Lilian Thuram
Comme souvent en la matière, le premier à monter au front est Liliam Thuram, l’un de nos champions tricolores, millésime 1998…
Désormais ambassadeur auto-bombardé, Lilian donne avis et conférences, écrit plein de livres et ne manque jamais une occasion de condamner tout acte raciste condamnable.
Ça va mieux, mais en plus mal. La pensée est complexe.
Dès qu’il pose ses lunettes sur son nez, Lilian devient puissant.
Là, notre champion du monde fait mine de redécouvrir le bidon de deux litres : les systèmes idéologiques, quels qu’ils soient, ont toujours été le fait des classes éduquées…
Le cas Lilian Thuram devient inquiétant : sa dérive racialiste ne trouve plus de limite.
Chères chapelles antiracistes dont Alain Finkielkraut disséquait certaines modalités : « Avec SOS Baleines, il faut sauver les baleines. Avec SOS Racisme, il s’agit de sauver le racisme. »
Il n’a pas le droit d’utiliser son statut de prescripteur pour influencer négativement des populations.
D’aucuns diront que, pour donner des leçons, il faut soi-même donner l’exemple.
Malheur à celui qui évoquerait les sujets qui fâchent, tels les Barbaresques !
Quand un « camp d’été décolonial » interdit aux Blancs est organisé sur le territoire français, l’ancien joueur ne s’insurge pas.
Comme souvent en la matière, le premier à monter au front est Liliam Thuram, l’un de nos champions tricolores, millésime 1998…
Désormais ambassadeur auto-bombardé, Lilian donne avis et conférences, écrit plein de livres et ne manque jamais une occasion de condamner tout acte raciste condamnable.
Ça va mieux, mais en plus mal. La pensée est complexe.
Dès qu’il pose ses lunettes sur son nez, Lilian devient puissant.
Là, notre champion du monde fait mine de redécouvrir le bidon de deux litres : les systèmes idéologiques, quels qu’ils soient, ont toujours été le fait des classes éduquées…
Le cas Lilian Thuram devient inquiétant : sa dérive racialiste ne trouve plus de limite.
Chères chapelles antiracistes dont Alain Finkielkraut disséquait certaines modalités : « Avec SOS Baleines, il faut sauver les baleines. Avec SOS Racisme, il s’agit de sauver le racisme. »
Il n’a pas le droit d’utiliser son statut de prescripteur pour influencer négativement des populations.
D’aucuns diront que, pour donner des leçons, il faut soi-même donner l’exemple.
Malheur à celui qui évoquerait les sujets qui fâchent, tels les Barbaresques !
Quand un « camp d’été décolonial » interdit aux Blancs est organisé sur le territoire français, l’ancien joueur ne s’insurge pas.
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