Christophe Barbier
Des paroles de bon sens qui, dans la bouche de Marine Le Pen ou d’Éric Zemmour, seraient considérées comme discriminatoires…
Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?
L’histrionisme a ses contraintes, que voulez-vous. Alors, il en fait des tonnes.
Après avoir embrassé femme et enfants, le héros partira cheveux au vent vers son cabinet médical.
Nous ne sommes peut-être pas à la moitié du tunnel que, déjà, on promet, non pas des lendemains qui chantent, mais du sang et des larmes.
Il est quand même extraordinaire qu’un pouvoir qui se voulait transparent, ennemi juré des « fake news », soit pris la main dans le sac d’en avoir lancé une.
Mais Christophe Barbier n’est pas homme à se défiler devant les enjeux : le moment est venu de parler de la question migratoire !
À « C dans l’air », on discutait des sujets sociétaux. Un concile était réuni pour l’occasion.
Au fond, il n’est peut-être pas à quelques retraités près, le gouvernement !
On a quand même fait de sacrés progrès dans la façon de cirer les pompes des grands de ce monde depuis qu’on imprime du papier.
Cet homme est l’essence même de ces journaleux que les Français détestent.
Des paroles de bon sens qui, dans la bouche de Marine Le Pen ou d’Éric Zemmour, seraient considérées comme discriminatoires…
Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?
L’histrionisme a ses contraintes, que voulez-vous. Alors, il en fait des tonnes.
Après avoir embrassé femme et enfants, le héros partira cheveux au vent vers son cabinet médical.
Nous ne sommes peut-être pas à la moitié du tunnel que, déjà, on promet, non pas des lendemains qui chantent, mais du sang et des larmes.
Il est quand même extraordinaire qu’un pouvoir qui se voulait transparent, ennemi juré des « fake news », soit pris la main dans le sac d’en avoir lancé une.
Mais Christophe Barbier n’est pas homme à se défiler devant les enjeux : le moment est venu de parler de la question migratoire !
À « C dans l’air », on discutait des sujets sociétaux. Un concile était réuni pour l’occasion.
Au fond, il n’est peut-être pas à quelques retraités près, le gouvernement !
On a quand même fait de sacrés progrès dans la façon de cirer les pompes des grands de ce monde depuis qu’on imprime du papier.
Cet homme est l’essence même de ces journaleux que les Français détestent.