Le temps des barbares est venu : en Belgique, le viol d’une fillette de 8 ans
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Aujourd'hui, le temps de la barbarie est venu, et nul n’est protégé. Ni le médecin militaire catholique, ni le vieux prêtre qui, après une vie de service, célèbre sa messe, ni la vieille dame coupable d’être juive, ni le couple de policiers devant chez lui. Ni les petites filles dans leurs familles.
À Doische, dans la province de Namur, en Belgique, un « fait divers » sordide - car c’est ainsi que les médias nomment, avec une ignoble retenue, les crimes perpétrés par des immigrés extra-européens - s’est déroulé au printemps 2021. Révélé par le site d'un des principaux quotidiens belges francophones La Dernière Heure, ce drame a fait peu de bruit : vous n’en lirez sûrement pas la trace ailleurs.
Entre janvier et mars 2021, un Syrien arrivé en Belgique en 2019 viole sa belle-fille de huit ans, de façon répétée. Le crime est révélé par la grossesse de la fillette. « Il a été décidé de procéder à une interruption volontaire de grossesse thérapeutique car, vu son âge, elle n’aurait pas pu la mener à son terme sans mettre sa propre vie en péril », précise le parquet de Namur. L’analyse ADN du bébé avorté révèle l’identité du criminel, que la fillette n’a jamais voulu dénoncer. On n’arrive pas à imaginer la terreur de cet enfant, le massacre moral et psychologique infligé, la torture physique des actes subis.
L’audience s’est tenue mercredi au tribunal correctionnel de Dinant, le compte rendu est ubuesque.
L’accusé a reconnu les faits, mais en impute la responsabilité à la consommation d’alcool : « C’est la première fois que je buvais, je n’ai pas su me contrôler », et à l’attitude de la fillette : « Elle a huit ans mais elle est plus âgée que cela dans sa tête. Elle est venue sur mes genoux et m’a fait des bisous puis m’a demandé cette relation. »
L’avocat de la défense a réclamé un sursis. La raison ? Le parcours de son client, arrivé en Belgique en 2019. Toute honte bue, il n’hésite pas à dire : « Dans son pays, les jeunes filles peuvent se marier à 13 ans. À la suite des faits commis, il y a eu une prise de conscience. Il souhaite s’adapter à nos lois et vivre à la belge. » Un crachat lancé à la figure de son pays hôte, qui n’en tiendra sûrement aucun compte.
Bref, un violeur victime… de ses origines culturelles. S’il y a bien quelque chose qu’il aura rapidement appris de notre Occident décadent, de notre Europe Orange mécanique, c’est la culture de l’excuse, la déresponsabilisation du moindre de ses actes et de ses conséquences, la violence sans frein, qui semblent être devenues le mode de fonctionnement de nos sociétés.
Dans ce compte rendu, l’usage biaisé des mots tend à déformer cette réalité trop horrible pour la minorer et en gommer le caractère pédophile : cela ne fait, en réalité, qu’ajouter de l’indignité au crime. La « jeune fille » avait huit ans au moment des faits, elle en a neuf aujourd’hui : c’est donc une fillette. L’homme qui l’a violée – mais où, donc, était la mère de cette petite fille ? – a 27 ans, mais on parle de lui comme d’un « jeune homme ». Comme pour faire passer ce comportement animal et barbare comme un délit induit par la différence culturelle entre la société belge et le mode de vie syrien.
Triste exemple, encore, de l’abolition criminelle de la volonté occidentale : on ne veut plus voir ce que l’on voit. La réalité, la violence des faits sont gommées. Jusqu’à quand ?
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