Constitutionnalisation de l’IVG
Cette semaine s’est donc ouverte par une « journée historique » pour les femmes de France et, tant qu’à faire, puisque désormais les ambitions de
Qui saura gré à Panot, à Macron, à Bayrou de cette initiative qui ne change rien à rien ?
Autant dire que la dame ne ressemble plus vraiment au bébé porté sur les fonts baptismaux par de Gaulle.
Les députés LFI, via Mathilde Panot, ont réclamé de remplacer « femme » par « toute personne en situation de grossesse ».
Sept députés ont fait le choix de porter haut et fort leurs convictions.
Un projet de loi constitutionnelle va être déposé au Conseil d’État en début de semaine prochaine.
Le 8 mars, traditionnelle Journée de la femme, chacun y est allé de son couplet sur « le droit des femmes », comme si on ne pouvait pas célébrer la femme sans faire un arrêt obligé sur l’IVG.
La gauche veut du social. Macron et son orchestre ne savent pas faire ça. Pour donner des gages, il ne reste que le sociétal.
Consacrer la liberté d’avorter, revient à consacrer la liberté de choix, et de ce fait, il faudra que la loi garantisse l’effectivité du droit de renoncer à l’IVG et donc qu’elle mette en place les outils pour y parvenir.
Philippe Bas, à l’origine de tant d’effusions dans les rangs de la NUPES, souhaitait-il marcher dans les pas de son mentor Simone Veil ou simplement faire parler de lui ?
Ils font part de leurs appréhensions concernant la constitutionnalisation de l’IVG, notamment pour ce qui concerne la clause de conscience des professionnels de santé et la liberté d’expression.
Il faut espérer que le Sénat tiendra bon sur ses positions.
Les signataires justifient leur appel aux sénateurs en raison du droit à l’avortement qui, selon eux, serait menacé à l’étranger et en France.
Afin de contrer les propositions de LFI et de Renaissance pour constitutionnaliser le droit à l’avortement, Marine Le Pen a fait, la semaine dernière, une
La seule bonne nouvelle est que la majorité du Sénat semble pour l’instant hostile à cette constitutionnalisation.
Toucher à la Constitution sur une question sociétale comme celle de l’avortement ou de la contraception, c’est ouvrir la boîte de Pandore à toutes les surenchères.
Cette semaine s’est donc ouverte par une « journée historique » pour les femmes de France et, tant qu’à faire, puisque désormais les ambitions de
Qui saura gré à Panot, à Macron, à Bayrou de cette initiative qui ne change rien à rien ?
Autant dire que la dame ne ressemble plus vraiment au bébé porté sur les fonts baptismaux par de Gaulle.
Les députés LFI, via Mathilde Panot, ont réclamé de remplacer « femme » par « toute personne en situation de grossesse ».
Sept députés ont fait le choix de porter haut et fort leurs convictions.
Un projet de loi constitutionnelle va être déposé au Conseil d’État en début de semaine prochaine.
Le 8 mars, traditionnelle Journée de la femme, chacun y est allé de son couplet sur « le droit des femmes », comme si on ne pouvait pas célébrer la femme sans faire un arrêt obligé sur l’IVG.
La gauche veut du social. Macron et son orchestre ne savent pas faire ça. Pour donner des gages, il ne reste que le sociétal.
Consacrer la liberté d’avorter, revient à consacrer la liberté de choix, et de ce fait, il faudra que la loi garantisse l’effectivité du droit de renoncer à l’IVG et donc qu’elle mette en place les outils pour y parvenir.
Philippe Bas, à l’origine de tant d’effusions dans les rangs de la NUPES, souhaitait-il marcher dans les pas de son mentor Simone Veil ou simplement faire parler de lui ?
Ils font part de leurs appréhensions concernant la constitutionnalisation de l’IVG, notamment pour ce qui concerne la clause de conscience des professionnels de santé et la liberté d’expression.
Il faut espérer que le Sénat tiendra bon sur ses positions.
Les signataires justifient leur appel aux sénateurs en raison du droit à l’avortement qui, selon eux, serait menacé à l’étranger et en France.
Afin de contrer les propositions de LFI et de Renaissance pour constitutionnaliser le droit à l’avortement, Marine Le Pen a fait, la semaine dernière, une
La seule bonne nouvelle est que la majorité du Sénat semble pour l’instant hostile à cette constitutionnalisation.
Toucher à la Constitution sur une question sociétale comme celle de l’avortement ou de la contraception, c’est ouvrir la boîte de Pandore à toutes les surenchères.