Tous les Français qui vont voter Éric Zemmour sont conscients qu’il n’y aura qu’un candidat au second tour qui prendra en compte leurs angoisses ou leurs préoccupations.
C’est le retour des empires, des guerres entre États et, donc, des conflits à haute intensité.
Ces trois actions judiciaires soulignent toutes les trois un trait majeur de la Macronie : la légèreté.
Les Ukrainiens refusent le combat classique, armée contre armée, en terrain libre. Ils mènent une guerre de guérilla…
La réalité opérationnelle surprend les militaires occidentaux qui ne s’attendaient pas à autant de difficultés de la part d’une armée russe en théorie parmi les plus puissantes du monde.
Au second tour, l’écart avec Macron se resserre à 53 % d’intentions de vote, contre 47 % dans le sondage CNews de ce 4 avril. C’est 13 points de plus que ses scores d’il y a cinq ans.
L’information est sensible. Directement concernés, la banque Rothschild, l’Élysée et Bercy démentent catégoriquement les conclusions de cette enquête à prendre donc avec beaucoup de précaution.
En cette fin de campagne présidentielle, la droite revient à ses fondamentaux et tente de marquer l’opinion sur l’islamisme et le communautarisme.
L’état-major de Marine Le Pen se sent pousser des ailes : il considère l’accès au deuxième tour comme acquis et travaille désormais sur l’entre-deux-tours. Dans le viseur, la revanche de 2017.
Quoi qu’il arrive, le plus grand évènement de la campagne présidentielle 2022 marquera l’histoire de la droite.
En quelques semaines, nos indécrottables bien-pensants ont retourné leurs vestes comme crêpes à la Chandeleur, avec une rapidité de transformiste de métier.
Entre une droite volontiers sécuritaire et une gauche qui écarte le sujet du revers de la main, Emmanuel Macron a trouvé sa petite musique – et c’est une musique… silencieuse.
La révolte en Corse consécutive à cet accident manifeste la dissolution de l’État et de la France, la perte de son autorité, sa faiblesse et le rôle de punching-ball joué dorénavant sans un bruit par les CRS.
Comment expliquer dans un style sénatorial que Macron se moque du monde ?
La prise de bec est révélatrice d’un tournant dans la manière de traiter la politique dans nos médias.
Emmanuel Macron et le gouvernement ont compris que l’automobiliste-vache à lait pouvait, à l’occasion, donner des coups de corne.
Alors que l’Ukraine vit des heures sombres, il faut lire, faire lire à vos enfants et relire Maroussia. Pour comprendre la résistance acharnée des Ukrainiens et apprendre à aimer l’âme d’un pays. Le nôtre, par exemple.
C’est une question de fierté, de respect pour les institutions, pour les Français et pour la démocratie. Emmanuel Macron devrait proposer un débat aux quatre grands candidats, ceux qui dépassent les 10 %.
À l’étude des déclarations, un patrimoine et un seul a de quoi surprendre. C’est celui du candidat Emmanuel Macron. Mais ce n’est pas son enrichissement, c’est au contraire sa stupéfiante modestie qui pose question.
Le Président a trouvé une manière de sanctuariser ces caisses de résonnance honnies par bien des Français. Ils constatent l’écart de ce média qui leur appartient avec ce qu’ils sont et ce qu’ils pensent.
C’était d’ailleurs lors d’une interview de Valérie Pécresse dans les locaux de Boulevard Voltaire que la solution avait émergé : un accord entre tous les candidats de droite.
Ce n’est pas la première fois que l’État, sous la présidence d’Emmanuel Macron, s’en prend à la liberté de l’information, toujours sous le couvert d’une bonne conscience proclamée, la marque du macronisme.
Pour les autres candidats à l’Élysée, difficile de lutter contre ce Président martial qui, en Jupiter furieux, menace la Russie de la foudre.
Dans ses années de formation au KGB, ce goût du risque est la seule réserve émise par ses instructeurs. Là, il risque effectivement très gros.
Poutine est aux commandes de la Russie depuis août 1999 : il a en tête les engagements successifs des uns et des autres. Côté américain, il en est à son cinquième président. Côté français, à son quatrième. Il a la mémoire du temps long.
« Pour nous, chaque perte, c’est le fils, le père, le frère de quelqu’un. »
Le propriétaire d’un chien, appelé Douglas, aurait pris pour son animal une carte du parti et l’aurait inscrit sur les listes du vote !
S’il y a un mot qu’on entend plus que les autres dans cette campagne, c’est le mot « ralliement ». À l’évidence, trois parcs à éléphants ont des trous dans le grillage.
Tous les Français qui vont voter Éric Zemmour sont conscients qu’il n’y aura qu’un candidat au second tour qui prendra en compte leurs angoisses ou leurs préoccupations.
C’est le retour des empires, des guerres entre États et, donc, des conflits à haute intensité.
Ces trois actions judiciaires soulignent toutes les trois un trait majeur de la Macronie : la légèreté.
Les Ukrainiens refusent le combat classique, armée contre armée, en terrain libre. Ils mènent une guerre de guérilla…
La réalité opérationnelle surprend les militaires occidentaux qui ne s’attendaient pas à autant de difficultés de la part d’une armée russe en théorie parmi les plus puissantes du monde.
Au second tour, l’écart avec Macron se resserre à 53 % d’intentions de vote, contre 47 % dans le sondage CNews de ce 4 avril. C’est 13 points de plus que ses scores d’il y a cinq ans.
L’information est sensible. Directement concernés, la banque Rothschild, l’Élysée et Bercy démentent catégoriquement les conclusions de cette enquête à prendre donc avec beaucoup de précaution.
En cette fin de campagne présidentielle, la droite revient à ses fondamentaux et tente de marquer l’opinion sur l’islamisme et le communautarisme.
L’état-major de Marine Le Pen se sent pousser des ailes : il considère l’accès au deuxième tour comme acquis et travaille désormais sur l’entre-deux-tours. Dans le viseur, la revanche de 2017.
Quoi qu’il arrive, le plus grand évènement de la campagne présidentielle 2022 marquera l’histoire de la droite.
En quelques semaines, nos indécrottables bien-pensants ont retourné leurs vestes comme crêpes à la Chandeleur, avec une rapidité de transformiste de métier.
Entre une droite volontiers sécuritaire et une gauche qui écarte le sujet du revers de la main, Emmanuel Macron a trouvé sa petite musique – et c’est une musique… silencieuse.
La révolte en Corse consécutive à cet accident manifeste la dissolution de l’État et de la France, la perte de son autorité, sa faiblesse et le rôle de punching-ball joué dorénavant sans un bruit par les CRS.
Comment expliquer dans un style sénatorial que Macron se moque du monde ?
La prise de bec est révélatrice d’un tournant dans la manière de traiter la politique dans nos médias.
Emmanuel Macron et le gouvernement ont compris que l’automobiliste-vache à lait pouvait, à l’occasion, donner des coups de corne.
Alors que l’Ukraine vit des heures sombres, il faut lire, faire lire à vos enfants et relire Maroussia. Pour comprendre la résistance acharnée des Ukrainiens et apprendre à aimer l’âme d’un pays. Le nôtre, par exemple.
C’est une question de fierté, de respect pour les institutions, pour les Français et pour la démocratie. Emmanuel Macron devrait proposer un débat aux quatre grands candidats, ceux qui dépassent les 10 %.
À l’étude des déclarations, un patrimoine et un seul a de quoi surprendre. C’est celui du candidat Emmanuel Macron. Mais ce n’est pas son enrichissement, c’est au contraire sa stupéfiante modestie qui pose question.
Le Président a trouvé une manière de sanctuariser ces caisses de résonnance honnies par bien des Français. Ils constatent l’écart de ce média qui leur appartient avec ce qu’ils sont et ce qu’ils pensent.
C’était d’ailleurs lors d’une interview de Valérie Pécresse dans les locaux de Boulevard Voltaire que la solution avait émergé : un accord entre tous les candidats de droite.
Ce n’est pas la première fois que l’État, sous la présidence d’Emmanuel Macron, s’en prend à la liberté de l’information, toujours sous le couvert d’une bonne conscience proclamée, la marque du macronisme.
Pour les autres candidats à l’Élysée, difficile de lutter contre ce Président martial qui, en Jupiter furieux, menace la Russie de la foudre.
Dans ses années de formation au KGB, ce goût du risque est la seule réserve émise par ses instructeurs. Là, il risque effectivement très gros.
Poutine est aux commandes de la Russie depuis août 1999 : il a en tête les engagements successifs des uns et des autres. Côté américain, il en est à son cinquième président. Côté français, à son quatrième. Il a la mémoire du temps long.
« Pour nous, chaque perte, c’est le fils, le père, le frère de quelqu’un. »
Le propriétaire d’un chien, appelé Douglas, aurait pris pour son animal une carte du parti et l’aurait inscrit sur les listes du vote !
S’il y a un mot qu’on entend plus que les autres dans cette campagne, c’est le mot « ralliement ». À l’évidence, trois parcs à éléphants ont des trous dans le grillage.
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