Hongrie
Les bus de migrants à destination de Bruxelles sont prêts, selon Bence Rétvári, secrétaire d’État de Hongrie.
La Hongrie est sommée par l’UE de payer une amende de 200 millions d’€ pour avoir lutté contre l’immigration illégale.
L’affabilité de la présidente équilibrait à la tête de l’État la pugnacité du Premier ministre…
« Nous, les Hongrois, sommes la consciences et la voix de nombreux citoyens européens »
La guerre en Ukraine peut d’ailleurs être considérée comme l’une des premières « guerres démographiques ».
Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années.
Il est reproché à la Justice hongroise d’être trop proche du pouvoir politique en place. Il est un fait que ce n’est pas en France qu’on assisterait à de telles dérives…
C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.
Ces remontrances aussi infondées que vertueuses révèlent également l’air « woke » du temps qui fait prévaloir l’accessoire sur l’essentiel et inverse les priorités au point de se soucier de tout sauf des problèmes réels. Y compris l’inquiétude des juifs pour leur propre sécurité.
Est-ce que cette alliance allant des socialistes à l’extrême droite pourrait permettre de déboulonner Orbán ?
Cette politique nataliste s’explique par le refus de Viktor Orbán de recourir à l’immigration économique pour compenser le déficit démographique.
Lors de sa visite à la Maison-Blanche, le Premier ministre Orbán s’est fait qualifier par Donald Trump de « controversé », ajoutant : « comme moi-même ! »
« Personne n’a de leçons à vous donner. Quand on a des frontières, on doit les défendre. »
L’avantage de la légitimité démocratique, c’est aussi qu’elle peut éventuellement permettre de mettre en œuvre une véritable politique alternative, loin des cénacles technocratiques.
Viktor Orbán entend répondre au problème de la baisse de la natalité que rencontre chaque pays de l’Union européenne
Les manifestants, essentiellement des militants, des activistes de la « société civile » liée à George Soros, des étudiants, sont d’éminents représentants de la bourgeoisie cosmopolite de centre-ville.
Il y a un énorme fossé entre la volonté des peuples et ce que nous voyons de la part des soi-disant élites de gauche en Europe de l’Ouest.
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
…la finalité est bien évidemment politique et a pour but d’opposer une critique libérale au projet illibéral exprimé à maintes reprises par Orbán.
Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.
À l’occasion du dîner-débat « Pour une autre Europe » organisé par le mouvement La Droite libre le 19 juin prochain, en présence de l’ambassadeur de Hongrie
Viktor Orbán assume parfaitement ses choix ; selon lui, seul le modèle chrétien protège l’individu, la famille, la nation.
70 % des électeurs ont voté, et 70 % de ceux-ci ont choisi la droite ou l’extrême droite.
Et si le changement venait d’un petit pays au coeur de l’Europe ? Qui plus est, au sein de l’Union européenne ?
En France, Emmanuel Macron et son gouvernement ne se réfèrent au peuple que pour cautionner leur politique…
Dans son message de Noël, Viktor Orbán a résumé ce que nombre d’Européens, conscients de la menace qui pèse sur leur identité, pensent.
Cette jeunesse consciente des grands enjeux de notre siècle est un formidable espoir en comparaison avec nos 18-44 ans français.
Les bus de migrants à destination de Bruxelles sont prêts, selon Bence Rétvári, secrétaire d’État de Hongrie.
La Hongrie est sommée par l’UE de payer une amende de 200 millions d’€ pour avoir lutté contre l’immigration illégale.
L’affabilité de la présidente équilibrait à la tête de l’État la pugnacité du Premier ministre…
« Nous, les Hongrois, sommes la consciences et la voix de nombreux citoyens européens »
La guerre en Ukraine peut d’ailleurs être considérée comme l’une des premières « guerres démographiques ».
Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années.
Il est reproché à la Justice hongroise d’être trop proche du pouvoir politique en place. Il est un fait que ce n’est pas en France qu’on assisterait à de telles dérives…
C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.
Ces remontrances aussi infondées que vertueuses révèlent également l’air « woke » du temps qui fait prévaloir l’accessoire sur l’essentiel et inverse les priorités au point de se soucier de tout sauf des problèmes réels. Y compris l’inquiétude des juifs pour leur propre sécurité.
Est-ce que cette alliance allant des socialistes à l’extrême droite pourrait permettre de déboulonner Orbán ?
Cette politique nataliste s’explique par le refus de Viktor Orbán de recourir à l’immigration économique pour compenser le déficit démographique.
Lors de sa visite à la Maison-Blanche, le Premier ministre Orbán s’est fait qualifier par Donald Trump de « controversé », ajoutant : « comme moi-même ! »
« Personne n’a de leçons à vous donner. Quand on a des frontières, on doit les défendre. »
L’avantage de la légitimité démocratique, c’est aussi qu’elle peut éventuellement permettre de mettre en œuvre une véritable politique alternative, loin des cénacles technocratiques.
Viktor Orbán entend répondre au problème de la baisse de la natalité que rencontre chaque pays de l’Union européenne
Les manifestants, essentiellement des militants, des activistes de la « société civile » liée à George Soros, des étudiants, sont d’éminents représentants de la bourgeoisie cosmopolite de centre-ville.
Il y a un énorme fossé entre la volonté des peuples et ce que nous voyons de la part des soi-disant élites de gauche en Europe de l’Ouest.
Le petit bonhomme est là, face à eux, David contre Goliath, avec toute sa gestuelle bourrue et maladroite de ressortissant de l’Europe périphérique.
…la finalité est bien évidemment politique et a pour but d’opposer une critique libérale au projet illibéral exprimé à maintes reprises par Orbán.
Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.
À l’occasion du dîner-débat « Pour une autre Europe » organisé par le mouvement La Droite libre le 19 juin prochain, en présence de l’ambassadeur de Hongrie
Viktor Orbán assume parfaitement ses choix ; selon lui, seul le modèle chrétien protège l’individu, la famille, la nation.
70 % des électeurs ont voté, et 70 % de ceux-ci ont choisi la droite ou l’extrême droite.
Et si le changement venait d’un petit pays au coeur de l’Europe ? Qui plus est, au sein de l’Union européenne ?
En France, Emmanuel Macron et son gouvernement ne se réfèrent au peuple que pour cautionner leur politique…
Dans son message de Noël, Viktor Orbán a résumé ce que nombre d’Européens, conscients de la menace qui pèse sur leur identité, pensent.
Cette jeunesse consciente des grands enjeux de notre siècle est un formidable espoir en comparaison avec nos 18-44 ans français.