Certes, la France n’est pas encore une dictature, mais la loi vaccinale respire la tyrannie.
Son projet de transformation planifiée de la société masque en réalité l’éternel délire de création d’une humanité nouvelle par la rééducation impitoyable des citoyens.
L’impôt sur le revenu sera fixé jusqu’à 80 % du salaire, l’impôt sur la fortune s’appliquera à quiconque aura un compte en banque dans un établissement non bio.
Depuis la crise des gilets jaunes et la grande « trouille » qu’elle a créée, les temps sont aux décisions en forme de circonvolutions systématiques. Il faut faire oui tout en disant non.
Et chacun peut constater, jour après jour, le regard ironique, combien la pratique du léchage d’orteil, si chère aux morticoles, domine notre pays.
Adepte convaincue du roi Pyrrhus plutôt que de Machiavel, la droite semble s’apprêter une fois encore à enclencher sa fabuleuse machine à transformer la moindre de ses victoires, même par climat électoral désertique, en une défaite ronflante.
Les pouvoirs territoriaux reposent maintenant sur un vide absolu. Démocratiquement, ils n’incarnent rien et surtout pas la volonté populaire.
Sans la moindre honte, nos édiles régionaux s’apprêtent à poser leurs trônes sur les décombres de notre démocratie.
Emmanuel Macron peut se dresser en rempart de la nation réunie, en majesté bienveillante prenant de la hauteur par rapport à l’événement.
La trouille cheville la cervelle de nos dirigeants.
Certes, la France n’est pas encore une dictature, mais la loi vaccinale respire la tyrannie.
Son projet de transformation planifiée de la société masque en réalité l’éternel délire de création d’une humanité nouvelle par la rééducation impitoyable des citoyens.
L’impôt sur le revenu sera fixé jusqu’à 80 % du salaire, l’impôt sur la fortune s’appliquera à quiconque aura un compte en banque dans un établissement non bio.
Depuis la crise des gilets jaunes et la grande « trouille » qu’elle a créée, les temps sont aux décisions en forme de circonvolutions systématiques. Il faut faire oui tout en disant non.
Et chacun peut constater, jour après jour, le regard ironique, combien la pratique du léchage d’orteil, si chère aux morticoles, domine notre pays.
Adepte convaincue du roi Pyrrhus plutôt que de Machiavel, la droite semble s’apprêter une fois encore à enclencher sa fabuleuse machine à transformer la moindre de ses victoires, même par climat électoral désertique, en une défaite ronflante.
Les pouvoirs territoriaux reposent maintenant sur un vide absolu. Démocratiquement, ils n’incarnent rien et surtout pas la volonté populaire.
Sans la moindre honte, nos édiles régionaux s’apprêtent à poser leurs trônes sur les décombres de notre démocratie.
Emmanuel Macron peut se dresser en rempart de la nation réunie, en majesté bienveillante prenant de la hauteur par rapport à l’événement.
La trouille cheville la cervelle de nos dirigeants.
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