Trop habitués au canapé et à Netflix, les citadins oublient que les habitants des campagnes travaillent.
Lire la suite »Un sujet est absent du débat, que beaucoup d’internautes attendaient, notamment au moment où Emmanuel Macron parlait des emprunts de Marine Le Pen auprès d’une banque russe, c’est l’affaire McKinsey.
Lire la suite »Wikipédia propose un savoir universel à travers une organisation pyramidale et sous contrôle pour un site qu'on pourrait croire à tort un lieu de débat et d'échanges constructifs.
Lire la suite »Avec le trio Castex-Véran-Macron, nous sommes retournés avant la nuit du 4 août 1789 : l’état de vaccination, comme alors la naissance, détermine deux types de citoyens, avec des droits différents : le piqué et le non-piqué.
Lire la suite »Il y a le niveau de langage incompatible avec la fonction ; il y a le mépris et l’arrogance, des marqueurs de ce mandat ; il y a l’atteinte au devoir constitutionnel de maintenir l’unité de la nation.
Lire la suite »Un miracle, en somme, le mot n’est pas trop fort. Où Vidal passe, l’islamo-gauchisme trépasse. Il n’y a qu’à demander.
Lire la suite »Alors que les chasseurs étaient nombreux à manifester, samedi dernier, la chasse à courre est une tradition culturelle qui a particulièrement mauvaise presse au point d'être menacée de disparition. Pour mieux comprendre, Boulevard Voltaire a interrogé Olivier de La Bouillerie, véritable légende du monde de la vénerie.
Lire la suite »« Rattrapé, menacé d’être distancé, Mélenchon va tenter de s’appuyer sur la dynamique de son adversaire pour se placer au centre du jeu. »
Lire la suite »Le maire de Béziers soutient la décision d'Emmanuel Macron sur les vaccins, seule apte à sortir la population de la crise sanitaire. Il réagit au micro de Boulevard Voltaire. Qu’avez-vous pensé du discours du chef de l’État ? Le Président a raison concernant la lutte contre la pandémie. Je combats politiquement Emmanuel Macron, mais quand il a raison, il a raison. Aujourd’hui, il n’y a pas d’autres solutions que celle de se faire vacciner pour lutter contre le Covid-19. Je n’ai pas envie de passer ma vie avec un masque sur le visage et me demander, toutes les semaines, comment cette histoire va évoluer. J’applaudis à ce qu’il a dit, mais pour le reste, je ne suis pas d’accord. Pour l’instant, la voie qu’il nous montre n’est pas agréable et elle est compliquée, mais c’est la seule. Certains ministres et la présidente de la commission des lois nous affirmaient, il y a deux semaines, qu’il n’y aurait jamais de pass sanitaire. Il y a eu une succession de paroles reniées. Est-ce cela, que les Français n’acceptent pas ? Vous avez raison. Si c’est pour me dire que M. Macron a fait un certain nombre de déclarations intempestives, il n’y…
Lire la suite »L’ennemi n’est pas désigné, la loi est ainsi privée de son objet premier.
Lire la suite »En incarnant la nation, le monarque garantit son unité par-delà toutes les factions.
Lire la suite »Malgré des apparences parfois trompeuses et un style pour le moins particulier, Donald Trump sait faire de la politique…
Lire la suite »L'objectif de StopCovid n'est pas de lutter contre le virus mais d'enfermer dans une liberté surveillée et d'anticiper un fichage total.
Lire la suite »L'application StopCovid mise en place par le gouvernement est en passe d'être légalisée par l'Assemblée nationale. Quelles conséquences sur le citoyens ? Y a-t-il une alternative ? Réaction de Joachim Son-Forget, député, au micro de Boulevard Voltaire. L'occasion d'évoquer avec lui l'opportunité de la loi Avia votée il y a quelques jours. L’Assemblée va voter pour se prononcer sur la mise en place de l’application Stop-Covid qui est censée tracer les malades du Covid. Êtes-vous favorable à cette application ? J’étais favorable à cette application dans le temps ascendant de la crise, lorsqu’il y avait des malades. Aujourd’hui, il n’y a plus de malades. Il n’y a donc pas de raison de tracer les gens. On est à contretemps. Il eut fallu que cette application soit existante, dans un moment donné très court. Cette situation n’est pas du tout confortable. L’application n’a plus d’intérêt et plus de but, si ce n’est d’atteindre les libertés individuelles. Cette application pose un sérieux problème de liberté individuelle. Pour certains, c’est le début de la société d’Orwell, c’est le traçage et le fichage des citoyens. En tant que parlementaire, ces dérives vous inquiètent-elles ? Je suis très inquiet sur l’application d’une telle méthode en France.…
Lire la suite »Simple cafouillage d’une bande d’amateurs portés au pouvoir ? « Leurre de communication » qui viserait à créer une diversion ? Ballon d’essai jeté pour évaluer l’opportunité d’être éventuellement plus audacieux ?
Lire la suite »Après la départ de Chantal Jouanno, Jean-Paul Delevoye est pressenti pour prendre la tête de l'organisation du grand débat national. Pour la Manif pour tous, qui s'est vu refuser abusivement sa pétition de 700.000 signataires quand monsieur Delevoye était président du CESE, il s'agit d'un signal très négatif... Sa présidente, Ludovine de La Rochère, réagit au micro de Boulevard Voltaire. Suite au retrait de Chantal Jouanno du grand débat, plusieurs voix dans le gouvernement souhaitent que Jean-Paul Delevoye conduise le débat. La Manif Pour Tous le connaît bien. Il a refusé sa pétition lorsqu’il était au Conseil économique, social et environnemental (CESE). Comment accueillez-vous cette possibilité ? Je l’accueille de manière très négative. À l’époque, 850 000 personnes avaient signé notre pétition pour le projet de loi. Le fait que monsieur Delevoye ait, à l’époque, piétiné et jeté à la poubelle cette pétition a marqué un très grand nombre de personnes. Au-delà de tous ces signataires, cela a été un déni de démocratie majeur qui a laissé des traces profondes. Ce n’est pas forcément un très bon signal envoyé si monsieur Delevoye prenait la tête de ce débat… Effectivement, ce serait un signal extrêmement négatif. Il faut savoir que cette pétition avait…
Lire la suite »M. Macron souhaitait réformer la Constitution au profit de l'exécutif présidentiel et au détriment du Parlement. L'affaire Benalla montre que cette intention est un contresens dangereux.
Lire la suite »Nous aurons donc, si cette réforme est adoptée, un Président irresponsable devant le Parlement qui débattra avec les parlementaires, le Premier ministre, lui responsable, relégué au banc de touche. Va comprendre, Charles !
Lire la suite »Le tribunal de première instance a annulé l'interdiction du burkini qui avait été appliquée dans deux piscines.
Lire la suite »Traduction : cher Donald, si tu ne rentres pas dans le rang, on va arrêter « tes proches » et tu n’auras que les yeux pour pleurer.
Lire la suite »Tout ce qui n’est pas politiquement correct devient nazi et tout ce qui est un peu plus autoritaire est fascisant.
Lire la suite »En tout cas, il est clair qu'il a changé de braquet et de registre.
Lire la suite »Emmanuel Macron s'est exprimé devant le Parlement réuni en Congrès à Versailles, ce 9 juillet. À l'issue du discours du président de la République, le député Rassemblement national du Nord Sébastien Chenu réagit pour Boulevard Voltaire. Vous avez écouté le président de la République au Congrès de Versailles. Que retenez-vous de ce deuxième discours du Président aux parlementaires? Je retiens tout d’abord que le Président est content de lui, de sa politique, de sa personne et de sa majorité. Il est bien sourd de ce qui se passe dans le pays. Pour autant, même s’il est content de lui, il a tout de même reconnu à mots couverts, dès le début de son allocution, qu’il était en échec sur le chômage, le pouvoir d’achat et l’insécurité. Il n’y a, néanmoins, pas eu que des longueurs et des enfoncements de portes ouvertes. J’ai tout de même retenu quelques propos intéressants. Emmanuel Macron a parlé de l’élection présidentielle de l’année dernière en rappelant que nous étions ses adversaires. Il a également confirmé que nous serions à nouveau ses adversaires aux élections européennes à venir. Il a donc lui-même installé le combat entre militants de la nation et militant de l’Europe supranationale dont…
Lire la suite »La France a vu les drapeaux aux couleurs de l'inter-LGBT flotter sur l'Assemblée nationale. Juridiquement, peut-on afficher des couleurs d'une communauté autre que la nation sur ce fronton ? Ramu de Bellescize, maître de conférences à l'université de Rouen, répond au micro de Boulevard Voltaire. Les couleurs LGBT ont flotté sur l’Assemblée nationale. Que peut-on en dire juridiquement ? L’Assemblée nationale représente la souveraineté nationale et le peuple. C’est un des grands mythes républicains qui dure depuis la Révolution française et qui perdure aujourd’hui, espérons-le. Je crois qu’il n’y a aucun fondement juridique à cette initiative. La constitution prévoit que les députés de l’Assemblée nationale représentent le peuple, les citoyens, la France entière. Elle prévoit également un certain nombre de divisions de ses députés entre majorité, opposition et partis politiques, mais elle ne prévoit aucune division sur le fondement des orientations sexuelles. Ce drapeau n’a aucune légitimité juridique à flotter ainsi sur l’Assemblée. Il représente quelque chose qui n’existe pas dans la doctrine politique telle qu’elle résulte de la constitution de 1958. Ce drapeau LGBT sera-t-il un jour accepté comme a pu l’être le drapeau européen ? Dans les deux cas, il y a un mélange des genres. On affiche devant l’Assemblée…
Lire la suite »Dire que celui qui ressemble en tous points à un homme est un homme est tout de même très inconvenant.
Lire la suite »Ruquier a été pitoyable tant il a été évident qu’il n’était pas là pour modérer le débat mais seulement pour rire avec ses hyènes de service.
Lire la suite »Cela dit, si ces fermetures de maternités de la France périphérique, faute de médecins et de bébés, pouvaient inviter les Français à réfléchir sur « l'hiver démographique » qui les attend...
Lire la suite »À quand une loi pour définir la critique de l'immigration comme un délit ?
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