mondialisation
Entre dénoncer la mondialisation et s’en servir, il va falloir choisir.
Olivier Piacentini a publié, récemment, un essai intitulé Le Mirage mondialiste. Mondialisation, mondialisme : quelle est la différence ? Il l’explique au micro de Boulevard
Pougne-Hérisson, un nom qui ne s’invente pas, insolite mais inspirant, est ainsi devenu, il y a trente ans, le cœur battant d’un nouveau monde tel que celui que notre société « covidée » cherche aujourd’hui à en trouver.
En définitive, que l’on ne s’y trompe pas : le véritable virus qui sévit sur Terre, qui plus est depuis des décennies, n’est autre que la mondialisation.
Dans la Drôme, Joris Miachon, un arboriculteur, a alerté les réseaux sociaux de cette situation ubuesque : le Super U de Saint-Sorlin-en-Valloire propose des poires d’Argentine à seulement deux kilomètres de son exploitation !
À force de regarder passer les trains, même les vaches finissent par se rendre compte que les horaires des chemins de fer ont changé.
En un mois, le coronavirus aura réussi à catalyser les grandes tendances de la géopolitique mondiale. Et à confirmer avec éclat les carences de la mondialisation et de l’Union européenne…
Entre dénoncer la mondialisation et s’en servir, il va falloir choisir.
Olivier Piacentini a publié, récemment, un essai intitulé Le Mirage mondialiste. Mondialisation, mondialisme : quelle est la différence ? Il l’explique au micro de Boulevard
Pougne-Hérisson, un nom qui ne s’invente pas, insolite mais inspirant, est ainsi devenu, il y a trente ans, le cœur battant d’un nouveau monde tel que celui que notre société « covidée » cherche aujourd’hui à en trouver.
En définitive, que l’on ne s’y trompe pas : le véritable virus qui sévit sur Terre, qui plus est depuis des décennies, n’est autre que la mondialisation.
Dans la Drôme, Joris Miachon, un arboriculteur, a alerté les réseaux sociaux de cette situation ubuesque : le Super U de Saint-Sorlin-en-Valloire propose des poires d’Argentine à seulement deux kilomètres de son exploitation !
À force de regarder passer les trains, même les vaches finissent par se rendre compte que les horaires des chemins de fer ont changé.
En un mois, le coronavirus aura réussi à catalyser les grandes tendances de la géopolitique mondiale. Et à confirmer avec éclat les carences de la mondialisation et de l’Union européenne…