Gérard Collomb
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…
N’avons-nous pas, ici, une sorte de Grand Guignol comme on le joue à Lyon au pied de la colline de Fourvière ?
Dommage que son addiction au jeune Emmanuel l’ait si longtemps aveuglé.
…les Français restent sur leur faim. Ils n’ont pas réussi à avaler toutes les couleuvres que le gouvernement leur a servies…
Son analyse des déboires présidentiels actuels sonnait juste. Comme la vérité blesse toujours celui qu’elle vise, Narcisse-Jupiter en a été fort courroucé.
Gérard Collomb a surgi d’un gâteau au cours d’un meeting d’Emmanuel Macron. Surprise du chef.
L’été se termine mais l’affaire Benalla continue… Le syndicat de police Vigi vient, en effet, de demander, par la voix de son avocat, que Gérard
Et la star arriva, auréolée de sa mémorable prestation devant la commission d’enquête sur l’affaire Benalla !
Pauvres novices exposés dans « l’arène », en manque de communication présidentielle, comme des brebis sans berger…
N’ayons pas peur des mots : Gérard Collomb, c’est la réincarnation de Clemenceau.
Emmanuel Macron était au milieu des siens. Il n’était pas le président de la République française mais celui de La République en marche.
Et tout cela sous les caméras et, accessoirement, sous serment…
Après cette audition, on peut penser que Gérard Collomb n’a pas envie de servir de fusible.
Dans le cadre de l’affaire Benalla, le député de Vaucluse Julien Aubert revient sur la crise qui touche le plus haut sommet de l’État, et
Si des têtes doivent tomber, c’est le moment. Mais ne nous contentons pas des lampistes.
Et désormais, les Français veulent savoir : pourquoi ces privilèges ahurissants ? Pourquoi cette protection obstinée ? Pourquoi ces silences et ces mensonges ?
Choisissant d’abord, laissant batifoler ensuite, un zigoto qui est clairement à la sécurité ce que M. Hanouna est à France Culture, la présidence Macron a tout faux.
La pauvre Mme Buzyn découvre à ses dépens que dans la start-up Macron, si on s’appelle par le prénom et se claque la bise à la machine à café, la brutalité n’en est pas moins présente.
Les Turcs en diaspora – en France et en Allemagne, notamment – votent massivement pour Erdoğan à toutes les élections.
La véritable droite, ce n’est pas celle qui se désintéresse des questions éthiques et suit le courant des dérives sociétales : la constance de Marion Maréchal sur ces sujets est préférable au louvoiement de Valérie Pécresse.
La question que devraient se poser tant le Premier ministre que le ministre de l’Intérieur est de savoir si le trouble à l’ordre public n’est déjà pas avéré par l’annonce de la programmation du spectacle de Médine au Bataclan.
On la comprend, Madame Hidalgo. Elle ne veut pas se brouiller avec les quelques électeurs qui lui restent.
Samedi, Gérard Collomb, faut l’avouer, s’est surpassé.
Alors, qu’au moins nos dirigeants osent ce qu’ont osé les révolutionnaires dont ils se réclament.
En attendant, l’Ami Gérard ne veut pas qu’on lui pique ses ronds de serviette.
C’est une sale et médiocre affaire. Le tabassage d’un élu tout seul par des énergumènes fiers d’eux. Et le silence.
On en viendrait presque à plaindre cette pauvre AFP, si à gauche, si politiquement correcte, et pourtant prise pour cible par ceux-là même qu’elle encense.
Ça y est. Gérard Collomb vient de lancer une contre-attaque fulgurante.
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…
N’avons-nous pas, ici, une sorte de Grand Guignol comme on le joue à Lyon au pied de la colline de Fourvière ?
Dommage que son addiction au jeune Emmanuel l’ait si longtemps aveuglé.
…les Français restent sur leur faim. Ils n’ont pas réussi à avaler toutes les couleuvres que le gouvernement leur a servies…
Son analyse des déboires présidentiels actuels sonnait juste. Comme la vérité blesse toujours celui qu’elle vise, Narcisse-Jupiter en a été fort courroucé.
Gérard Collomb a surgi d’un gâteau au cours d’un meeting d’Emmanuel Macron. Surprise du chef.
L’été se termine mais l’affaire Benalla continue… Le syndicat de police Vigi vient, en effet, de demander, par la voix de son avocat, que Gérard
Et la star arriva, auréolée de sa mémorable prestation devant la commission d’enquête sur l’affaire Benalla !
Pauvres novices exposés dans « l’arène », en manque de communication présidentielle, comme des brebis sans berger…
N’ayons pas peur des mots : Gérard Collomb, c’est la réincarnation de Clemenceau.
Emmanuel Macron était au milieu des siens. Il n’était pas le président de la République française mais celui de La République en marche.
Et tout cela sous les caméras et, accessoirement, sous serment…
Après cette audition, on peut penser que Gérard Collomb n’a pas envie de servir de fusible.
Dans le cadre de l’affaire Benalla, le député de Vaucluse Julien Aubert revient sur la crise qui touche le plus haut sommet de l’État, et
Si des têtes doivent tomber, c’est le moment. Mais ne nous contentons pas des lampistes.
Et désormais, les Français veulent savoir : pourquoi ces privilèges ahurissants ? Pourquoi cette protection obstinée ? Pourquoi ces silences et ces mensonges ?
Choisissant d’abord, laissant batifoler ensuite, un zigoto qui est clairement à la sécurité ce que M. Hanouna est à France Culture, la présidence Macron a tout faux.
La pauvre Mme Buzyn découvre à ses dépens que dans la start-up Macron, si on s’appelle par le prénom et se claque la bise à la machine à café, la brutalité n’en est pas moins présente.
Les Turcs en diaspora – en France et en Allemagne, notamment – votent massivement pour Erdoğan à toutes les élections.
La véritable droite, ce n’est pas celle qui se désintéresse des questions éthiques et suit le courant des dérives sociétales : la constance de Marion Maréchal sur ces sujets est préférable au louvoiement de Valérie Pécresse.
La question que devraient se poser tant le Premier ministre que le ministre de l’Intérieur est de savoir si le trouble à l’ordre public n’est déjà pas avéré par l’annonce de la programmation du spectacle de Médine au Bataclan.
On la comprend, Madame Hidalgo. Elle ne veut pas se brouiller avec les quelques électeurs qui lui restent.
Samedi, Gérard Collomb, faut l’avouer, s’est surpassé.
Alors, qu’au moins nos dirigeants osent ce qu’ont osé les révolutionnaires dont ils se réclament.
En attendant, l’Ami Gérard ne veut pas qu’on lui pique ses ronds de serviette.
C’est une sale et médiocre affaire. Le tabassage d’un élu tout seul par des énergumènes fiers d’eux. Et le silence.
On en viendrait presque à plaindre cette pauvre AFP, si à gauche, si politiquement correcte, et pourtant prise pour cible par ceux-là même qu’elle encense.
Ça y est. Gérard Collomb vient de lancer une contre-attaque fulgurante.
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