
Monsieur Dupond-Moretti peut bien vitupérer à l’Assemblée nationale, la question de l’immigration et de la non-assimilation de certaines populations est le grand échec de la Ve République.

Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie.

C’est une sorte de gouvernement par défaut que M. Macron a nommé. À défaut de mieux. À défaut, surtout, de l’adhésion des Français.

Le vrai scandale réside dans cette gauche qui devrait être honteuse et prétend donner des leçons de morale politique, et dans l’attitude de ce centre droit dont la lâcheté munichoise ne semble pas avoir de limites.

Que conclure, donc, de cette présidence française macroniste ? Un non-événement.

Détachée des réalités nationales, elle joue avec le feu dans un jeu géopolitique qu’elle ne peut maîtriser puisqu’elle n’a ni armée, ni diplomatie réelle, ni même profondeur historique.

À l’évidence, nous sommes aujourd’hui en face d’une entreprise idéologique de grande ampleur contre les libertés démocratiques des peuples.

Élisabeth II incarne le devoir dans un monde où l’on veut nous faire croire que seuls importent le choix individuel immédiat, le caprice du consommateur, le confort de l’égoïsme.

La France n’est que le marchepied des ambitions européennes de Macron. Les cinq ans à venir seront ceux d’un combat incessant contre sa volonté de défaire la France, tant sur le plan de la civilisation que sur celui de la souveraineté.

Ainsi « le peuple souverain » n’est-il plus souverain de rien, sauf d’une illusion de souveraineté, tandis que la réalité du pouvoir se situe au sein des réseaux d’une sorte de caste mondialisée, mercantile et technicienne, qui rêve de gouvernement mondial.

La France n’est pas la préoccupation du Président réélu. Ce qu’il aime, c’est le pouvoir.

Comme Marlborough, Ursula s’en va en guerre. Depuis l’agression russe en Ukraine, la présidente de la Commission multiplie les déclarations martiales. À l’évidence, elle est

Le directeur général de Frontex, Fabrice Leggeri, a été poussé à la démission après des mois de harcèlement d’ONG favorables à l’ouverture de l’Europe aux flux migratoires.

Il est impératif de priver Macron d’une majorité de « godillots » telle que dans la précédente législature.

La France fait preuve d’une étrange soumission à la machinerie bruxelloise.

Trois millions de franchissements clandestins des frontières des membres de l’Union européenne ont été détectés en sept ans.

Bien évidemment seuls des esprits malintentionnés pourraient y déceler une tentative de récupération de l’électorat catholique !

Cette Union n’hésite plus à bafouer les choix démocratiques au nom d’un prétendu État de droit qui n’est qu’une machine de guerre contre les peuples insoumis.
Ne nous y trompons pas : dans quelques jours, c’est du futur de la France qu’il s’agira.

La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.

Une vision pour la France ne consiste pas en une accumulation de propositions techniques.

M. Macron devrait savoir qu’une diplomatie efficace exige de la discrétion et que les mises en scène tapageuses servent peut-être sa campagne mais pas la paix

Le président de la République est un homme dangereux. Il préfère ses rêves européens et mondialistes aux réalités françaises.

Cette guerre est la conséquence de trente années d’erreurs politiques de la Russie, des États-Unis et de l’Union européenne. De duperies et de non-respect de la parole donnée aussi.

Cette idée fixe de l’origine ethnique dit beaucoup sur la pensée de la gauche contemporaine.

Une telle attitude, accompagnée d’un regard froid et d’un sourire en coin quelque peu méprisant, conduit à s’interroger réellement sur son inquiétante personnalité.

Encore faudrait-il connaître et comprendre la Russie pour pouvoir discuter avec elle.

Monsieur Dupond-Moretti peut bien vitupérer à l’Assemblée nationale, la question de l’immigration et de la non-assimilation de certaines populations est le grand échec de la Ve République.

Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie.

C’est une sorte de gouvernement par défaut que M. Macron a nommé. À défaut de mieux. À défaut, surtout, de l’adhésion des Français.

Le vrai scandale réside dans cette gauche qui devrait être honteuse et prétend donner des leçons de morale politique, et dans l’attitude de ce centre droit dont la lâcheté munichoise ne semble pas avoir de limites.

Que conclure, donc, de cette présidence française macroniste ? Un non-événement.

Détachée des réalités nationales, elle joue avec le feu dans un jeu géopolitique qu’elle ne peut maîtriser puisqu’elle n’a ni armée, ni diplomatie réelle, ni même profondeur historique.

À l’évidence, nous sommes aujourd’hui en face d’une entreprise idéologique de grande ampleur contre les libertés démocratiques des peuples.

Élisabeth II incarne le devoir dans un monde où l’on veut nous faire croire que seuls importent le choix individuel immédiat, le caprice du consommateur, le confort de l’égoïsme.

La France n’est que le marchepied des ambitions européennes de Macron. Les cinq ans à venir seront ceux d’un combat incessant contre sa volonté de défaire la France, tant sur le plan de la civilisation que sur celui de la souveraineté.

Ainsi « le peuple souverain » n’est-il plus souverain de rien, sauf d’une illusion de souveraineté, tandis que la réalité du pouvoir se situe au sein des réseaux d’une sorte de caste mondialisée, mercantile et technicienne, qui rêve de gouvernement mondial.

La France n’est pas la préoccupation du Président réélu. Ce qu’il aime, c’est le pouvoir.

Comme Marlborough, Ursula s’en va en guerre. Depuis l’agression russe en Ukraine, la présidente de la Commission multiplie les déclarations martiales. À l’évidence, elle est

Le directeur général de Frontex, Fabrice Leggeri, a été poussé à la démission après des mois de harcèlement d’ONG favorables à l’ouverture de l’Europe aux flux migratoires.

Il est impératif de priver Macron d’une majorité de « godillots » telle que dans la précédente législature.

La France fait preuve d’une étrange soumission à la machinerie bruxelloise.

Trois millions de franchissements clandestins des frontières des membres de l’Union européenne ont été détectés en sept ans.

Bien évidemment seuls des esprits malintentionnés pourraient y déceler une tentative de récupération de l’électorat catholique !

Cette Union n’hésite plus à bafouer les choix démocratiques au nom d’un prétendu État de droit qui n’est qu’une machine de guerre contre les peuples insoumis.
Ne nous y trompons pas : dans quelques jours, c’est du futur de la France qu’il s’agira.

La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.

Une vision pour la France ne consiste pas en une accumulation de propositions techniques.

M. Macron devrait savoir qu’une diplomatie efficace exige de la discrétion et que les mises en scène tapageuses servent peut-être sa campagne mais pas la paix

Le président de la République est un homme dangereux. Il préfère ses rêves européens et mondialistes aux réalités françaises.

Cette guerre est la conséquence de trente années d’erreurs politiques de la Russie, des États-Unis et de l’Union européenne. De duperies et de non-respect de la parole donnée aussi.

Cette idée fixe de l’origine ethnique dit beaucoup sur la pensée de la gauche contemporaine.

Une telle attitude, accompagnée d’un regard froid et d’un sourire en coin quelque peu méprisant, conduit à s’interroger réellement sur son inquiétante personnalité.

Encore faudrait-il connaître et comprendre la Russie pour pouvoir discuter avec elle.
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