Antiracisme
Des associations communautaires qui ne cachent plus leurs visées séparatistes.
Après deux ans de silence, des militants d’extrême gauche décident de révéler au grand jour leur « désaccord profond avec l’approche et les méthodes du Comité Adama ». Intimidation, injure publique, agressions…
Le jeu Far Cry 6 d’Ubisoft balaie le traitement de « la montée du fascisme, les coûts de l’impérialisme, le travail forcé, le besoin d’élections démocratiques et les droits des LGBTQ+ ».
Il est difficile de suivre les méandres tortueux de cerveaux ramollis par des années d’épidémie gauchiste.
Si, dans mon restaurant, je propose du couscous ou un curry à l’indienne ou un goulasch ou une moussaka, il s’agit d’appropriation culturelle, ce qui ne doit pas être loin d’un crime contre l’humanité.
La race reprenait des couleurs avec un nouveau racisme – on n’ose pas dire repeint à neuf – appelé racialisme.
Cyril Bennasar est d’abord menuisier, c’est peut-être de là qu’il tient son solide bon sens, et ses deux pieds rivés sur Terre, le bois se laissant rarement attendrir par l’utopie et l’idéologie.
Des informaticiens de l’université Carnegie-Mellon ont pu expliquer que l’algorithme de YouTube a tout simplement mal interprété les commentaires, car il n’est pas en mesure de prendre en compte le contexte.
Toute la politique conduite depuis des années sous la pression des lobbies du genre et des minorités de couleur repose sur un mensonge. Elle est le fruit d’une erreur anthropologique et philosophique fondamentale.
L’image montrait deux personnages, un Noir et un Blanc, se tenant à un mètre l’un de l’autre, une distance symbolisée par cinq ananas.
HSBC veut plus de cadres de couleur, de Blacks, comme on dit, y compris de ce côté-ci du Channel.
Mais que cherchent donc tant de millions d’opprimés sur un continent européen où les nations – France en tête – sont « structurellement racistes » ?
La repentance pour tous nos péchés de Blancs semble le préalable à une grande purification qui devrait précéder la régénération du monde.
Ce mouvement, une fois encore généré par la folie américaine se répand en France jusqu’à l’absurde.
Ce sont des agents de la substitution de la lutte des races à la lutte des classes.
Cette fois-ci, pas de diffusion outre-Manche et outre-Atlantique pour Timothée de Fombelle, auteur de célèbres livres pour la jeunesse, comme Tobie Lolness (Gallimard jeunesse, 2006),
Trop de Blancs et d’Asiatiques dans les concerts de musique classique, pas assez de représentants de la diversité dans les orchestres. C’est le nouveau combat des militants pro-noirs.
Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », alors nous avons décidé d’agir.
Après les têtes des statues, ce seront celles des récalcitrants qui pourraient bien tomber.
Ce long-métrage datant de 1939 est jugé « révisionniste » par des universitaires américains…
La vrai privilège (car il y en a un), convenons-en, n’est pas épidermique mais géographique : celui d’être né sur une terre (l’Europe) ayant eu l’insigne avantage d’être hellénisée, romanisée, christianisée…
La vieille machine qui tourne à répétition depuis 1789 retrouve ses réflexes…
…silencieux alors que le pays subit des manifestations où l’on hurle à pleins poumons contre la police et insulte la France, la traitant de raciste.
Les races n’existent pas, selon une partie de la gauche, sauf quand il s’agit de dénigrer les Blancs.
Un Occident affaibli, attaqué de toutes parts, et notre civilisation à l’agonie.
Le drame, c’est qu’à force d’expliquer à nos Français « de branche » que tous leurs malheurs venaient de la malveillance de leurs compatriotes « de souche », les uns ont fini par se croire victimes des racistes, alors que les autres étaient poussés à le devenir peu ou prou.
Alors même que l’antiracisme est devenu obsessionnel dans un pays qui ignorait les races, on assiste à un double mouvement fondé sur une transposition de la situation américaine.
Des associations communautaires qui ne cachent plus leurs visées séparatistes.
Après deux ans de silence, des militants d’extrême gauche décident de révéler au grand jour leur « désaccord profond avec l’approche et les méthodes du Comité Adama ». Intimidation, injure publique, agressions…
Le jeu Far Cry 6 d’Ubisoft balaie le traitement de « la montée du fascisme, les coûts de l’impérialisme, le travail forcé, le besoin d’élections démocratiques et les droits des LGBTQ+ ».
Il est difficile de suivre les méandres tortueux de cerveaux ramollis par des années d’épidémie gauchiste.
Si, dans mon restaurant, je propose du couscous ou un curry à l’indienne ou un goulasch ou une moussaka, il s’agit d’appropriation culturelle, ce qui ne doit pas être loin d’un crime contre l’humanité.
La race reprenait des couleurs avec un nouveau racisme – on n’ose pas dire repeint à neuf – appelé racialisme.
Cyril Bennasar est d’abord menuisier, c’est peut-être de là qu’il tient son solide bon sens, et ses deux pieds rivés sur Terre, le bois se laissant rarement attendrir par l’utopie et l’idéologie.
Des informaticiens de l’université Carnegie-Mellon ont pu expliquer que l’algorithme de YouTube a tout simplement mal interprété les commentaires, car il n’est pas en mesure de prendre en compte le contexte.
Toute la politique conduite depuis des années sous la pression des lobbies du genre et des minorités de couleur repose sur un mensonge. Elle est le fruit d’une erreur anthropologique et philosophique fondamentale.
L’image montrait deux personnages, un Noir et un Blanc, se tenant à un mètre l’un de l’autre, une distance symbolisée par cinq ananas.
HSBC veut plus de cadres de couleur, de Blacks, comme on dit, y compris de ce côté-ci du Channel.
Mais que cherchent donc tant de millions d’opprimés sur un continent européen où les nations – France en tête – sont « structurellement racistes » ?
La repentance pour tous nos péchés de Blancs semble le préalable à une grande purification qui devrait précéder la régénération du monde.
Ce mouvement, une fois encore généré par la folie américaine se répand en France jusqu’à l’absurde.
Ce sont des agents de la substitution de la lutte des races à la lutte des classes.
Cette fois-ci, pas de diffusion outre-Manche et outre-Atlantique pour Timothée de Fombelle, auteur de célèbres livres pour la jeunesse, comme Tobie Lolness (Gallimard jeunesse, 2006),
Trop de Blancs et d’Asiatiques dans les concerts de musique classique, pas assez de représentants de la diversité dans les orchestres. C’est le nouveau combat des militants pro-noirs.
Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », alors nous avons décidé d’agir.
Après les têtes des statues, ce seront celles des récalcitrants qui pourraient bien tomber.
Ce long-métrage datant de 1939 est jugé « révisionniste » par des universitaires américains…
La vrai privilège (car il y en a un), convenons-en, n’est pas épidermique mais géographique : celui d’être né sur une terre (l’Europe) ayant eu l’insigne avantage d’être hellénisée, romanisée, christianisée…
La vieille machine qui tourne à répétition depuis 1789 retrouve ses réflexes…
…silencieux alors que le pays subit des manifestations où l’on hurle à pleins poumons contre la police et insulte la France, la traitant de raciste.
Les races n’existent pas, selon une partie de la gauche, sauf quand il s’agit de dénigrer les Blancs.
Un Occident affaibli, attaqué de toutes parts, et notre civilisation à l’agonie.
Le drame, c’est qu’à force d’expliquer à nos Français « de branche » que tous leurs malheurs venaient de la malveillance de leurs compatriotes « de souche », les uns ont fini par se croire victimes des racistes, alors que les autres étaient poussés à le devenir peu ou prou.
Alors même que l’antiracisme est devenu obsessionnel dans un pays qui ignorait les races, on assiste à un double mouvement fondé sur une transposition de la situation américaine.