « humaniste d’une société solidaire, inclusive et émancipatrice » pour les personnes vulnérables
« La Convention citoyenne, lieu où l’on éclaire les sujets, n’est pas investie par des électeurs du pouvoir de choisir
À quel seuil ma vie va-t-elle devenir indigne ?
Le Président a également annoncé un « plan décennal » sur les soins palliatifs, jugés insuffisants par la Convention.
Je persiste à ne pas pouvoir considérer comme un progrès de faire entrer le droit de tuer dans le Code pénal français.
Que dire des effets collatéraux sur les plus faibles, les vulnérables, les délaissés, se sentant une charge pour l’entou
Je ne viens pas juger ici sur les choix personnels. Que chacun s’y débrouille. Mais « donner la mort ne saurait être considéré comme un soin », nous dit l’archevêque de Lyon dans son rôle de mainteneur justifié d’interdits.
Aujourd’hui, seuls nos 3 partis, Reconquête, le Mouvement conservateur et VIA, la voie du peuple, s’engagent clairement pour la défense d’une conception humaine de la fin de vie avec une ligne claire « Ni acharnement thérapeutique, ni euthanasie ».
La gauche veut du social. Macron et son orchestre ne savent pas faire ça. Pour donner des gages, il ne reste que le sociétal.
La fondation Jérôme-Lejeune souhaite alerter sur l’importance civilisationnelle de cet enjeu « qui nous concerne tous »
Les souffrances psychologiques consécutives au viol dont elle a été victime ont été jugées insupportables par un collège composé de deux médecins et un psychiatre.
Gabrielle Cluzel reçoit, cette semaine, « Dans votre salon », Tugdual Derville, président d’Alliance VITA qui vient de publier un nouveau livre, Docteur, ai-je le
Une poignée de citoyens tirés au sort, pilotée par un conseil non élu, a donné une orientation décisive sur une question sociétale qui méritait, semble-t-il, un débat bien plus élevé.
Treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant aux alentours de 800.000 soignants, ont lancé un cri d’alerte pour rejeter l’euthanasie, qu’ils jugent « incompatible » avec les métiers du soin
Emmanuel Macron prévoit à nouveau de tuer le débat avec l’examen, à l’Assemblée nationale, du projet de loi « fin de vie »
La République a tendance à l’oublier, mais notre pays est pétri de valeurs chrétiennes qu’elle a simplement laïcisées.
L’opposition des organisations soignantes contre la loi fin de vie est bruyante car extrêmement majoritaire.
À peine terminée la grand-messe solennelle de la Sainte-Ivégée, voici une nouvelle fête votive : l’euthanasie !
Il faut dire que, sous cet angle précis, le décès de Robert Badinter tombe assez mal pour la Macronie.
Trop de rire tue. Les organisateurs l’ont bien compris.
La Marche pour la Vie donne rendez-vous ce 21 janvier à 14 heures place Saint-Sulpice à Paris.
Il témoigne des effets de la tentation d’euthanasie sur son épouse. Sa lettre à E. Macron est restée sans réponse.
« Laissons les Français décider mais ne leur cachons pas les dérives possibles. »
Macron préférera évoquer avec lui la migration, un thème sur lequel il ne risque pas trop le désaccord.
Il faut mesurer combien cette loi transgresse la loi actuelle et les fondements millénaires de la médecine
L’Académie de médecine a par ailleurs précisé les « conditions impératives » nécessaires à l’assistance au suicide.
L’organe de consultation de la République a donc ouvert ses portes au Grand Orient !
Puisque la mort à la carte est devenue exigible, il est bien naturel qu’un marché macabre se constitue.
Ce projet devait être « humaniste d’une société solidaire, inclusive et émancipatrice » pour les personnes vulnérables
« La Convention citoyenne, lieu où l’on éclaire les sujets, n’est pas investie par des électeurs du pouvoir de choisir
À quel seuil ma vie va-t-elle devenir indigne ?
Le Président a également annoncé un « plan décennal » sur les soins palliatifs, jugés insuffisants par la Convention.
Je persiste à ne pas pouvoir considérer comme un progrès de faire entrer le droit de tuer dans le Code pénal français.
Que dire des effets collatéraux sur les plus faibles, les vulnérables, les délaissés, se sentant une charge pour l’entou
Je ne viens pas juger ici sur les choix personnels. Que chacun s’y débrouille. Mais « donner la mort ne saurait être considéré comme un soin », nous dit l’archevêque de Lyon dans son rôle de mainteneur justifié d’interdits.
Aujourd’hui, seuls nos 3 partis, Reconquête, le Mouvement conservateur et VIA, la voie du peuple, s’engagent clairement pour la défense d’une conception humaine de la fin de vie avec une ligne claire « Ni acharnement thérapeutique, ni euthanasie ».
La gauche veut du social. Macron et son orchestre ne savent pas faire ça. Pour donner des gages, il ne reste que le sociétal.
La fondation Jérôme-Lejeune souhaite alerter sur l’importance civilisationnelle de cet enjeu « qui nous concerne tous »
Les souffrances psychologiques consécutives au viol dont elle a été victime ont été jugées insupportables par un collège composé de deux médecins et un psychiatre.
Gabrielle Cluzel reçoit, cette semaine, « Dans votre salon », Tugdual Derville, président d’Alliance VITA qui vient de publier un nouveau livre, Docteur, ai-je le
Une poignée de citoyens tirés au sort, pilotée par un conseil non élu, a donné une orientation décisive sur une question sociétale qui méritait, semble-t-il, un débat bien plus élevé.
Treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant aux alentours de 800.000 soignants, ont lancé un cri d’alerte pour rejeter l’euthanasie, qu’ils jugent « incompatible » avec les métiers du soin