Gérard Collomb
Régulièrement cité pour son : » Aujourd’hui, on vit côte à côte. Je crains que demain on ne doive vivre face à face ».
Emmanuel Macron s’entoure de ministres complaisants, qui pensent plus à leur carrière qu’à l’intérêt de la France. Ils servent leurs maîtres plus qu’ils ne servent l’État et ne se réveillent que quand ils ne risquent plus rien et qu’il est déjà trop tard.
Abreuvé de notes et de rapports qui pointaient impitoyablement la tiers-mondisation du pays, il s’est heurté à l’idéologie stérilisante du monde macroniste : ne pas stigmatiser, vivre ensemble, richesse dans la diversité.
Cinq ans qu’Emmanuel Macron est à l’Élysée, bientôt quatre ans que deux ministres se sont succédé place Beauvau, après Gérard Collomb, et le non-sens perdurerait dans le pays où, paraît-il, règne le bon sens près de chez vous ?
Combien d’autres faits ou chiffres les intéressant au premier chef ont-ils été cachés aux Français ?
Question subsidiaire : les LR lyonnais seront-ils exclus pour avoir avoir accepté de faire sauce commune avec le premier des marcheurs ?
Gérard Collomb craindrait d’être espionné par les quatre lascars pour le compte de Castaner.
La scène de crime se tient à Lyon et concerne ces autres artistes que peuvent être parfois les hommes politiques.
Gérard Collomb, à la fois pionnier du macronisme et premier déçu par ce dernier, met en garde contre « la tentation de faire de nouvelles lois »…
Quand on fait partie du camp des winners depuis tout petit, la loose n’est pas une option !
Cette situation devrait redonner espoir à des forces alternatives : les sortants, bien sûr, mais aussi les alliances à droite qui fleurissent ici ou là.
Les voitures et les commerces continueront de brûler chaque nuit.
Pourtant, il se trouve toujours, au plus haut niveau de l’État, des « responsables » pour continuer de parler de « blague »…
Gérard Collomb aurait manifesté sa crainte de l’élection de maires salafistes.
Et d’évoquer, tout aussi sérieusement, la police de sécurité du quotidien, cette vaste pantomime sécuritaire pour « bobo » qui, selon lui, serait le remède à tous nos maux.
Le visage tuméfié, sans argent, passeport ni billet d’avion, le vieux curé a passé sa première nuit lyonnaise à l’hôpital.
Castaner, le Poniatowski de Macron ? N’exagérons pas !
Mais, en attendant, dormez en paix, braves gens, Édouard Philippe patrouille.
Quelles qu’en soient les raisons, en désertant le combat qui était le sien, Gérard Collomb a ainsi démontré le manque de courage d’un gouvernement, dont la sécurité n’a manifestement jamais été la priorité.
Visiblement, dans le parti du Président, certains veulent eux aussi leur label « gauche-Aquarius ».
« Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s’apparente à une crise politique », a déclaré, mercredi, sans rire, Benjamin Griveaux
Son fonds de commerce politique, c’est en principe celui de l’identité heureuse qui pense printemps. Celui du vivre ensemble qui s’enrichit de la diversité.
Gérard Collomb a finalement démissionné. L’occasion, pour le criminologue Xavier Raufer, de dresser le bilan pour Boulevard Voltaire de ces quelque quinze mois passés au
La France vit sous la menace permanente du terrorisme islamiste mais, à cette heure, la France n’a pas de ministre de l’Intérieur.
Alexandre Langlois, représentant du syndicat VIGI, réagit à la démission de Gérard Collomb au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion d’évoquer « l’affaire Benalla ». Gérard Collomb maintient
Sébastien Chenu, député RN du Nord, est interrogé au micro de Boulevard Voltaire au sujet de la démission de Gérard Collomb et du départ de
Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour
Encore une start-up qui part à la godille.
Régulièrement cité pour son : » Aujourd’hui, on vit côte à côte. Je crains que demain on ne doive vivre face à face ».
Emmanuel Macron s’entoure de ministres complaisants, qui pensent plus à leur carrière qu’à l’intérêt de la France. Ils servent leurs maîtres plus qu’ils ne servent l’État et ne se réveillent que quand ils ne risquent plus rien et qu’il est déjà trop tard.
Abreuvé de notes et de rapports qui pointaient impitoyablement la tiers-mondisation du pays, il s’est heurté à l’idéologie stérilisante du monde macroniste : ne pas stigmatiser, vivre ensemble, richesse dans la diversité.
Cinq ans qu’Emmanuel Macron est à l’Élysée, bientôt quatre ans que deux ministres se sont succédé place Beauvau, après Gérard Collomb, et le non-sens perdurerait dans le pays où, paraît-il, règne le bon sens près de chez vous ?
Combien d’autres faits ou chiffres les intéressant au premier chef ont-ils été cachés aux Français ?
Question subsidiaire : les LR lyonnais seront-ils exclus pour avoir avoir accepté de faire sauce commune avec le premier des marcheurs ?
Gérard Collomb craindrait d’être espionné par les quatre lascars pour le compte de Castaner.
La scène de crime se tient à Lyon et concerne ces autres artistes que peuvent être parfois les hommes politiques.
Gérard Collomb, à la fois pionnier du macronisme et premier déçu par ce dernier, met en garde contre « la tentation de faire de nouvelles lois »…
Quand on fait partie du camp des winners depuis tout petit, la loose n’est pas une option !
Cette situation devrait redonner espoir à des forces alternatives : les sortants, bien sûr, mais aussi les alliances à droite qui fleurissent ici ou là.
Les voitures et les commerces continueront de brûler chaque nuit.
Pourtant, il se trouve toujours, au plus haut niveau de l’État, des « responsables » pour continuer de parler de « blague »…
Gérard Collomb aurait manifesté sa crainte de l’élection de maires salafistes.
Et d’évoquer, tout aussi sérieusement, la police de sécurité du quotidien, cette vaste pantomime sécuritaire pour « bobo » qui, selon lui, serait le remède à tous nos maux.
Le visage tuméfié, sans argent, passeport ni billet d’avion, le vieux curé a passé sa première nuit lyonnaise à l’hôpital.
Castaner, le Poniatowski de Macron ? N’exagérons pas !
Mais, en attendant, dormez en paix, braves gens, Édouard Philippe patrouille.
Quelles qu’en soient les raisons, en désertant le combat qui était le sien, Gérard Collomb a ainsi démontré le manque de courage d’un gouvernement, dont la sécurité n’a manifestement jamais été la priorité.
Visiblement, dans le parti du Président, certains veulent eux aussi leur label « gauche-Aquarius ».
« Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s’apparente à une crise politique », a déclaré, mercredi, sans rire, Benjamin Griveaux
Son fonds de commerce politique, c’est en principe celui de l’identité heureuse qui pense printemps. Celui du vivre ensemble qui s’enrichit de la diversité.
Gérard Collomb a finalement démissionné. L’occasion, pour le criminologue Xavier Raufer, de dresser le bilan pour Boulevard Voltaire de ces quelque quinze mois passés au
La France vit sous la menace permanente du terrorisme islamiste mais, à cette heure, la France n’a pas de ministre de l’Intérieur.
Alexandre Langlois, représentant du syndicat VIGI, réagit à la démission de Gérard Collomb au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion d’évoquer « l’affaire Benalla ». Gérard Collomb maintient
Sébastien Chenu, député RN du Nord, est interrogé au micro de Boulevard Voltaire au sujet de la démission de Gérard Collomb et du départ de
Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour
Encore une start-up qui part à la godille.