Gérard Couvert
Informaticien
L’Histoire et l’efficience ont apporté la hiérarchie classique : exécutif, législatif, judiciaire ; ce que veulent les déconstructeurs est celui-ci : judiciaire, législatif, exécutif.
La vice-présidente ne pouvait pas être élue à la régulière, il fallait trouver un moyen de hisser l’oriflamme « Harris » jusqu’au symbole présidentiel ; ce sera accompli, au moment opportun, avec le départ de Biden.
D’un côté, un fantasque président en exercice, venu s’amuser en politique, de l’autre, un politicien cacochyme grenouillant depuis cinquante ans dans les buildings du pouvoir américain…
Murat est de la race qui ne s’efface jamais…
Avec cet invraisemblable psychodrame d’un genre nouveau qui se joue dans la société, nous assistons au premier dommage de la société transparente et surinformée. Cela m’angoisse davantage que le Covid-19.
Nunzio Sarpietro a renvoyé tout le monde chez soi, considérant que la décision avait dû être entérinée par d’autres membres du gouvernement de l’époque, et qu’il désirait les entendre.
Avant tout, nous devons tous répondre à une question : voulons-nous gérer notre dissolution ou créer les conditions de la résurgence ?
L’application de la peine de mort restaurerait-elle la confiance dans la Justice ?
La France s’est arrêtée à Fachoda.
L’Afrique a, en son sein, toutes les ressources physiques nécessaires à son développement économique.
Nous attendons Clemenceau, espérons de Gaulle ; certains les imaginent en jupon, les uns sortant la carte de la tante, les autres celle de la nièce…
Pas d’élus pour DLF n’apporte qu’un député de plus pour le RN, des élus DLF ajoutent 4 ou 5 députés au camp national.
La proposition est donc au mieux une gentille lubie irréfléchie, au pire une manipulation démagogique.
Cela représente des investissements colossaux, auprès desquels la prime actuelle fait l’effet de confettis.
Monsieur le maire est amateur de tennis et suit la baballe, un coup on regarde vers la gauche et un autre vers la droite.
Nous aurions une obligation morale indépassable supérieure et comminatoire de recevoir nos frères noirs et nos cousins maghrébins. Au nom de quoi ?
Plus que jamais, le maître du jeu, c’est Salvini.
l’Aquarius, navire de l’association SOS Méditerranée s’est présenté dans la matinée du 10 juin avec sa cargaison d’êtres humains, et pas qu’un peu : 629.
Si on ajoute le coup de fil entre Salvini et Orbán, on comprend qu’à New York, on soit inquiet !
Hélas, l’arithmétique politique est étrange : n’a-t-on pas vu un inconnu immature, sans parti, arriver récemment à la tête d’un grand pays ?
On se rend compte que le populisme pourrait bien n’être que marginal.
La déclaration du commissaire européen Oettinger « Les marchés vont apprendre aux Italiens à bien voter », prévue pour s’insérer dans une amélioration des taux à attisé l’incendie.
La machine à faire peur aux épargnants et aux non-chômeurs est en marche ; elle pourrait se gripper tant les Italiens sont las d’êtres manipulés et insultés par la presse allemande.
Petit clin d’œil de l’histoire, l’Afrique tint un rôle important dans les crises de régime de la république romaine, c’est sur l’invasion africaine que les deux populistes finiront par s’opposer.
Légitimité populaire contre orthodoxie technocratique, partout en Europe l’affrontement est de plus en plus explicite.
La commedia dell’arte pourrait tourner au vinaigre assez vite.
Toute la ville devient Macron-comptatible, des déserts lisses et sans âme, des aires techno-propres, faussement épurées, minérales ; le changement, c’est Toc2000 !
Machiavel rode au Quirinal.
L’Histoire et l’efficience ont apporté la hiérarchie classique : exécutif, législatif, judiciaire ; ce que veulent les déconstructeurs est celui-ci : judiciaire, législatif, exécutif.
La vice-présidente ne pouvait pas être élue à la régulière, il fallait trouver un moyen de hisser l’oriflamme « Harris » jusqu’au symbole présidentiel ; ce sera accompli, au moment opportun, avec le départ de Biden.
D’un côté, un fantasque président en exercice, venu s’amuser en politique, de l’autre, un politicien cacochyme grenouillant depuis cinquante ans dans les buildings du pouvoir américain…
Murat est de la race qui ne s’efface jamais…
Avec cet invraisemblable psychodrame d’un genre nouveau qui se joue dans la société, nous assistons au premier dommage de la société transparente et surinformée. Cela m’angoisse davantage que le Covid-19.
Nunzio Sarpietro a renvoyé tout le monde chez soi, considérant que la décision avait dû être entérinée par d’autres membres du gouvernement de l’époque, et qu’il désirait les entendre.
Avant tout, nous devons tous répondre à une question : voulons-nous gérer notre dissolution ou créer les conditions de la résurgence ?
L’application de la peine de mort restaurerait-elle la confiance dans la Justice ?
La France s’est arrêtée à Fachoda.
L’Afrique a, en son sein, toutes les ressources physiques nécessaires à son développement économique.
Nous attendons Clemenceau, espérons de Gaulle ; certains les imaginent en jupon, les uns sortant la carte de la tante, les autres celle de la nièce…
Pas d’élus pour DLF n’apporte qu’un député de plus pour le RN, des élus DLF ajoutent 4 ou 5 députés au camp national.
La proposition est donc au mieux une gentille lubie irréfléchie, au pire une manipulation démagogique.
Cela représente des investissements colossaux, auprès desquels la prime actuelle fait l’effet de confettis.
Monsieur le maire est amateur de tennis et suit la baballe, un coup on regarde vers la gauche et un autre vers la droite.
Nous aurions une obligation morale indépassable supérieure et comminatoire de recevoir nos frères noirs et nos cousins maghrébins. Au nom de quoi ?
Plus que jamais, le maître du jeu, c’est Salvini.
l’Aquarius, navire de l’association SOS Méditerranée s’est présenté dans la matinée du 10 juin avec sa cargaison d’êtres humains, et pas qu’un peu : 629.
Si on ajoute le coup de fil entre Salvini et Orbán, on comprend qu’à New York, on soit inquiet !
Hélas, l’arithmétique politique est étrange : n’a-t-on pas vu un inconnu immature, sans parti, arriver récemment à la tête d’un grand pays ?
On se rend compte que le populisme pourrait bien n’être que marginal.
La déclaration du commissaire européen Oettinger « Les marchés vont apprendre aux Italiens à bien voter », prévue pour s’insérer dans une amélioration des taux à attisé l’incendie.
La machine à faire peur aux épargnants et aux non-chômeurs est en marche ; elle pourrait se gripper tant les Italiens sont las d’êtres manipulés et insultés par la presse allemande.
Petit clin d’œil de l’histoire, l’Afrique tint un rôle important dans les crises de régime de la république romaine, c’est sur l’invasion africaine que les deux populistes finiront par s’opposer.
Légitimité populaire contre orthodoxie technocratique, partout en Europe l’affrontement est de plus en plus explicite.
La commedia dell’arte pourrait tourner au vinaigre assez vite.
Toute la ville devient Macron-comptatible, des déserts lisses et sans âme, des aires techno-propres, faussement épurées, minérales ; le changement, c’est Toc2000 !
Machiavel rode au Quirinal.
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