Des réfugiés albanais attaquent des militaires de Sentinelle à Montpellier

On le sait, ce n'est pas dans la grande presse qu'il faut chercher la réalité que subissent au quotidien les Français. Nous en avons encore un exemple cette semaine avec ces actes barbares exécutés par un gang d'Albanais à Montpellier.

Ce ne sont pas Le Figaro ni Le Monde ni, encore, Libération qui ont relaté cette affaire, mais Le Midi libre et l'hebdomadaire régional Métropolitain. Pourtant, les actes sont gravissimes et révélateurs d'une tension due à une immigration sauvage de plus en plus prégnante dans la grande ville languedocienne.

Un militaire de l'opération Sentinelle, en poste à Montpellier dans le cadre de l'état d'urgence, a été pris à partie lundi, en fin de soirée. Avec un camarade, il déambulait cours Gambetta hors service en tenue civile. Vers 2 h 30, les deux croisent un groupe d’une quinzaine de réfugiés albanais. Ces derniers, prenant l'un des militaires pour un policier en civil, se mettent à les poursuivre. sitôt rejoint, le soldat visé est passé à tabac puis frappé par des coups de couteau à l’abdomen. Son collègue, qui tentait de lui porter secours, est assailli lui aussi. L'un des Albanais met un couteau sous sa gorge, l'empêchant d'intervenir. Rapidement, les jeunes agresseurs s'enfuient, laissant le soldat ensanglanté sur le trottoir. Son camarade prévient la police, le blessé peut être conduit à l'hôpital. Heureusement, ses jours ne sont pas en danger.

Mais les méfaits de ce gang ne sont pas terminés. Vers 3 h, place de la Comédie, il menace avec son couteau des jeunes, puis s'attaque à une trentaine de policiers municipaux arrivés en renfort. Constatant que, face au nombre, il ne fait plus la loi, le groupe disparaît dans les ruelles. Mercredi soir, il n'était toujours pas arrêté.

Après des cités comme Marseille, Grenoble et Toulouse, Montpellier devient une ville dangereuse où il ne fait pas bon se promener dans le centre-ville la nuit.

C'est toujours, semble-t-il, le même scénario : un clan ethnique de migrants se rassemble, et quand il se sent assez fort, il n'hésite pas à passer à l'attaque, armé de couteaux et de bâtons. Pour cela, il suffit d'un prétexte : un regard appuyé ou une demande de cigarette. Leur seul but : en découdre, en montrant leur "capacité" et en soumettant par la peur ou la violence les personnes isolées ou les forces de l'ordre.

Ce qui est grave, dans le cas présent, est que la police nationale, en sous-effectif, a dû déléguer son action à la police municipale qui n'a pas les mêmes prérogatives, notamment dans l'arrestation d'individus suspects.

Ce qui est grave est qu'une quinzaine d'individus, à 3 heures du matin, ont pu se volatiliser dans les rues désertes du centre-ville sans qu'il n'y ait aucune prise.

Ce qui est grave est que, malgré les témoignages des passants, les vidéos et l'origine connue des acteurs, trois jours plus tard, la sûreté départementale na pas encore procédé à un coup de filet.

Ce qui est grave est que l’Albanie, pays musulman, mène depuis 1992 des négociations approfondies pour entrer dans l’Union européenne.

Enfin, ce qui est grave, c'est que 65 % des Français estiment qu'il y a trop d'étrangers en France mais que notre pays, piégé par l'Europe, ne cesse d'en accueillir.

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 10/09/2024 à 10:04.
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J.-P. Fabre Bernadac
Ancien officier de Gendarmerie - Diplômé de criminologie et de criminalistique

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