Traduisons : ne pourrait-on pas « shooter » nos vieux ?
Les Français sont les recordmen européens de consommation de cannabis.
Rappelons qu’en France, et depuis longtemps, tabac et alcool sont responsables, quotidiennement, de plus de 300 décès ; un chiffre de l’ordre de grandeur de la létalité du Covid-19 en sa phase aiguë.
Les cannabinophiles impénitents viennent à nouveau de frapper : à la porte du gouvernement, cette fois !
Le ministère de la Santé a omis d’avertir qu’en l’occurrence, le cannabis constituait une contre-indication manifeste, en raison de ses effets dépresseurs de l’immunité.
Les méfaits du THC sont nombreux et graves. Un médecin s’impliquant dans les aspects législatifs d’un médicament doit manifester une prudence redoublée.
Le ministre de la Santé a constitué une commission pour apprécier les potentialités thérapeutiques du cannabis. Pourquoi pas ? Mais les prémisses inquiètent…
Gardons-nous bien de prôner le soda avec le lièvre à la royale, le Coca-Cola™ avec la choucroute et l’eau minérale avec les huîtres…
Qu’une part de l’impôt (jugé confiscatoire par nombre de ses assujettis) soit utilisée non pour lutter mais pour faciliter les toxicomanies est insupportable !
Non, ne dormez pas tranquilles, braves gens ! Le drame des toxicomanies s’intensifie…
Les jeux d’argent ne produisent rien pour la société. Ils reposent sur le fait que chaque joueur espère remporter la mise aux dépens des joueurs malheureux.
Tous les États qui ont légalisé le cannabis l’ont préalablement fait adouber comme « médicament ».
Pour que soit levée l’obligation de l’éthylotest, après trois à six mois, nous suggérons que soit dosé dans ses cheveux l’éthylglucuronide.
Racolage des cannabinophiles avant la grande élection ?
Le film My Beautiful Boy, d’un réalisateur d’origine belge, se déroule aux USA. Il relate la descente dans l’enfer des drogues du jeune Nicolas Steff
Que ceux qui prônent un accès facilité au cannabis, par sa légalisation, se pénètrent de tous les risques évoqués.
Ces chiffres énormes, s’agissant d’une drogue illicite, résultent d’effets conjugués…
Réintroduire l’alcool sur les stades et renforcer sa présence dans l’esprit du public serait une aberration.
Attention aux exceptions qui tuent les règles élaborées par l’intelligence des experts au cours du temps.
Ces parents drogués, victimes eux-mêmes de la nocivité du cannabis, deviendront ainsi parents de drogués.
Un « cannabis à points », à l’instar du permis du même nom, aurait constitué un intéressant moyen de prévention.
À l’heure où l’on devient plus attentif à la préservation des espèces animales, ne devrait-on pas s’intéresser un peu plus à l’espèce humaine ?
Le Canada n’était pourtant pas, dans le monde, le plus gros consommateur de cannabis. Il était très en deçà de la France…
Les premiers usages sont de plus en plus précoces ; au collège, dès la cinquième.
La toxicomanie tabagique, qui débutait chez les lycéens, s’est intensifiée et a diffusé à l’étage du dessous, celui des collégiens.
S’il s’agit d’un « bon vin », l’alcool n’est sûrement pas absent des mobiles de sa consommation, mais avec des circonstances atténuantes…
Le cannabis incite à la consommation d’alcool.
Ce fut pourtant dans la douleur que les habitants du quartier de la gare du Nord accueillirent cette salle de shoot ; douleur qui, d’ailleurs, n’est toujours pas calmée.
Traduisons : ne pourrait-on pas « shooter » nos vieux ?
Les Français sont les recordmen européens de consommation de cannabis.
Rappelons qu’en France, et depuis longtemps, tabac et alcool sont responsables, quotidiennement, de plus de 300 décès ; un chiffre de l’ordre de grandeur de la létalité du Covid-19 en sa phase aiguë.
Les cannabinophiles impénitents viennent à nouveau de frapper : à la porte du gouvernement, cette fois !
Le ministère de la Santé a omis d’avertir qu’en l’occurrence, le cannabis constituait une contre-indication manifeste, en raison de ses effets dépresseurs de l’immunité.
Les méfaits du THC sont nombreux et graves. Un médecin s’impliquant dans les aspects législatifs d’un médicament doit manifester une prudence redoublée.
Le ministre de la Santé a constitué une commission pour apprécier les potentialités thérapeutiques du cannabis. Pourquoi pas ? Mais les prémisses inquiètent…
Gardons-nous bien de prôner le soda avec le lièvre à la royale, le Coca-Cola™ avec la choucroute et l’eau minérale avec les huîtres…
Qu’une part de l’impôt (jugé confiscatoire par nombre de ses assujettis) soit utilisée non pour lutter mais pour faciliter les toxicomanies est insupportable !
Non, ne dormez pas tranquilles, braves gens ! Le drame des toxicomanies s’intensifie…
Les jeux d’argent ne produisent rien pour la société. Ils reposent sur le fait que chaque joueur espère remporter la mise aux dépens des joueurs malheureux.
Tous les États qui ont légalisé le cannabis l’ont préalablement fait adouber comme « médicament ».
Pour que soit levée l’obligation de l’éthylotest, après trois à six mois, nous suggérons que soit dosé dans ses cheveux l’éthylglucuronide.
Racolage des cannabinophiles avant la grande élection ?
Le film My Beautiful Boy, d’un réalisateur d’origine belge, se déroule aux USA. Il relate la descente dans l’enfer des drogues du jeune Nicolas Steff
Que ceux qui prônent un accès facilité au cannabis, par sa légalisation, se pénètrent de tous les risques évoqués.
Ces chiffres énormes, s’agissant d’une drogue illicite, résultent d’effets conjugués…
Réintroduire l’alcool sur les stades et renforcer sa présence dans l’esprit du public serait une aberration.
Attention aux exceptions qui tuent les règles élaborées par l’intelligence des experts au cours du temps.
Ces parents drogués, victimes eux-mêmes de la nocivité du cannabis, deviendront ainsi parents de drogués.
Un « cannabis à points », à l’instar du permis du même nom, aurait constitué un intéressant moyen de prévention.
À l’heure où l’on devient plus attentif à la préservation des espèces animales, ne devrait-on pas s’intéresser un peu plus à l’espèce humaine ?
Le Canada n’était pourtant pas, dans le monde, le plus gros consommateur de cannabis. Il était très en deçà de la France…
Les premiers usages sont de plus en plus précoces ; au collège, dès la cinquième.
La toxicomanie tabagique, qui débutait chez les lycéens, s’est intensifiée et a diffusé à l’étage du dessous, celui des collégiens.
S’il s’agit d’un « bon vin », l’alcool n’est sûrement pas absent des mobiles de sa consommation, mais avec des circonstances atténuantes…
Le cannabis incite à la consommation d’alcool.
Ce fut pourtant dans la douleur que les habitants du quartier de la gare du Nord accueillirent cette salle de shoot ; douleur qui, d’ailleurs, n’est toujours pas calmée.