

Tiens, tiens, ne serions-nous pas en train de sortir des sentiers mille fois battus et rebattus ?

Joyeux anniversaire quand même à Libération qui n’a jamais aussi mal porté son nom qu’aujourd’hui.

Mélenchon n’est bien sûr pas un parangon de « gentillesse », mais du moins a-t-il du sens politique.

Au second tour, 67% des sondés estiment que Marine Le Pen a des chances de l’emporter.

Donald Trump s’est à nouveau distingué à l’occasion d’un entretien accordé à la tout aussi élégante chaîne Fox News.

Emmanuel Macron a-t-il encore les moyens d’un semblant de politique étrangère ?

Pour les Diafoirus de jadis, tout venait du poumon. Pour leurs actuels descendants, tout le mal viendrait donc du jambon

La simple « crise de régime » pourrait bien laisser la place à une véritable « crise démocratique ».

Derrière des cas particuliers, il faut bien admettre que puissent exister des forces autrement plus organisées,

Une fois de plus, quand on ne sait plus comment se dépatouiller des « zones de non-droit », on en appelle à l’armée.

Ce qui ne semble plus guère payer, c’est le mantra de « l’union », des droites comme des gauches.

Mélenchon était autrement plus convaincant lorsque ses yeux se tournaient vers Caracas ou La Havane.

Passer de la tutelle des pères blancs à celle des tutus arc-en-ciel est-il véritablement un progrès en soi ?

Ces instances européennes sont-elles les mieux placées pour mettre en œuvre le catéchisme de Damien Carême ?

L’ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron semble néanmoins croire encore à un possible destin présidentiel

150 millions de morts plus tard, Fabien Roussel continue donc à nous servir la même ritournelle.

Les records, on le sait, sont faits pour être battus. Nous y sommes, avec ce sondage Elabe du 23 mars dernier : seuls 24 % des Français estiment qu’Emmanuel Macron est « un bon Président ».

Loin des voyous de naguère, qui savaient à peu près les lois, voici venu le temps d’autres bandes pour lesquelles les policiers ne sont jamais que des gangs aussi rivaux qu’indésirables.

Emmanuel Macron, qui se targue de bien connaître l’Histoire de France, aurait-il encore oublié que de tout temps, légalité et légitimité se sont souvent opposées ?

Même si d’humeur traditionnellement bougonne, il n’est pas incongru de penser qu’ils puissent regretter le monde de naguère.

Le drame, dans cette affaire, c’est que le rôle aujourd’hui joué par la Chine fut longtemps celui de la France ; pays qui savait se conduire en nation servant à la fois de pivot et d’intermédiaire entre grandes puissances avoisinantes.

À peine en kiosques, le hors-série de Valeurs actuelles, consacré à « L’Histoire interdite », s’est déjà écoulé à près de vingt-mille exemplaires en moins d’une semaine.

Les ordures s’amoncellent sur les trottoirs, tandis que les rats – pardon, les surmulots – sont à la fête : happy hour et open bar all day long.

Si Jean Dujardin a raillé la France en incarnant à trois reprises l’agent OSS 117, c’est en incarnant un patriote sincère. Un peu comme lui, somme toute.

De ces admonestations issues du « cercle de la raison », comme disent les média dominants, Viktor Orbán n’a visiblement que faire.

Combattre le fléau migratoire, l’Italienne Giorgia Meloni, présidente du Conseil, le veut, manifestement. D’où l’arsenal juridique qu’elle présente au peuple qui l’a élue.

Tel que prévisible, les autorités supranationales et morales s’étranglent.

Après les artistes, les journalistes, on oublie souvent les politiques, pas toujours très nets sur la question.

Tiens, tiens, ne serions-nous pas en train de sortir des sentiers mille fois battus et rebattus ?

Joyeux anniversaire quand même à Libération qui n’a jamais aussi mal porté son nom qu’aujourd’hui.

Mélenchon n’est bien sûr pas un parangon de « gentillesse », mais du moins a-t-il du sens politique.

Au second tour, 67% des sondés estiment que Marine Le Pen a des chances de l’emporter.

Donald Trump s’est à nouveau distingué à l’occasion d’un entretien accordé à la tout aussi élégante chaîne Fox News.

Emmanuel Macron a-t-il encore les moyens d’un semblant de politique étrangère ?

Pour les Diafoirus de jadis, tout venait du poumon. Pour leurs actuels descendants, tout le mal viendrait donc du jambon

La simple « crise de régime » pourrait bien laisser la place à une véritable « crise démocratique ».

Derrière des cas particuliers, il faut bien admettre que puissent exister des forces autrement plus organisées,

Une fois de plus, quand on ne sait plus comment se dépatouiller des « zones de non-droit », on en appelle à l’armée.

Ce qui ne semble plus guère payer, c’est le mantra de « l’union », des droites comme des gauches.

Mélenchon était autrement plus convaincant lorsque ses yeux se tournaient vers Caracas ou La Havane.

Passer de la tutelle des pères blancs à celle des tutus arc-en-ciel est-il véritablement un progrès en soi ?

Ces instances européennes sont-elles les mieux placées pour mettre en œuvre le catéchisme de Damien Carême ?

L’ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron semble néanmoins croire encore à un possible destin présidentiel

150 millions de morts plus tard, Fabien Roussel continue donc à nous servir la même ritournelle.

Les records, on le sait, sont faits pour être battus. Nous y sommes, avec ce sondage Elabe du 23 mars dernier : seuls 24 % des Français estiment qu’Emmanuel Macron est « un bon Président ».

Loin des voyous de naguère, qui savaient à peu près les lois, voici venu le temps d’autres bandes pour lesquelles les policiers ne sont jamais que des gangs aussi rivaux qu’indésirables.

Emmanuel Macron, qui se targue de bien connaître l’Histoire de France, aurait-il encore oublié que de tout temps, légalité et légitimité se sont souvent opposées ?

Même si d’humeur traditionnellement bougonne, il n’est pas incongru de penser qu’ils puissent regretter le monde de naguère.

Le drame, dans cette affaire, c’est que le rôle aujourd’hui joué par la Chine fut longtemps celui de la France ; pays qui savait se conduire en nation servant à la fois de pivot et d’intermédiaire entre grandes puissances avoisinantes.

À peine en kiosques, le hors-série de Valeurs actuelles, consacré à « L’Histoire interdite », s’est déjà écoulé à près de vingt-mille exemplaires en moins d’une semaine.

Les ordures s’amoncellent sur les trottoirs, tandis que les rats – pardon, les surmulots – sont à la fête : happy hour et open bar all day long.

Si Jean Dujardin a raillé la France en incarnant à trois reprises l’agent OSS 117, c’est en incarnant un patriote sincère. Un peu comme lui, somme toute.

De ces admonestations issues du « cercle de la raison », comme disent les média dominants, Viktor Orbán n’a visiblement que faire.

Combattre le fléau migratoire, l’Italienne Giorgia Meloni, présidente du Conseil, le veut, manifestement. D’où l’arsenal juridique qu’elle présente au peuple qui l’a élue.

Tel que prévisible, les autorités supranationales et morales s’étranglent.

Après les artistes, les journalistes, on oublie souvent les politiques, pas toujours très nets sur la question.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
