La France pleure d’émotion et s’essuie une larme au coin de l’œil en même temps que le front trempé de sueur, canicule aidant.
Il y a des matins où on aimerait être britannique.
En France, on ne limoge pas un ministre pour un tel motif : il y a les préfets, pour ça !
Pour une invitation aussi innocente à un coquetelle de l’entre-soi sans doute fort sympathique.
Mars… Pourquoi pas Roudoudou, Raplapla, pendant qu’on y est !
Le 20 heures est la savonnette à vilain qui ferait presque passer une petite frappe pour un conseiller référendaire à la Cour des comptes.
N’ayons pas peur des mots : Gérard Collomb, c’est la réincarnation de Clemenceau.
Le fameux « maître des horloges », remonté comme une pendule dans les Pyrénées, pouvait être content.
Emmanuel Macron était au milieu des siens. Il n’était pas le président de la République française mais celui de La République en marche.
Et tout cela sous les caméras et, accessoirement, sous serment…
Maintenant que Benalla a été jeté aux encombrants, on espère que le ministre de l’Intérieur n’en restera pas à des questions de « dysfonctionnement ».
« La femme de César ne doit pas être soupçonnée »
En fait de « République inaltérable » pour reprendre l’expression d’Emmanuel Macron, nous donnons au monde l’image d’une république inénarrable !
Ce vote s’inscrit dans une parfaite continuité qui nous ramène aux origines de la création de l’État d’Israël en 1948.
La question qui vient immédiatement alors à l’esprit : le Président, pénalement irresponsable durant l’exercice de son mandat, était-il au courant ?
La Légion d’honneur devrait bientôt compter parmi ses membres un vrai chevalier. Ce chevalier, il s’appelle Olivier Giroud…
Nous aurons donc, si cette réforme est adoptée, un Président irresponsable devant le Parlement qui débattra avec les parlementaires, le Premier ministre, lui responsable, relégué au banc de touche. Va comprendre, Charles !
La Marseillaise est un chant de soldats, pas de soudards.
Nous sommes si habitués à entendre des concerts de cornes de brume, de klaxons, de youyous dans nos rues, les soirs de match…
La pauvre Mme Buzyn découvre à ses dépens que dans la start-up Macron, si on s’appelle par le prénom et se claque la bise à la machine à café, la brutalité n’en est pas moins présente.
Mais la province peut aussi s’offrir des moments royaux à l’occasion de la très républicaine fête nationale.
On le sait, l’égalité entre les femmes et les hommes est l’un des chevaux de bataille du Président Macron et de son quinquennat.
Les édiles grands-bretons n’avaient pas pensé à tout. Faudra-t-il creuser un nouvel étang réservé aux transgenres…
Le bon plaisir d’un président de rassembler la représentation nationale pour un probable exercice d’autosatisfaction.
Nous sommes en France, le pays où le tour de France des voitures brûlées, des flics agressés, des vitrines brisées ne fait jamais relâche.
Le chef d’état-major de l’armée de terre demande peut-être beaucoup à Libération. L’impossible, peut-être…
Si la France est un pays d’affreux racistes, à quoi bon s’acharner, prendre le risque d’une guerre civile ?
La France pleure d’émotion et s’essuie une larme au coin de l’œil en même temps que le front trempé de sueur, canicule aidant.
Il y a des matins où on aimerait être britannique.
En France, on ne limoge pas un ministre pour un tel motif : il y a les préfets, pour ça !
Pour une invitation aussi innocente à un coquetelle de l’entre-soi sans doute fort sympathique.
Mars… Pourquoi pas Roudoudou, Raplapla, pendant qu’on y est !
Le 20 heures est la savonnette à vilain qui ferait presque passer une petite frappe pour un conseiller référendaire à la Cour des comptes.
N’ayons pas peur des mots : Gérard Collomb, c’est la réincarnation de Clemenceau.
Le fameux « maître des horloges », remonté comme une pendule dans les Pyrénées, pouvait être content.
Emmanuel Macron était au milieu des siens. Il n’était pas le président de la République française mais celui de La République en marche.
Et tout cela sous les caméras et, accessoirement, sous serment…
Maintenant que Benalla a été jeté aux encombrants, on espère que le ministre de l’Intérieur n’en restera pas à des questions de « dysfonctionnement ».
« La femme de César ne doit pas être soupçonnée »
En fait de « République inaltérable » pour reprendre l’expression d’Emmanuel Macron, nous donnons au monde l’image d’une république inénarrable !
Ce vote s’inscrit dans une parfaite continuité qui nous ramène aux origines de la création de l’État d’Israël en 1948.
La question qui vient immédiatement alors à l’esprit : le Président, pénalement irresponsable durant l’exercice de son mandat, était-il au courant ?
La Légion d’honneur devrait bientôt compter parmi ses membres un vrai chevalier. Ce chevalier, il s’appelle Olivier Giroud…
Nous aurons donc, si cette réforme est adoptée, un Président irresponsable devant le Parlement qui débattra avec les parlementaires, le Premier ministre, lui responsable, relégué au banc de touche. Va comprendre, Charles !
La Marseillaise est un chant de soldats, pas de soudards.
Nous sommes si habitués à entendre des concerts de cornes de brume, de klaxons, de youyous dans nos rues, les soirs de match…
La pauvre Mme Buzyn découvre à ses dépens que dans la start-up Macron, si on s’appelle par le prénom et se claque la bise à la machine à café, la brutalité n’en est pas moins présente.
Mais la province peut aussi s’offrir des moments royaux à l’occasion de la très républicaine fête nationale.
On le sait, l’égalité entre les femmes et les hommes est l’un des chevaux de bataille du Président Macron et de son quinquennat.
Les édiles grands-bretons n’avaient pas pensé à tout. Faudra-t-il creuser un nouvel étang réservé aux transgenres…
Le bon plaisir d’un président de rassembler la représentation nationale pour un probable exercice d’autosatisfaction.
Nous sommes en France, le pays où le tour de France des voitures brûlées, des flics agressés, des vitrines brisées ne fait jamais relâche.
Le chef d’état-major de l’armée de terre demande peut-être beaucoup à Libération. L’impossible, peut-être…
Si la France est un pays d’affreux racistes, à quoi bon s’acharner, prendre le risque d’une guerre civile ?