Mathilde Panot
Ces champions de l’égalité ont la fâcheuse tendance à réduire les gens à leur production de mélanine ou à leur sexe.
Et qui est derrière tout ça ? Vous ne devinerez jamais. C’est l’extrême-droite.
La probabilité que le Parlement se constitue en Haute Cour pour juger Emmanuel Macron est très faible.
Retrouvez, chaque vendredi, les perles politiques de la semaine !
Les jours de La France insoumise sont comptés.
Où était-il, ce parangon de liberté d’expression, quand E. Zemmour et M. Le Pen étaient traînés devant les tribunaux ?
Après un vol de 8h45, Mathilde Panot et Manon Aubry ont atterri en Guadeloupe pour parler inflation.
Cette semaine, Mathilde Panot patine en géographie, l’Assemblée fait de la discrimination capillaire.
Cette semaine, Franck Ribéry rentre au gouvernement, la NUPES fait du camping et Macron défend les jeunes oisifs avec hardiesse et transgression ! Retrouvez, chaque
Mathilde Panot a le jour même, sur X, accusé « l’extrême droite » de « semer le chaos » en France.
Le problème, pour Mme Panot, c’est uniquement « my body my choice ».
Dédaignant la langue de Molière, la députée a, cette fois, emprunté à Shakespeare pour tweeter son dédain de la France.
Par ces temps de disette idéologique, il devenait urgent de dénicher un combat de dépannage.
Le Parisien, peu suspect d’avoir repris le fonds de commerce de Gringoire, faisait sa une, le 7 juin, sur « l’école face au défi de
Cette semaine, Mathilde Panot s’exerce à la brasse coulée, et autres pépites !
Cette semaine, pendant que la presse reçoit la bonne parole de l’Élysée, Sandrine Rousseau se fait théologienne et Louis Boyard, monarchiste !
Un Bardella peut dissimuler dans sa paume un quelconque poison violent, une aiguille, un oursin…
Dans le registre de La Petite Maison dans la prairie, si Marine Le Pen n’est pas forcément la Laura Ingalls du palais Bourbon, Mathilde Panot semble en être la Nelly Oleson.
Jamais un mandat n’a été autant scruté par les observateurs et l’opinion publique.
Si vous vouliez avoir raison, vous n’aviez qu’à être d’extrême gauche.
Comme souvent, c’est du côté de la NUPES qu’il faut chercher les pires indignités…
Si l’affaire Panot permettait d’arrêter enfin l’instrumentalisation des « heures sombres », ce serait une bonne nouvelle. Pour la vérité historique. pour le respect des victimes et de leurs familles. Et pour le débat politique actuel.
Provocation ? Ces quelques mots prononcés par Mathilde Panot, élue LFI du Val-de-Marne et présidente du groupe extrémiste, ont suffi pour déclencher un mini-tollé politico-médiatique.
Il y a la gauche à l’ancienne de Fabien Roussel qui, ce mardi 28 juin, serre chaleureusement la louche de tous ses collègues, y compris ceux du Rassemblement national. Moins courtoise est cette extrême gauche incarnée par Mathilde Panot et Danièle Obono.
Ces champions de l’égalité ont la fâcheuse tendance à réduire les gens à leur production de mélanine ou à leur sexe.
Et qui est derrière tout ça ? Vous ne devinerez jamais. C’est l’extrême-droite.
La probabilité que le Parlement se constitue en Haute Cour pour juger Emmanuel Macron est très faible.
Retrouvez, chaque vendredi, les perles politiques de la semaine !
Les jours de La France insoumise sont comptés.
Où était-il, ce parangon de liberté d’expression, quand E. Zemmour et M. Le Pen étaient traînés devant les tribunaux ?
Après un vol de 8h45, Mathilde Panot et Manon Aubry ont atterri en Guadeloupe pour parler inflation.
Cette semaine, Mathilde Panot patine en géographie, l’Assemblée fait de la discrimination capillaire.
Cette semaine, Franck Ribéry rentre au gouvernement, la NUPES fait du camping et Macron défend les jeunes oisifs avec hardiesse et transgression ! Retrouvez, chaque
Mathilde Panot a le jour même, sur X, accusé « l’extrême droite » de « semer le chaos » en France.
Le problème, pour Mme Panot, c’est uniquement « my body my choice ».
Dédaignant la langue de Molière, la députée a, cette fois, emprunté à Shakespeare pour tweeter son dédain de la France.
Par ces temps de disette idéologique, il devenait urgent de dénicher un combat de dépannage.
Le Parisien, peu suspect d’avoir repris le fonds de commerce de Gringoire, faisait sa une, le 7 juin, sur « l’école face au défi de
Cette semaine, Mathilde Panot s’exerce à la brasse coulée, et autres pépites !
Cette semaine, pendant que la presse reçoit la bonne parole de l’Élysée, Sandrine Rousseau se fait théologienne et Louis Boyard, monarchiste !
Un Bardella peut dissimuler dans sa paume un quelconque poison violent, une aiguille, un oursin…
Dans le registre de La Petite Maison dans la prairie, si Marine Le Pen n’est pas forcément la Laura Ingalls du palais Bourbon, Mathilde Panot semble en être la Nelly Oleson.
Jamais un mandat n’a été autant scruté par les observateurs et l’opinion publique.
Si vous vouliez avoir raison, vous n’aviez qu’à être d’extrême gauche.
Comme souvent, c’est du côté de la NUPES qu’il faut chercher les pires indignités…
Si l’affaire Panot permettait d’arrêter enfin l’instrumentalisation des « heures sombres », ce serait une bonne nouvelle. Pour la vérité historique. pour le respect des victimes et de leurs familles. Et pour le débat politique actuel.
Provocation ? Ces quelques mots prononcés par Mathilde Panot, élue LFI du Val-de-Marne et présidente du groupe extrémiste, ont suffi pour déclencher un mini-tollé politico-médiatique.
Il y a la gauche à l’ancienne de Fabien Roussel qui, ce mardi 28 juin, serre chaleureusement la louche de tous ses collègues, y compris ceux du Rassemblement national. Moins courtoise est cette extrême gauche incarnée par Mathilde Panot et Danièle Obono.