violences
L’insécurité, en France, atteint des sommets.
L’omerta se déplace, s’adapte. Vous ne devez pas savoir. Ainsi le prénom des suspects devient-il doucement tabou.
Derrière des cas particuliers, il faut bien admettre que puissent exister des forces autrement plus organisées,
Les violences sur l’archipel sont incontestablement liées à une crise migratoire unique en France.
L’État, en refusant de leur assigner une limite, contribue à la fabrique de ces nouveaux barbares pour lesquels la vie d’autrui est sans valeur, quand bien même il s’agirait d’une personne handicapée, d’une femme enceinte ou d’une personne âgée.
Cohues, empressement, files d’attente interminables, la situation a parfois dégénéré en agressions au couteau et en banditisme organisé. Retour sur une semaine d’ensauvagement à la sauce Mad Max.
« Nous n’étions pas préparés à un tel tsunami de haine, et n’avons pas su canaliser cette violence et ce mal-être » déplore Jean-François Arrivé-Beylot, en charge du service vacances
L’insécurité, en France, atteint des sommets.
L’omerta se déplace, s’adapte. Vous ne devez pas savoir. Ainsi le prénom des suspects devient-il doucement tabou.
Derrière des cas particuliers, il faut bien admettre que puissent exister des forces autrement plus organisées,
Les violences sur l’archipel sont incontestablement liées à une crise migratoire unique en France.
L’État, en refusant de leur assigner une limite, contribue à la fabrique de ces nouveaux barbares pour lesquels la vie d’autrui est sans valeur, quand bien même il s’agirait d’une personne handicapée, d’une femme enceinte ou d’une personne âgée.
Cohues, empressement, files d’attente interminables, la situation a parfois dégénéré en agressions au couteau et en banditisme organisé. Retour sur une semaine d’ensauvagement à la sauce Mad Max.
« Nous n’étions pas préparés à un tel tsunami de haine, et n’avons pas su canaliser cette violence et ce mal-être » déplore Jean-François Arrivé-Beylot, en charge du service vacances