Commission européenne
Ce ne sont pas les promesses de rasage gratis des uns et des autres qui vont changer la donne.
Le but est clair : imposer un État européen unique à la place des nations européennes.
La lutte contre l’islamophobie est devenue une spécialité de la Commission européenne.
Une fois encore, l’oligarchie mondialisée veut imposer ses vues à des peuples qui ne les partagent pas.
Vu de l’intérieur, ces missions électorales permettent à la Commission européenne de déployer son agenda idéologique.
Le temps où « labourage et pâturage étaient les deux mamelles de la France » semble bien lointain ; si ce n’est révolu
Le tout est, bien sûr, financé ou cofinancé par la Commission européenne.
L’hyper réglementation est caractéristique de la politique dite « climatique » dont les effets retombent jusqu’aux communautés de communes.
Si des graves dysfonctionnements étaient avérés, la perspective d’un « Pfizergate » pourrait faire vaciller un peu plus l’institution européenne.
Pour Philippe Charlez, donc, on ne peut rien faire. Or, la France doit sortir d’urgence de ce système de tarification européen insensé pour elle.
« La construction européenne est purement idéologique. (…) Cette idéologie a construit le cadre d’une dictature qui musèle ses oppositions et brime les peuples. »
On l’a compris, la nouvelle religion écologique est super-pratique pour justifier tout et n’importe quoi.
Étant par leur position géographique les pays d’entrée dans l’Union européenne de tous les migrants qui empruntent le couloir de la Méditerranée centrale, ils s’insurgent contre l’attitude velléitaire de l’UE.
S’ils veulent éviter de nouveaux assassinats et infractions de toute nature, les États doivent retrouver au plus vite la pleine maîtrise et le contrôle de leurs frontières.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Depuis l’origine, même avant la gifle de 2005, l’Europe déploie ainsi avec la démocratie les rapports charmants d’un violeur avec sa victime.
La France et l’Italie ne se contentent pas de se coucher devant les institutions de Bruxelles, il faut aussi qu’elles organisent leur propre impuissance.
C’est donc une attaque en règle contre la souveraineté des États que l’Union européenne déploie en pleine touffeur estivale, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron.
Ce qui était présenté jusqu’à hier comme un plan du gouvernement français pour anticiper une crise énergétique provoquée par une action diplomatique des plus hasardeuses ressort en réalité du plan de la Commission européenne présenté le 20 juillet à Bruxelles.
Cet abandon, sous couvert d’efficacité, cache en réalité le rêve de la présidente de la Commission, des technocrates bruxellois et du Président Emmanuel Macron d’imposer aux peuples une Europe fédérale dans laquelle, petit à petit, seraient dissoutes les nations.
Un hiatus idéologique dérange l’institution. Les femmes ukrainiennes accueillies dans ces pays conservateurs pourraient courir un autre grave danger : celui de ne pas pouvoir avorter.
La France fait preuve d’une étrange soumission à la machinerie bruxelloise.
Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.
Ce ne sont pas les promesses de rasage gratis des uns et des autres qui vont changer la donne.
Le but est clair : imposer un État européen unique à la place des nations européennes.
La lutte contre l’islamophobie est devenue une spécialité de la Commission européenne.
Une fois encore, l’oligarchie mondialisée veut imposer ses vues à des peuples qui ne les partagent pas.
Vu de l’intérieur, ces missions électorales permettent à la Commission européenne de déployer son agenda idéologique.
Le temps où « labourage et pâturage étaient les deux mamelles de la France » semble bien lointain ; si ce n’est révolu
Le tout est, bien sûr, financé ou cofinancé par la Commission européenne.
L’hyper réglementation est caractéristique de la politique dite « climatique » dont les effets retombent jusqu’aux communautés de communes.
Si des graves dysfonctionnements étaient avérés, la perspective d’un « Pfizergate » pourrait faire vaciller un peu plus l’institution européenne.
Pour Philippe Charlez, donc, on ne peut rien faire. Or, la France doit sortir d’urgence de ce système de tarification européen insensé pour elle.
« La construction européenne est purement idéologique. (…) Cette idéologie a construit le cadre d’une dictature qui musèle ses oppositions et brime les peuples. »
On l’a compris, la nouvelle religion écologique est super-pratique pour justifier tout et n’importe quoi.
Étant par leur position géographique les pays d’entrée dans l’Union européenne de tous les migrants qui empruntent le couloir de la Méditerranée centrale, ils s’insurgent contre l’attitude velléitaire de l’UE.
S’ils veulent éviter de nouveaux assassinats et infractions de toute nature, les États doivent retrouver au plus vite la pleine maîtrise et le contrôle de leurs frontières.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Depuis l’origine, même avant la gifle de 2005, l’Europe déploie ainsi avec la démocratie les rapports charmants d’un violeur avec sa victime.
La France et l’Italie ne se contentent pas de se coucher devant les institutions de Bruxelles, il faut aussi qu’elles organisent leur propre impuissance.
C’est donc une attaque en règle contre la souveraineté des États que l’Union européenne déploie en pleine touffeur estivale, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron.
Ce qui était présenté jusqu’à hier comme un plan du gouvernement français pour anticiper une crise énergétique provoquée par une action diplomatique des plus hasardeuses ressort en réalité du plan de la Commission européenne présenté le 20 juillet à Bruxelles.
Cet abandon, sous couvert d’efficacité, cache en réalité le rêve de la présidente de la Commission, des technocrates bruxellois et du Président Emmanuel Macron d’imposer aux peuples une Europe fédérale dans laquelle, petit à petit, seraient dissoutes les nations.
Un hiatus idéologique dérange l’institution. Les femmes ukrainiennes accueillies dans ces pays conservateurs pourraient courir un autre grave danger : celui de ne pas pouvoir avorter.
La France fait preuve d’une étrange soumission à la machinerie bruxelloise.
Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.