Les films de BV

Libération, L’Obs, Le Parisien, La Croix, Télérama, Première, Les Inrocks ou Les Cahiers du cinéma ont détesté !

Pensé comme un genre de thriller psychologique, « Le Jeu de la reine » est un véritable film de survie.

Avec subtilité et sympathie, le film décrit le phénomène des bandes de motards dans toute sa complexité.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, L’Affaire Vinča Curie, de Dragan

Le film se concentre sur ces intellectuels qui faisaient la pluie et le beau temps dans la presse française.

Le film porte une leçon qui surprendra, à l’heure de l’individualisme : la résilience passe par le prochain.

Un film à suspense de bonne facture, si on fait abstraction de sa dimension idéologique.

Le réalisateur met l’accent sur le caractère fugace des choses de l’existence, aggravé par « le grain de sable » inattendu

Les employés d’une agence publicitaire cherchent désespérément un moyen de retrouver le cours normal de leur vie.

Cheyenne Carron a voulu réalisé un film « qui parle de bonté et d’espérance » – à l’image du père Hamel.

Inspiré d’une histoire vraie du début des années 2000, « Le Tableau volé » explore les coulisses du marché de l’art.

Pas inoubliable, ce film garantira néanmoins une agréable sortie cinéma pour le weekend.

Mise en scène de José Bové déterminé à prouver l’innocence d’un homme injustement accusé de corruption.

Le scénario est un peu scolaire, mais Noée Abita et Alexis Neises sont pleinement investis dans leurs rôles.

Le récit d’Alex Garland ne s’appuie sur aucune réalité électorale ni sociologique tangible.

Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.

Stéphane Demoustier est totalement passé à côté de son sujet.

Le réalisateur fait l’état des lieux – déplorable – de nos écoles laïques occidentales soumises à la pression de l’islam

Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité

Les mêmes comportements ont pu être observés, à l’époque, dans l’affaire Samuel Paty.

Sur le plateau de Quotidien, la journaliste Ambre Chalumeau déroule la pelote queer jusqu’au bout.

Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.

Bénéficiant d’un casting solide et d’une bande originale entraînante, ce film ravira pour la beauté de ses paysages

Ce film est une réussite totale.

Le réalisateur parvient brillamment à communiquer au spectateur l’énergie et la passion du jazz.

Dans le rôle du célèbre compositeur, Raphaël Personnaz, valeur sûre du cinéma hexagonal, s’est beaucoup investi.

Il serait dommage de passer à côté de ce film.

Le film nous montre comment Winton parvint à mobiliser l’État britannique et à lever des fonds pour mener son projet.

Libération, L’Obs, Le Parisien, La Croix, Télérama, Première, Les Inrocks ou Les Cahiers du cinéma ont détesté !

Pensé comme un genre de thriller psychologique, « Le Jeu de la reine » est un véritable film de survie.

Avec subtilité et sympathie, le film décrit le phénomène des bandes de motards dans toute sa complexité.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, L’Affaire Vinča Curie, de Dragan

Le film se concentre sur ces intellectuels qui faisaient la pluie et le beau temps dans la presse française.

Le film porte une leçon qui surprendra, à l’heure de l’individualisme : la résilience passe par le prochain.

Un film à suspense de bonne facture, si on fait abstraction de sa dimension idéologique.

Le réalisateur met l’accent sur le caractère fugace des choses de l’existence, aggravé par « le grain de sable » inattendu

Les employés d’une agence publicitaire cherchent désespérément un moyen de retrouver le cours normal de leur vie.

Cheyenne Carron a voulu réalisé un film « qui parle de bonté et d’espérance » – à l’image du père Hamel.

Inspiré d’une histoire vraie du début des années 2000, « Le Tableau volé » explore les coulisses du marché de l’art.

Pas inoubliable, ce film garantira néanmoins une agréable sortie cinéma pour le weekend.

Mise en scène de José Bové déterminé à prouver l’innocence d’un homme injustement accusé de corruption.

Le scénario est un peu scolaire, mais Noée Abita et Alexis Neises sont pleinement investis dans leurs rôles.

Le récit d’Alex Garland ne s’appuie sur aucune réalité électorale ni sociologique tangible.

Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.

Stéphane Demoustier est totalement passé à côté de son sujet.

Le réalisateur fait l’état des lieux – déplorable – de nos écoles laïques occidentales soumises à la pression de l’islam

Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité

Les mêmes comportements ont pu être observés, à l’époque, dans l’affaire Samuel Paty.

Sur le plateau de Quotidien, la journaliste Ambre Chalumeau déroule la pelote queer jusqu’au bout.

Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.

Bénéficiant d’un casting solide et d’une bande originale entraînante, ce film ravira pour la beauté de ses paysages

Ce film est une réussite totale.

Le réalisateur parvient brillamment à communiquer au spectateur l’énergie et la passion du jazz.

Dans le rôle du célèbre compositeur, Raphaël Personnaz, valeur sûre du cinéma hexagonal, s’est beaucoup investi.

Il serait dommage de passer à côté de ce film.

Le film nous montre comment Winton parvint à mobiliser l’État britannique et à lever des fonds pour mener son projet.
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