ENA
L’Elysée doit signer d’ici le 20 novembre son décret de nomination qui fera de Mathias Vicherat le nouveau directeur de
Le comportement du Président est incompréhensible. À moins de se dire qu’il sait déjà que, de gré ou de force, il ne fera pas un second mandat.
Ouf, tout d’abord : la suppression de l’ENA n’aura pas d’effets rétroactifs. On est rassuré, nos chers ministres énarques ne devront pas se faire hara-kiri et resteront bien en place.
La décision de supprimer l’ENA est bien une décision typique… d’énarque.
Emmanuel Macron a annoncé, le 8 avril, la suppression de l’ENA (École nationale d’administration), symbole de l’élite française, dans le but de diversifier les profils
Cette mesure intervient en pleine crise des dîners clandestins. Il avait fait la même annonce le 25 avril 2019, en pleine crise des gilets jaunes.
Après avoir reçu officiellement, le 18 février, le rapport de Frédéric Thiriez sur la haute fonction publique, demandé par Emmanuel Macron, Édouard Philippe et le
Emmanuel Macron l’a décidé : il faut donc obtempérer.
L’Elysée doit signer d’ici le 20 novembre son décret de nomination qui fera de Mathias Vicherat le nouveau directeur de
Le comportement du Président est incompréhensible. À moins de se dire qu’il sait déjà que, de gré ou de force, il ne fera pas un second mandat.
Ouf, tout d’abord : la suppression de l’ENA n’aura pas d’effets rétroactifs. On est rassuré, nos chers ministres énarques ne devront pas se faire hara-kiri et resteront bien en place.
La décision de supprimer l’ENA est bien une décision typique… d’énarque.
Emmanuel Macron a annoncé, le 8 avril, la suppression de l’ENA (École nationale d’administration), symbole de l’élite française, dans le but de diversifier les profils
Cette mesure intervient en pleine crise des dîners clandestins. Il avait fait la même annonce le 25 avril 2019, en pleine crise des gilets jaunes.
Après avoir reçu officiellement, le 18 février, le rapport de Frédéric Thiriez sur la haute fonction publique, demandé par Emmanuel Macron, Édouard Philippe et le
Emmanuel Macron l’a décidé : il faut donc obtempérer.