De Superman à Scooby-Doo, l’endoctrinement LGBT dès le plus jeune âge
Nos petites têtes blondes n’échappent plus aux affres de notre époque. Films d’animation, bandes dessinées, littérature jeunesse… l’idéologie LGBT s’infiltre partout. De Superman à Scooby-Doo en passant par les films de Disney, plus rien n’échappe à cette entreprise idéologique.
Super-héros LGBT
Bisexuel, pro-migrant, engagé pour le climat. Qui eût cru qu’un jour, le descendant de Superman serait décrit par ce triptyque woke ? Près de 85 ans après la première apparition de Superman, les traits du personnage principal ont bien changé. Désormais, le super-héros mondialement connu laisse place à son fils, John Kent, un personnage bisexuel qui défile pour le climat et se bat pour les réfugiés. Après une première série de bandes dessinées consacrées au développement de ce héros LGBT, DC Comics (maison d’édition américaine) vient d'annoncer le lancement d’une nouvelle saga centrée à nouveau sur l’héritier woke de Superman. Et ce, malgré les ventes catastrophiques des premiers numéros. Le Washington Times note ainsi que le wokisme de cette série intitulée Superman, fils de Kar-El n’est pas du goût de nombreux lecteurs. La première bande dessinée ne se serait vendue qu’à 68.000 exemplaires et la troisième n’atteindrait pas la barre des 40.000 ventes là où d’autres éditions et séries dépassaient facilement les 100.000 exemplaires vendus.
Dans la galaxie des super-héros, Superman n’est pas le seul à avoir succombé à l’idéologie LGBT. Loin de là. Robin, le fidèle ami de Batman, devient bisexuel dans l’une des BD de la saga. Marvel, autre maison d’édition créatrice de comics, dévoile également une version homosexuelle de Captain America, le plus patriotique des super-héros américains. À cela s’ajoute Deadpool, devenu pansexuel, et Wonder Woman, qui serait queer ou lesbienne.
Cet endoctrinement LGBT, s’il touche les adolescents, adeptes de BD et de comics, s’impose également aux jeunes enfants. Le 4 octobre dernier, la franchise Scooby-Doo révélait à ses fans l’orientation sexuelle de Véra, l’une des acolytes du célèbre chien détective. Un choix qui peut étonner quand on sait que cette série, loin d’être politique, a pour intrigue principale la résolution de différents mystères par les jeunes personnages. Dans Peppa Pig, un dessin animé destiné aux 4-10 ans, qui met en scène une famille de cochons, c’est un couple homosexuel qui a fait son apparition, il y a quelques semaines.
Bien évidemment, les grandes productions ne sont pas en reste. Au printemps dernier, Karey Burke, présidente de Disney, faisait part de son souhait d'avoir au moins « 50 % des personnages LGBT et issus des minorités » dans les futurs projets du groupe. Chose promise, chose faite. Dans Buzz l’Éclair, film sorti en France en juin dernier, une courte scène montre au jeune public un couple lesbien. Une nouvelle fois, l’univers enfantin est travesti au profit d’une idéologie militante. Le dernier film d’animation de Disney, Avalonia, l’étrange voyage, n’échappe pas à cette nouvelle règle. La société de production mettra en scène son premier personnage homosexuel. Déjà par le passé, la célèbre société de production américaine s’était illustrée par son wokisme. À la suite des mouvements #MeeToo et Black Lives Matter, elle décidait d’afficher un message d’avertissement au début de certains anciens dessins animés pour excuser par avance les possibles stéréotypes qui y seraient véhiculés.
En quoi la sexualité d'un personnage de dessin animé destiné aux ENFANTS a-t-elle une importance, sinon par pure idéologie militante ? Laissez les enfants tranquilles !
L'idéologie ça ose tout, c'est à ça qu'on la reconnaît !https://t.co/UUIiyTuJwB
— La Manif Pour Tous (@LaManifPourTous) October 6, 2022
Face à cette vague LGBT, les réactions de parents ne se font pas attendre. « En quoi la sexualité d’un personnage de dessin animé destiné aux enfants a-t-elle une importance, sinon par pure idéologie militante ? » s’interroge la Manif pour tous, sur Twitter. Il serait sans doute temps de laisser aux enfants leur insouciance.
Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 13/10/2022 à 7:09.
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Clémence de Longraye
Journaliste à BV
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12 commentaires
Assez. Enough is enough.
Le Wokisme avance à grands pas. Détruire, amalgamer les religions monothéistes, pour gouverner le Monde, Leur Politique avec Leur Religion….Si c’était pour le meilleur, pour la Paix, mais je n’y crois pas….Nous y sommes déjà, et la majorité ne voit rien venir…
Par pitié boycottons tous ces livres, dessins animés etc…soyons vigilants pour le bien de nos enfants !
Boycott ! boycott !
Le Wockisme, comme toute idéologie, est d’essence puritaine. Et les puritains n’ont que deux obsessions , le sexe et en premier le fric. Comme le public ne suivra pas, l’avenir du wockisme est tout tracé : la chute. La plus rapide possible.
Espérons-le.
A ce niveau je pense que cela relève de la psychanalyse
Il n’y a plus que le chien qui est « standard » :) !
Étant moi-même un grand enfant attardé, fan de dessins animés, je constate cet endoctrinement du politiquement correct depuis des décennies.
Plus ou moins subtil suivant les auteurs, mais toujours présent.
De plus en plus, le héros devenait un héros de « couleur », maintenant on y rajoute les propagandes LGBT, c’est juste dans la continuité.
Cette minorité se veut majoritaire dans l’espace médiatique. Plus la société est apathique ou endoctrinée, plus les pions avancent partout. C’est l’overdose ! Victimes de la propagande, beaucoup nous disent qu’il faut être tolérant, dans le temps il y avait des maisons pour cela…
Que les ventes de ces BD ridicules continuent à baisser ce sera la preuve de la bêtise de cette entreprise !!
Laissez les enfants tranquilles oui sinon ça va chauffer .Et l’on constate fort heureusement que ces torchons de bandes dessinées ont peu de public . C’est bon signe .