Point de politique ici, mais la ferme volonté d’afficher publiquement un acte de foi capable de réunir les catholiques autour d’une cause supérieure : le salut de la France.
L’université a su, jadis, former des esprits libres. Elle n’a plus pour ambition, désormais, que de formater la jeunesse à l’idéologie dominante en la coupant de ses racines.
Face à la menace qui nous étreint aujourd’hui, il y deux réponses : l’une politique, qui se fait sans cesse plus attendre, l’autre morale et civilisationnelle, qui dépend de nous tous.
Si la France et l’Union européenne entendent faire respecter leurs décisions et maintenir leur crédibilité, il faudra plus qu’une vague et molle « dénonciation » du ministère des Armées.
Ce long cheminement qui voit nos sociétés basculer du débat au dogme, de la raison à la vérité et du politique au religieux.
Il n’y a pas pire censure que celle que les journalistes s’infligent eux-mêmes…
La Conférence des évêques de France annonçait, fin juin, que 127 prêtres seraient ordonnés cette année.
Tareq Oubrou semble prêcher dans le désert.
Depuis Clovis, le destin de la France et celui de l’Église sont inextricables. Craignons que la lâcheté et les errances idéologiques de leurs dirigeants ne les mènent toutes deux à leur perte.
La droite traditionnelle, hier principale force politique française, s’effondre.
Il n’est point, aujourd’hui, de nation européenne et on ne la fera pas apparaître par décret. La nation française, en revanche, est l’œuvre des siècles, des rois et des républiques.
Les deux anciens partis de gouvernement se tournent donc vers des figures du monde des idées, dans une concordance des temps qui nous dit sans doute quelque chose de l’époque.
En France et plus largement en Europe, nous nous sommes, semble-t-il, habitués à ces litanies macabres qui devraient pourtant nous interroger et nous placer face à nos abandons.
Notre-Dame de Paris est un héritage que nous ne comprenons plus, et la précipitation d’Emmanuel Macron à la reconstruire en est le signe le plus manifeste.
Point de politique ici, mais la ferme volonté d’afficher publiquement un acte de foi capable de réunir les catholiques autour d’une cause supérieure : le salut de la France.
L’université a su, jadis, former des esprits libres. Elle n’a plus pour ambition, désormais, que de formater la jeunesse à l’idéologie dominante en la coupant de ses racines.
Face à la menace qui nous étreint aujourd’hui, il y deux réponses : l’une politique, qui se fait sans cesse plus attendre, l’autre morale et civilisationnelle, qui dépend de nous tous.
Si la France et l’Union européenne entendent faire respecter leurs décisions et maintenir leur crédibilité, il faudra plus qu’une vague et molle « dénonciation » du ministère des Armées.
Ce long cheminement qui voit nos sociétés basculer du débat au dogme, de la raison à la vérité et du politique au religieux.
Il n’y a pas pire censure que celle que les journalistes s’infligent eux-mêmes…
La Conférence des évêques de France annonçait, fin juin, que 127 prêtres seraient ordonnés cette année.
Tareq Oubrou semble prêcher dans le désert.
Depuis Clovis, le destin de la France et celui de l’Église sont inextricables. Craignons que la lâcheté et les errances idéologiques de leurs dirigeants ne les mènent toutes deux à leur perte.
La droite traditionnelle, hier principale force politique française, s’effondre.
Il n’est point, aujourd’hui, de nation européenne et on ne la fera pas apparaître par décret. La nation française, en revanche, est l’œuvre des siècles, des rois et des républiques.
Les deux anciens partis de gouvernement se tournent donc vers des figures du monde des idées, dans une concordance des temps qui nous dit sans doute quelque chose de l’époque.
En France et plus largement en Europe, nous nous sommes, semble-t-il, habitués à ces litanies macabres qui devraient pourtant nous interroger et nous placer face à nos abandons.
Notre-Dame de Paris est un héritage que nous ne comprenons plus, et la précipitation d’Emmanuel Macron à la reconstruire en est le signe le plus manifeste.
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