Zemmour ne vaut-il pas qu’au-dessus de la mêlée ?
Nous n’apprenons rien, sans doute de ne rien vouloir apprendre.
Ces thèmes qui, d’emblée, situent leurs porte-parole dans le camp, honni, de la mal-pensance, de l’esprit réactionnaire le plus rétrograde !
Lorsqu’on est en guerre, il ne faut pas se tromper d’ennemi, mais l’Occident sait-il seulement qu’il est en guerre et contre qui ?
Ils se consolent de leur imposture avec les vivats des minorités qui, à bon compte et avec leur complicité, ont obtenu gain de cause !
Le démantèlement que d’aucuns proposent entraîne une perte de compétences, laquelle nous met à la merci d’un Tchernobyl bis repetita.
Les cancres ont trouvé à la télévision des émissions et des produits culturels à leur portée, des séries roboratives, des fictions binaires, des shows de télé-réalité…
Alors, allons-nous continuer à vivre ainsi, de confinement en confinement, chaque fois qu’une nouvelle vague menace ?
Cette appétence à tendre le micro a fini par créer une sorte de « mainthink » qui fonctionne comme un paradigme, auquel il est difficile d’échapper.
L’État a certes fait défaut, mais non parce qu’on lui voit les côtes et que sa maigreur fait frémir…
La vie, lentement, va reprendre, les uns jurant leurs grands dieux, plus jamais comme avant, les autres déplorant, comme avant en pire.
Souvent, il ne se trouve pas même une âme pour recueillir le dernier râle.
Peut-être, aussi, enfonce-t-il quelques portes ouvertes et commet-il quelques contresens.
Une panique de cette nature était-elle pensable, il y a cinquante ans ?
Un pays dont les citoyens sont susceptibles d’être suivis à la trace par une puce électronique ou sommés de rendre compte de leur emploi du temps, un tel pays est-il encore une démocratie ?
Zemmour ne vaut-il pas qu’au-dessus de la mêlée ?
Nous n’apprenons rien, sans doute de ne rien vouloir apprendre.
Ces thèmes qui, d’emblée, situent leurs porte-parole dans le camp, honni, de la mal-pensance, de l’esprit réactionnaire le plus rétrograde !
Lorsqu’on est en guerre, il ne faut pas se tromper d’ennemi, mais l’Occident sait-il seulement qu’il est en guerre et contre qui ?
Ils se consolent de leur imposture avec les vivats des minorités qui, à bon compte et avec leur complicité, ont obtenu gain de cause !
Le démantèlement que d’aucuns proposent entraîne une perte de compétences, laquelle nous met à la merci d’un Tchernobyl bis repetita.
Les cancres ont trouvé à la télévision des émissions et des produits culturels à leur portée, des séries roboratives, des fictions binaires, des shows de télé-réalité…
Alors, allons-nous continuer à vivre ainsi, de confinement en confinement, chaque fois qu’une nouvelle vague menace ?
Cette appétence à tendre le micro a fini par créer une sorte de « mainthink » qui fonctionne comme un paradigme, auquel il est difficile d’échapper.
L’État a certes fait défaut, mais non parce qu’on lui voit les côtes et que sa maigreur fait frémir…
La vie, lentement, va reprendre, les uns jurant leurs grands dieux, plus jamais comme avant, les autres déplorant, comme avant en pire.
Souvent, il ne se trouve pas même une âme pour recueillir le dernier râle.
Peut-être, aussi, enfonce-t-il quelques portes ouvertes et commet-il quelques contresens.
Une panique de cette nature était-elle pensable, il y a cinquante ans ?
Un pays dont les citoyens sont susceptibles d’être suivis à la trace par une puce électronique ou sommés de rendre compte de leur emploi du temps, un tel pays est-il encore une démocratie ?