Cuba
Le 8 juin dernier, le Wall Street Journal a révélé l’existence d’un « accord secret » conclu entre Pékin et La Havane
Ce « communisme » est avant tout une réaction identitaire face à un voisin des plus intrusifs, remontant à cette guerre « d’indépendance » de 1868 ayant arraché l’île en question à la couronne espagnole.
Ce n’est que le 8 janvier que Fidel Castro arrive à La Havane sous les vivats.
Un opposant à Cuba est exclu de son travail, qu’il soit gouvernemental ou privé, il est quotidiennement harcelé, malmené et même menacé de mort…
Selon le tribun du peuple, c’est pour sa médecine que Cuba serait le plus admirable…
Le 22 juillet 2012 disparaissait, dans un « accident », le dissident cubain Oswaldo Payá Sardiñas. Prix Sakharov 2002, il était surnommé le « Lech Wałęsa cubain ». Alors
Des générations de bobos occidentaux s’en sont pâmés d’aise, vêtus d’un t-shirt à l’effigie du Che et en sirotant des « Cuba Libre ».
Depuis soixante ans, il existe une exception cubaine. Un peu comme le village d’Astérix, celui de La Havane résiste au puissant voisin états-unien.
Pour la première fois depuis 1959, le nouveau président n’est ni un membre de la dynastie Castro ni une figure historique de la révolution cubaine.
Le 8 juin dernier, le Wall Street Journal a révélé l’existence d’un « accord secret » conclu entre Pékin et La Havane
Ce « communisme » est avant tout une réaction identitaire face à un voisin des plus intrusifs, remontant à cette guerre « d’indépendance » de 1868 ayant arraché l’île en question à la couronne espagnole.
Ce n’est que le 8 janvier que Fidel Castro arrive à La Havane sous les vivats.
Un opposant à Cuba est exclu de son travail, qu’il soit gouvernemental ou privé, il est quotidiennement harcelé, malmené et même menacé de mort…
Selon le tribun du peuple, c’est pour sa médecine que Cuba serait le plus admirable…
Le 22 juillet 2012 disparaissait, dans un « accident », le dissident cubain Oswaldo Payá Sardiñas. Prix Sakharov 2002, il était surnommé le « Lech Wałęsa cubain ». Alors
Des générations de bobos occidentaux s’en sont pâmés d’aise, vêtus d’un t-shirt à l’effigie du Che et en sirotant des « Cuba Libre ».
Depuis soixante ans, il existe une exception cubaine. Un peu comme le village d’Astérix, celui de La Havane résiste au puissant voisin états-unien.
Pour la première fois depuis 1959, le nouveau président n’est ni un membre de la dynastie Castro ni une figure historique de la révolution cubaine.