S. Mabrouk ou B. de La Villardière participent à la relance de l’ESJ Paris
« La doyenne mondiale des écoles de journalisme va trouver une seconde jeunesse, 125 ans après sa naissance et à un moment crucial de notre vie en société, où l’infobésité abîme le débat public », a déclaré, dans un communiqué, Emmanuel Ostian, nouveau directeur de l’École supérieure de journalisme (ESJ Paris). Après l'annonce, il y a trois semaines, de la reprise de l'ESJ, ce communiqué révèle les noms de quelques personnalités qui participeront à l'aventure. On trouvera, par exemple, dans l’équipe dirigeante - sous l’autorité de M. Ostian -, Bernard de La Villardière, journaliste, présentateur sur M6 et producteur, et Alexandre Pesey, directeur de l'Institut de formation politique (IFP), nommé directeur adjoint en charge du développement de l'ESJ Paris.
Bernard de La Villardière présidera le conseil pédagogique où siègeront Sonia Mabrouk (CNews), Olivier Babeau (économiste, Institut Sapiens), Rémi Brague (professeur émérite de philosophie à Paris et Munich), Jérôme Béglé (Paris Match), Donat Vidal-Revel (Europe 1) ou encore l'académicien François d’Orcival… « Je suis heureux de pouvoir contribuer à former les journalistes de demain en leur transmettant la curiosité, le courage et l’ouverture d’esprit nécessaires à ce métier dans un monde de plus en plus fracturé », a déclaré, à cette occasion, Bernard de La Villardière.
Thématiques :
ESJ ParisPour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées
16 commentaires
Je pense qu’ils ne sont pas arrivés au bout de leur peine !!! bon courage
Excellente nouvelle! Souhaitons bonne chance aux responsables de la nouvelle ESJ de Paris, ils en auront besoin! Le tir de barrage du ban et de l’arrière-ban de la gauche va être dense!
Quand on sait que la quasi totalité des écoles de journalisme penche fortement à gauche, voire à l’extrême gauche, on ne peut que se réjouir et applaudir cette initiative. Mais la société actuelle, radicalisée jusqu’à l’hystérie, est-elle prête à cette mutation ? L’avenir le dire, mais on ne peut que l’espérer.
Grace à cela, L’humanité, Libération, mediapart et bien d’autres pourront embaucher de véritable journaliste ;)
Excellente initiative, il est urgent que les journalistes soient formés à l’objectivité mais il faudra veiller à ce que l’État dont l’efficacité n’est hélas plus à démontrer ne déploie pas ses moyens pour torpiller cette initiative.
Bonne initiative mais la désinformation est mère de troubles sociaux car la confiance n’est plus requise face à l’information même les scientifiques n’arrivent pas a convaincre la pandémie covid 19 que nous avons vécu en est le parfait exemple ainsi que la guerre d’Ukraine. Le mensonge des politiques relaté par des médias est une catastrophe cela dessert les intimes convictions surtout par une population qui n’a pas de réflexion face aux événements et surtout pas de pragmatisme . Je regarde TF1 le soir mais cela devient fatiguant m’a principale information reste Cnews et BV quant à l’analyse de l’événement. Merci aux personnes intègres
Avec une telle brochette de (vrais) journalistes intègres, l’ESJ va retrouver des lettres de noblesse. Excit le wokisme et les fakes news et le gauchisme distillés, par exemple dans les différentes Sciences PO (de ….) de l’hexagone !!
Armel Joubert des Ouches mériterait surement de participer à cette entreprise tellement son regard est clair !
C’est très bien. Bravo.
C’est bien peut être mais il ne faut pas oublier les patrons de presse qui emploieront ces têtes nouvelles. L’obligations d’être dans l’air politique du moment ety les subventions d’état viendront vite polluer et déformer les meilleurs intentions. L’enfer est pavé de bonnes intentions….!
Enfin une école de vrais journalistes
Peut-être une opportunité pour fabriquer des journalistes qui ne soient pas gauchiste !!!
Oui
Bernard de La Villardière avoue avoir « fait partie de ces journalistes » qui cachait les prénoms dans les faits divers pour ne pas « donner des arguments au FN »
Je confirme ! J’ai fait partie de ces journalistes dans les années 90 au motif que les prénoms ce n’était pas signifiant et qu’il ne fallIait pas donner des arguments au FN. Erreur ! Comme le dit Renaud Dély :”En ne les donnant pas, on l’alimente”. C’est valable pour hier et aujourd’hui
Au moins Mr De La Villardiere fait preuve d’honnêteté,et c’est une bonne chose qu’une école de journalisme soit à l’opposé de celles qui nous « informent » aujourd’hui.
Très exacte.
Ne pas nommer laisse questions en suspenses qui finissent par donner de « mauvaises » pensées.
On a toujours besoins de mettre une réponse face a une question.